Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Jérémie Oro
Jamais frustrant, toujours divertissant, L’Exorciste du Vatican monte en puissance, autant narrativement qu’esthétiquement, à mesure qu’avance son intrigue, démarrant comme les titres les plus classiques du genre [...] pour muter peu à peu, jusqu’au climax, en une série B réjouissante ayant goût à l’excès mais jamais à l’excessif.
Le Figaro
par O.D.
L'hommage au film de Friedkin est assumé. Au fond, la plus grande force du film, c'est sans doute de ne pas se prendre trop au sérieux, tout en offrant aux spectateurs sa dose d'effroi et de frissons…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Mais, miraculeusement, l’ensemble, dont on nous assure qu’il s’inspire des propres archives du Père Amorth, tient la route. On finit par s’attacher à ce Don Camillo traqueur de démons incarné par un Russell Crowe désormais très loin de l’athlète de « Gladiator ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Un bon moment, notamment grâce à la prestation rigolarde, mais humaine, du génial Russell Crowe.
CNews
par La rédaction
S’il remplit le cahier des charges sans véritablement nous surprendre, enchaînant les clichés du genre [...] et quelques incohérences [...], «L’exorciste du Vatican» montre en revanche un Russell Crowe au sommet de sa forme.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un film d'horreur qui ne fait pas peur pais réjouit.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Entreprise discrète mais réelle de dépoussiérer un genre qu'on pouvait croire immuable, "L'Exorciste du Vatican" se permet le tour de force d'appliquer à la lettre le cahier des charges éventé du cinéma de possession tout en faisant preuve d'une originalité et d'une dimension critique certaines..
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le film a la bonne idée d’opérer la rupture de ton permanente, favorisée par la prestation de Russell Crowe qui incarne un homme de Dieu aussi drôle et désinvolte qu’impitoyable dans l’exercice de ses fonctions.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Sylvestre Picard
Que le film soit le meilleur de son réalisateur Julius Avery ne veut pas dire grand-chose (il a raté deux sujets a priori inratables : le mélange WW2/zombies avec Overlord et Stallone en vieux superhéros avec Le Samaritain), mais on passe quand même un bon moment. Une petite prière pour Saint Russell.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Le côté kitsch, indissociable de ce type de productions en vogue depuis le succès de « Conjuring », est également bien dosé, avec des maquillages plutôt saisissants. Petite cerise sur le gâteau, en version originale, l’interprétation de l’ancien « Gladiator » est un petit délice.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le récit se déroule certes sans surprise, mais la tension grimpe vite [...].
Télé Loisirs
par Margot Loisel
L'interprétation de Russell Crowe reste l'atout maître de cette histoire convenue, boostée aux effets spéciaux abracadabrants mais devant laquelle on ne s'ennuie jamais.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Davantage que pour son méli-mélo sur la culpabilité historique du Vatican, le film de Julius Avery séduit – un peu – par ses chimères : greffes du passé et du présent, du masculin et du féminin, du jeune et du vieux, du mort et du vivant, du faux et du vrai [...].
Ecran Large
par Judith Beauvallet
L'Exorciste du Vatican aurait pu être une formidable parodie s'il assumait son mépris pour son propre genre et pour son public, plutôt que de tourner en ridicule chaque aspect de cet énième fantasme catho un poil réac sous ses airs de sale gosse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Malgré la présence de Russell Crowe, un film de genre conventionnel, qui séduira peut- être les amateurs en manque de hurlements diaboliques...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
S’imposant assez vite comme la seule raison valable de s’infliger ce cirque, Russell Crowe se dépensant sans compter pour ce personnage, auquel il réussit à donner corps de manière étonnante, tandis que le film tombe en miettes autour de lui, s’enlisant dans un mélange grotesque d’horreur, de drame et de comédie, badigeonné d’ésotérisme d’opérette et d’effets spéciaux tout droit sortis d’un clip de metal symphonique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Point
par Philippe Guedj
Adapté des mémoires du véritable prêtre Gabriele Amorth, ce film d’épouvante avec Russell Crowe rabâche un soporifique chapelet de clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
L'Ecran Fantastique
Jamais frustrant, toujours divertissant, L’Exorciste du Vatican monte en puissance, autant narrativement qu’esthétiquement, à mesure qu’avance son intrigue, démarrant comme les titres les plus classiques du genre [...] pour muter peu à peu, jusqu’au climax, en une série B réjouissante ayant goût à l’excès mais jamais à l’excessif.
