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Avec le dispositif minimaliste et théâtral de l’unité de lieu et de temps, on regarde avec émotion l’héroïne lâcher prise, au cours de plans séquences ultra réalistes et sans fioritures.
À 63 ans, Emma Thompson sidère tant elle n’a pas eu froid aux yeux pour camper cette sexagénaire qui a décidé de redécouvrir les frissons d’une relation charnelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Avec ses deux personnages en huis clos, « Mes rendez-vous avez Léo » est un projet à haut risque en proposant un tango en chambre à Emma Thompson qui livre une de ses plus grandes compositions. Sans cesse surprenant, le second long-métrage de Sophie Hyde emprunte, dès ses premiers plans, une direction singulière.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ce film à la fois cru et délicat « brasse » ses nombreux sujets d’étude avec un humour et une subtilité pas si fréquents et, surtout, bénéficie des prestations épatantes de ses deux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Cette comédie originale ne raconte pas qu’une histoire de passade tarifée. Au-delà de l’anecdote, Mes rendez-vous avec Léo aborde en effet la question de la place des femmes dans la société actuelle et notamment celle des actrices dont l’âge est encore un frein pour l’obtention de grands rôles.
Servie par une mise en scène à fleur d’émotion et des dialogues subtils, elle livre une composition à son image, brillante, sincère, pleine d’un panache contagieux.
Entre humour et gravité, la réalisatrice australienne Sophie Hyde tisse un habile huis clos autour du sexe tarifé et du tabou sur la sexualité des plus âgés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La sensualité passe ici par le dialogue et les délicieux sous-entendus ainsi que par le jeu complice des deux formidables interprètes. Même si la réalisation de ce huis clos reste un peu coincée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sur le papier, l’énoncé de l’histoire laisse imaginer le pire. Ces craintes s’évanouissent dès les premières minutes, où justesse et délicatesse s’imposent en un clin d’œil, porté à travers le judas d’une porte.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Jamais scabreux, ce film pétillant, au cours duquel les personnages se découvrent dans tous les sens du terme, vaut pour son duo d’acteurs, dont Emma Thompson formidable de naturel et d’audace.
Au fil d’un flirt avec le croustillant et le scabreux, Emma Thompson livre une composition savoureusement comique en sexagénaire très « british » qui découvre enfin son corps. Et en tire un précieux enseignement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si cette œuvre sacrément nunuche mérite qu’on s’y attarde un instant, c’est parce que, malgré tous ses artifices, une émotion finit par émaner de la coïncidence entre la mise à nu – très – progressive du personnage et celle de l’actrice.
Pour le reste, le scénario, enfonce beaucoup de portes ouvertes (poids des conventions sociales, souci du qu’en-dira-t-on...) Résultat : à partir d’une situation singulière, Sophie Hyde trouve le moyen de signer un film d’une sagesse rédhibitoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
CinemaTeaser
Toujours parfaite, Emma Thompson.
Elle
Une ode au plaisir et à la liberté, portée par une féministe de toujours.
Le Figaro
Une sexagénaire inhibée fait l’apprentissage de l’abandon de soi avec un escort boy dans ce film de Sophie Hyde, gonflé et subtilement maîtrisé.
Le Journal du Dimanche
Avec le dispositif minimaliste et théâtral de l’unité de lieu et de temps, on regarde avec émotion l’héroïne lâcher prise, au cours de plans séquences ultra réalistes et sans fioritures.
Le Parisien
À 63 ans, Emma Thompson sidère tant elle n’a pas eu froid aux yeux pour camper cette sexagénaire qui a décidé de redécouvrir les frissons d’une relation charnelle.
Les Echos
Avec ses deux personnages en huis clos, « Mes rendez-vous avez Léo » est un projet à haut risque en proposant un tango en chambre à Emma Thompson qui livre une de ses plus grandes compositions. Sans cesse surprenant, le second long-métrage de Sophie Hyde emprunte, dès ses premiers plans, une direction singulière.
Les Fiches du Cinéma
Fort de son duo d’acteurs et de son audace bienveillante, le film est une très jolie surprise, au puissant discours sur le désir féminin.
Marianne
Ce film à la fois cru et délicat « brasse » ses nombreux sujets d’étude avec un humour et une subtilité pas si fréquents et, surtout, bénéficie des prestations épatantes de ses deux acteurs.
Positif
Cette comédie originale ne raconte pas qu’une histoire de passade tarifée. Au-delà de l’anecdote, Mes rendez-vous avec Léo aborde en effet la question de la place des femmes dans la société actuelle et notamment celle des actrices dont l’âge est encore un frein pour l’obtention de grands rôles.
Télé 7 Jours
Servie par une mise en scène à fleur d’émotion et des dialogues subtils, elle livre une composition à son image, brillante, sincère, pleine d’un panache contagieux.
aVoir-aLire.com
Entre humour et gravité, la réalisatrice australienne Sophie Hyde tisse un habile huis clos autour du sexe tarifé et du tabou sur la sexualité des plus âgés.
L'Obs
La sensualité passe ici par le dialogue et les délicieux sous-entendus ainsi que par le jeu complice des deux formidables interprètes. Même si la réalisation de ce huis clos reste un peu coincée.
La Voix du Nord
Aux côtés de Daryl McCormack dans son premier grand rôle, l’impériale Emma Thompson apporte toutes les nuances à un personnage plutôt casse-gueule.
Le Dauphiné Libéré
Cette verbalisation serait ennuyeuse si les deux acteurs ne la relevaient avec éclats, par leurs performances épatantes.
Le Monde
Sur le papier, l’énoncé de l’histoire laisse imaginer le pire. Ces craintes s’évanouissent dès les premières minutes, où justesse et délicatesse s’imposent en un clin d’œil, porté à travers le judas d’une porte.
Libération
[Une] nouvelle itération du «cinéma en chambre», qui vaut surtout pour la géniale Emma Thompson.
Sud Ouest
Dans ce huis-clos hanté par les fantasmes d’une sexagénaire, le dialogue vaut tous les précis d’intimité féminine...
Télé Loisirs
Jamais scabreux, ce film pétillant, au cours duquel les personnages se découvrent dans tous les sens du terme, vaut pour son duo d’acteurs, dont Emma Thompson formidable de naturel et d’audace.
Télérama
Au fil d’un flirt avec le croustillant et le scabreux, Emma Thompson livre une composition savoureusement comique en sexagénaire très « british » qui découvre enfin son corps. Et en tire un précieux enseignement.
Voici
Une délicate études de mœurs sur la réinvention de soi.
Cahiers du Cinéma
Si cette œuvre sacrément nunuche mérite qu’on s’y attarde un instant, c’est parce que, malgré tous ses artifices, une émotion finit par émaner de la coïncidence entre la mise à nu – très – progressive du personnage et celle de l’actrice.
Franceinfo Culture
Tout est dans le sujet, mais peu dans les personnages, ni dans le récit. En quête d’une élégance toute anglaise, le film s’éternise en préliminaires.
Ouest France
Le scénario, rigide et convenu, fige les choses plus qu'il ne les libère.
Première
Pour le reste, le scénario, enfonce beaucoup de portes ouvertes (poids des conventions sociales, souci du qu’en-dira-t-on...) Résultat : à partir d’une situation singulière, Sophie Hyde trouve le moyen de signer un film d’une sagesse rédhibitoire.