L'histoire est très bien et intéressante, même si la fin fait très, non fini et bâclé, se qui me fait penser qu'il y aura un 2. spoiler: Même si le point négatif est que la partie avant l'apparition du méchant prend beaucoup de temps, et que la bataille et trop courte par rapport à la durée du film.
Entre Avengers et Galactik Football, Cosmoball vous plonge dans l'univers incroyable du sport éponyme. Ce film, qui suit la trame classique du film de super héros, est digne des meilleurs du genre. La photographie exceptionnelle n'a rien à envier aux films de Christopher Nolan, et le jeu d'acteur est sûrement digne d'un oscar du meilleur personnage principal.
Plus sérieusement, c'est un film à regarder sans attente particulière, qui vous rappelera sûrement un mélange de téléfilm et de film de super héros. Même s'il n'est pas le meilleur film de son année, il a le mérite de proposer une histoire originale, et sûrement un moment agréable si vous n'êtes pas trop regardant sur la 3D. Bref, à voir une fois, par curiosité.
Le héros est vraiment trop bête qui a peur d'un pauvre lézard, on a juste envie de le secouer, très mal joué en plus. Dommage, il y avait du potentiel.
Je n'ai rien compris aux règles de ce jeu ni même à l'univers de Cosmoball. Tout est résumé en deux minutes dans l'introduction. On va dire que c'est un méchant alien sorti tout droit d'un épisode de Avengers qui veut tout détruire. Pour moi, ça aurait été idéal dans un dessin animé de sport un peu délirant à la Kangoo ou Foot 2 rue. On aurait suivi l'évolution de cette bande de jeunes, on aurait vu plus de matchs, le méchant et sa fille essayer à tous les épisodes de sortir de sa prison. Comme cette dernière est spoiler: secrètement amoureuse du héros , ça aurait pu être un dilemme intéressant à suivre sur toute une saison. Tout de même...Il y a d'excellents effets visuels et ces ados sont sympathiques. Natasha, blonde sublime, tombe un peu trop vite amoureuse du héros mais bon...Ça reste chaste. Il me semble qu'on ne les voit même pas s'embrasser. Mais bon, entre le déluge d'effets spéciaux et de couleurs et que Cosmoball soit orienté clairement pour un public jeune, je peux comprendre qu'il puisse laisser de marbre.
Autant d’habitude j’arrive à trouver des arguments pour la plupart des films (bons comme mauvais), autant la j’en ai aucun. C’est juste nul, mais vraiment ! J’ai l’impression d’avoir navigué sur la chaîne Gulli pendant 2h. Le jeu d’acteur n’en parlons pas, le cosmoball finalement quasi-inexistant. Mon dieu ce que c’était nul !
A son crédit, la science-fiction russe peut au moins mettre en avant son exotisme si particulier, qui fait qu’on ne peut la confondre avec aucune autre. Néanmoins, tout Space-Opera - faut le dire vite! - qu’il soit, ‘Cosmoball’ ne se rapproche ni de Star Wars, ni de Star Trek mais ressemble plutôt au mélange d’un Blockbuster de Besson (‘Valérian’, évidemment) et un des Wachowski dans leurs mauvais jours (‘Jupiter ascending’), en plus enfantin et en plus déréglé : c’est à dire que c’est coloré (bariolé, plutôt) fouillis, bordélique, avec une inimitable petite touche de portnawak conceptuel, d’humour neuneu et de leçons de vie simplettes toujours assénées au mauvais moment, des caractéristiques qui n’appartiennent qu’au cinéma populaire russe. Pourtant, le résultat peut compter sur des effets numériques certes voyants mais pas mauvais pour autant et un rythme assez soutenu. Le truc, c’est qu’on se demande sans cesse s’il est préférable de s’échiner à comprendre ou s’il vaut mieux laisser tomber et se contenter d’avaler passivement les images ? Au début, on comprend vaguement qu’au terme d’une guerre galactique, un genre de Thanos de chez Wish a été enfermé sous terre. On passe sans transition à une espèce de football futuriste avec des joueurs qui se téléportent, sans jamais rien percuter aux règles. Il y a un lien entre les deux, évidemment, mais quand l’explication survient, on ne peut pas dire qu’on y voie beaucoup plus clair. Il vaut donc mieux adopter la posture “legumus televisionus” puisque face à un tel vertige conceptuel, consentir à un effort ne rime pas à grand chose...mais avouez que c’est un peu dommage pour les scénaristes.