Le Figaro
L'hommage au film de Friedkin est assumé. Au fond, la plus grande force du film, c'est sans doute de ne pas se prendre trop au sérieux, tout en offrant aux spectateurs sa dose d'effroi et de frissons…
Le Parisien
Mais, miraculeusement, l’ensemble, dont on nous assure qu’il s’inspire des propres archives du Père Amorth, tient la route. On finit par s’attacher à ce Don Camillo traqueur de démons incarné par un Russell Crowe désormais très loin de l’athlète de « Gladiator ».
Voici
Un bon moment, notamment grâce à la prestation rigolarde, mais humaine, du génial Russell Crowe.
CNews
S’il remplit le cahier des charges sans véritablement nous surprendre, enchaînant les clichés du genre [...] et quelques incohérences [...], «L’exorciste du Vatican» montre en revanche un Russell Crowe au sommet de sa forme.
CinemaTeaser
Un film d'horreur qui ne fait pas peur pais réjouit.
Culturopoing.com
Entreprise discrète mais réelle de dépoussiérer un genre qu'on pouvait croire immuable, "L'Exorciste du Vatican" se permet le tour de force d'appliquer à la lettre le cahier des charges éventé du cinéma de possession tout en faisant preuve d'une originalité et d'une dimension critique certaines..
Le Journal du Dimanche
Le film a la bonne idée d’opérer la rupture de ton permanente, favorisée par la prestation de Russell Crowe qui incarne un homme de Dieu aussi drôle et désinvolte qu’impitoyable dans l’exercice de ses fonctions.
Première
Que le film soit le meilleur de son réalisateur Julius Avery ne veut pas dire grand-chose (il a raté deux sujets a priori inratables : le mélange WW2/zombies avec Overlord et Stallone en vieux superhéros avec Le Samaritain), mais on passe quand même un bon moment. Une petite prière pour Saint Russell.
Sud Ouest
Le côté kitsch, indissociable de ce type de productions en vogue depuis le succès de « Conjuring », est également bien dosé, avec des maquillages plutôt saisissants. Petite cerise sur le gâteau, en version originale, l’interprétation de l’ancien « Gladiator » est un petit délice.
Télé 7 Jours
Le récit se déroule certes sans surprise, mais la tension grimpe vite [...].
Télé Loisirs
L'interprétation de Russell Crowe reste l'atout maître de cette histoire convenue, boostée aux effets spéciaux abracadabrants mais devant laquelle on ne s'ennuie jamais.
Cahiers du Cinéma
Davantage que pour son méli-mélo sur la culpabilité historique du Vatican, le film de Julius Avery séduit – un peu – par ses chimères : greffes du passé et du présent, du masculin et du féminin, du jeune et du vieux, du mort et du vivant, du faux et du vrai [...].
Ecran Large
L'Exorciste du Vatican aurait pu être une formidable parodie s'il assumait son mépris pour son propre genre et pour son public, plutôt que de tourner en ridicule chaque aspect de cet énième fantasme catho un poil réac sous ses airs de sale gosse.
Les Fiches du Cinéma
Malgré la présence de Russell Crowe, un film de genre conventionnel, qui séduira peut- être les amateurs en manque de hurlements diaboliques...
Libération
S’imposant assez vite comme la seule raison valable de s’infliger ce cirque, Russell Crowe se dépensant sans compter pour ce personnage, auquel il réussit à donner corps de manière étonnante, tandis que le film tombe en miettes autour de lui, s’enlisant dans un mélange grotesque d’horreur, de drame et de comédie, badigeonné d’ésotérisme d’opérette et d’effets spéciaux tout droit sortis d’un clip de metal symphonique.
Le Point
Adapté des mémoires du véritable prêtre Gabriele Amorth, ce film d’épouvante avec Russell Crowe rabâche un soporifique chapelet de clichés.