Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Daniel B.
4 abonnés
65 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 22 octobre 2022
Bon, alors comme la plupart des films russes, on sent qu'ils ont un point commun avec les films asiatiques : une étrange relation avec les émotions. Faut surtout, toujours tout surexprimer ! Passé cette particularité, le scénario bien que très prévisible reste plaisant. On sent des idées piquées ici et là....hein, vous avez dit du blitzball ?!? Les effets spéciaux sont à couper le souffle, on en prend plein les yeux jusqu'à la fin ! ^^ Les acteurs.....ils savent lire visiblement, ne manque plus qu'à apprendre à jouer ! >< Le film est rempli de phrases sans queue ni tête, ça en devient comique à force. Pour conclure, un film avec du potentiel mais des acteurs déplorables néanmoins les effets spéciaux remonte la note et rien que pour eux, je vous conseille de le regarder....juste une fois !
Le scénario est original - bien que finalement assez simple une fois que tout nous est expliqué - mais c'est correctement joué et surtout visuellement magnifique. Il n'y a pas à dire, les russes savent y faire.
"Cosmoball" blockbuster de science fiction russe réalisé en 2020 par Dzhanik Fayziev adapté de la série animée "Galactik Football". De bonne surprises ces dernières années avec les blockbuster russes de S.F comme "Attraction". Bien qu' alignés sur le modèle américain les blockbusters russes parviennent à conserver une petite identité qu'il est assez difficile de décrire. C'est plaisant de changer un peu d'air et Cosmoball est agréable à regarder. La réalisation est de qualité, la photo est belle, les effets réussis, le spectacle est bon. C'est coloré, ça bouge, le film remplit bien sa fonction.
Bon film effet spéciaux bien réussi une histoire qui tien la route pour un film russe j'ai bien aimé bon enfant agréable à regarder en famille vous le conseille pas si mauvais que ça.
"Cosmoball" est un film de sport de science-fiction sur fond de fin du monde. Ce n'est pas la première fois que Dzhanik Fayziev mélange des genres qui n'ont pas forcément de rapport puisqu'il a réalisé "War Zone", un film de guerre à la sauce "Transformers". Son nouveau film est assez surprenant, mais part un peu trop dans tous les sens pour être pleinement satisfaisant. L'univers est sympa, c'est visuellement assez réussi, mais le scénario est sans grande surprise. C'est un film qui représente finalement assez bien les films grand public venus de Russie à savoir que c'est plutôt bien foutu sauf que l'histoire est très classique. Franchement, même s'il est question de la survie de l'humanité, l'intrigue manque cruellement d'enjeux. Je trouve assez bizarre que le jeu ne soit pas plus mis en avant alors que je pensais qu'il serait au centre de l'histoire. Je n'ai pas passé un mauvais moment devant ce film seulement, il est un peu trop long et beaucoup trop niais, et c'est pour cela que je ne mets que la moyenne.
Depuis quelques temps, les russes nous sortent régulièrement quelques grosses productions de science-fiction. Généralement, sur le plan visuel, elles valent bien les blockbusters américains et n'ont pas à avoir honte de la qualité de leurs effets spéciaux. Malheureusement, ces films russes héritent aussi de l'influence hollywoodienne avec des scénarios peu inventifs et bourrés de clichés. C'est le cas avec "Cosmoball". Un long métrage techniquement bien foutu mais avec une intrigue réchauffée avec des ficelles et des thèmes qui rappellent le cinéma des années 80/90. La Russie a donc quelques décennies de retard mais on apprécie l'effort. Dommage toutefois que l'on ne ressent pas une patte et un style russe comme il existe le style coréen pour ce genre de film grand spectacle.
Je n'ai rien compris aux règles de ce jeu ni même à l'univers de Cosmoball. Tout est résumé en deux minutes dans l'introduction. On va dire que c'est un méchant alien sorti tout droit d'un épisode de Avengers qui veut tout détruire. Pour moi, ça aurait été idéal dans un dessin animé de sport un peu délirant à la Kangoo ou Foot 2 rue. On aurait suivi l'évolution de cette bande de jeunes, on aurait vu plus de matchs, le méchant et sa fille essayer à tous les épisodes de sortir de sa prison. Comme cette dernière est spoiler: secrètement amoureuse du héros , ça aurait pu être un dilemme intéressant à suivre sur toute une saison. Tout de même...Il y a d'excellents effets visuels et ces ados sont sympathiques. Natasha, blonde sublime, tombe un peu trop vite amoureuse du héros mais bon...Ça reste chaste. Il me semble qu'on ne les voit même pas s'embrasser. Mais bon, entre le déluge d'effets spéciaux et de couleurs et que Cosmoball soit orienté clairement pour un public jeune, je peux comprendre qu'il puisse laisser de marbre.