"Cosmoball" est un film de sport de science-fiction sur fond de fin du monde. Ce n'est pas la première fois que Dzhanik Fayziev mélange des genres qui n'ont pas forcément de rapport puisqu'il a réalisé "War Zone", un film de guerre à la sauce "Transformers". Son nouveau film est assez surprenant, mais part un peu trop dans tous les sens pour être pleinement satisfaisant. L'univers est sympa, c'est visuellement assez réussi, mais le scénario est sans grande surprise. C'est un film qui représente finalement assez bien les films grand public venus de Russie à savoir que c'est plutôt bien foutu sauf que l'histoire est très classique. Franchement, même s'il est question de la survie de l'humanité, l'intrigue manque cruellement d'enjeux. Je trouve assez bizarre que le jeu ne soit pas plus mis en avant alors que je pensais qu'il serait au centre de l'histoire. Je n'ai pas passé un mauvais moment devant ce film seulement, il est un peu trop long et beaucoup trop niais, et c'est pour cela que je ne mets que la moyenne.
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue. Un sentiment d’autant plus renforcé qu’on est noyé sous les effets spéciaux de la première à la dernière minute. Destiné à un public familial, le film joue la carte de la séduction en offrant des personnages tels que le droïde Spoutnik ou encore cette créature pareille à une énorme peluche. Un ensemble est assez brouillon, un peu plus de simplicité aurait été le bienvenu pour le spectateur.
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1,5
Publiée le 27 mars 2021
Les Russes sont trop concentrés sur le spectacle les émotions et les motivations ringardes au lieu de simplement raconter une bonne histoire cohérente. S'ils peuvent arrêter cette mauvaise habitude et combiner leurs compétences évidentes avec leur bonne images de synthèse nous aurons définitivement une alternative à Hollywood. L'intrigue entière était un désordre confus. À un moment donné deux flics poursuivent notre héros et jouent au chat et à la souris avant qu'il ne rencontre un camion. Puis le conducteur du camion se transforme en dois-je continuer avec la stupidité je vais vous épargner ca. Le jeu de l'acteur central était absurde et je parie que même les enfants de 12 ans poseraient beaucoup de questions a son sujet tout au long de cette histoire...
Vraiment ce film est super. L' histoire est parfaite, les personnages sont attachants, les décors sont super, c'est futuriste. J'ai passé un super moment en le regardant. Je le conseille pour les filles et les garçons.
Pour ma part je suis très friands de films a spectacle et la j'ai tout simplement adorer la direction artistique du film avec un côté végétal omniprésent dans le film spoiler: jusqu'au vaisseau fleur
Les émotions sont très exagérer mais ça ne choque pas tant que ça
L'histoire est quelques fois prévisible spoiler: comme la force du héros qui se vois arriver a des kilometres mais c'est un film détente et si on le prend comme ça c'est un excellent film
Si comme moi vous aimez les films qui vous en met plein la vue et que vous voulez un moment détente sans prise de tête c'est un excellent film par contre si pour vous le scénario, l'intrique et le jeu d'acteur est quelque-chose qui doit être irréprochable je ne suis pas sûr coque ce film soit fait pour vous.
De la vraie S.F. avec pas mal d'idées originales mais beaucoup de choses sont un peu trop convenues et lisses, tel le manichéisme assez constant et beaucoup de clichés dans les caractères relativement naïfs. Assez bien filmé et divertissant cependant.