Voilà un film qui part sur les chapeaux de roue. Une bataille entre le bien et le mal, la Lune détruite, la Terre en danger tout ça résumé en moins de 2 minutes. On a à peine le temps de se remettre de nos émotions que cela s’enchaîne avec une partie de Cosmoball dont on a du mal à comprendre les règles. La suite de l’histoire nous apportera davantage d’éclaircissements mais c’est vrai que pendant un bon moment on navigue à vue. Un sentiment d’autant plus renforcé qu’on est noyé sous les effets spéciaux de la première à la dernière minute. Destiné à un public familial, le film joue la carte de la séduction en offrant des personnages tels que le droïde Spoutnik ou encore cette créature pareille à une énorme peluche. Un ensemble est assez brouillon, un peu plus de simplicité aurait été le bienvenu pour le spectateur.
De la vraie S.F. avec pas mal d'idées originales mais beaucoup de choses sont un peu trop convenues et lisses, tel le manichéisme assez constant et beaucoup de clichés dans les caractères relativement naïfs. Assez bien filmé et divertissant cependant.
A son crédit, la science-fiction russe peut au moins mettre en avant son exotisme si particulier, qui fait qu’on ne peut la confondre avec aucune autre. Néanmoins, tout Space-Opera - faut le dire vite! - qu’il soit, ‘Cosmoball’ ne se rapproche ni de Star Wars, ni de Star Trek mais ressemble plutôt au mélange d’un Blockbuster de Besson (‘Valérian’, évidemment) et un des Wachowski dans leurs mauvais jours (‘Jupiter ascending’), en plus enfantin et en plus déréglé : c’est à dire que c’est coloré (bariolé, plutôt) fouillis, bordélique, avec une inimitable petite touche de portnawak conceptuel, d’humour neuneu et de leçons de vie simplettes toujours assénées au mauvais moment, des caractéristiques qui n’appartiennent qu’au cinéma populaire russe. Pourtant, le résultat peut compter sur des effets numériques certes voyants mais pas mauvais pour autant et un rythme assez soutenu. Le truc, c’est qu’on se demande sans cesse s’il est préférable de s’échiner à comprendre ou s’il vaut mieux laisser tomber et se contenter d’avaler passivement les images ? Au début, on comprend vaguement qu’au terme d’une guerre galactique, un genre de Thanos de chez Wish a été enfermé sous terre. On passe sans transition à une espèce de football futuriste avec des joueurs qui se téléportent, sans jamais rien percuter aux règles. Il y a un lien entre les deux, évidemment, mais quand l’explication survient, on ne peut pas dire qu’on y voie beaucoup plus clair. Il vaut donc mieux adopter la posture “legumus televisionus” puisque face à un tel vertige conceptuel, consentir à un effort ne rime pas à grand chose...mais avouez que c’est un peu dommage pour les scénaristes.
Je pense que ce film recèle un message subliminal pour les personnes de moins de dix ans qui voudraient accéder au level post pokemon ainsi que pour toute personne voulant s'initier à la prise de métamphétamine lors du visionnage.. Sinon j'ai rien compris .Mais que se passe t-il ?
4 541 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 27 mars 2021
Les Russes sont trop concentrés sur le spectacle les émotions et les motivations ringardes au lieu de simplement raconter une bonne histoire cohérente. S'ils peuvent arrêter cette mauvaise habitude et combiner leurs compétences évidentes avec leur bonne images de synthèse nous aurons définitivement une alternative à Hollywood. L'intrigue entière était un désordre confus. À un moment donné deux flics poursuivent notre héros et jouent au chat et à la souris avant qu'il ne rencontre un camion. Puis le conducteur du camion se transforme en dois-je continuer avec la stupidité je vais vous épargner ca. Le jeu de l'acteur central était absurde et je parie que même les enfants de 12 ans poseraient beaucoup de questions a son sujet tout au long de cette histoire...
Une vraie daube, un feu d'artifice d'effets spéciaux colorés et saturés a en vous désolidariser les pupilles, un casting qui ferait du monde de Narnia un chef-d'œuvre, et je ne parle même pas de la direction d'acteurs qu'à du être laissé au goulag la moitié du film, un scénario qui arrive à être compliqué tout en n'ayant pas la moindre originalité et quant pitoyable tentatives de légèreté et d'humour, là on touche le fond et on creuse encore. Pour résumer le cinéma fantastique russe a un petit goût de nanars des années 80 customisé a la sauce 2020
"Les câlins, ça fait pas mal". Un film familial, aux effets spéciaux très kitchs et colorés. Mais allez savoir pourquoi, l'histoire est jolie et le film se laisse regarder. Les russes nous pondent des films sympas ces dernières années.