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TUTUR29
34 abonnés
1 123 critiques
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3,0
Publiée le 9 janvier 2021
Très sympathique court-métrage. Je ne mets que 3 étoiles car évidemment, ca ne dure que 10 minutes donc ce n'est pas aussi marquant et touchant que pourrait l'être un film. Mais ca reste un court-métrage qui utilise une animation simpliste mais très jolie et une très belle symbolique, qui donne un ton poétique et mélancolique à ce film, ce qui est assez touchant. Je recommande, d'autant que ca ne vous prendra que 10 minutes de le visionner.
Je viens d'apprendre l'existence de ce court-métrage grâce au réseau social TikTok, en plus disponible sur Netflix, qu'on je décide d'y aller tête baisser et effectivement je comprend mieux pourquoi il fait t'en parler. Moi qui pleure très facilement en regardent un film, même quand il est nul à chier, juste une séquence d'émotion bien faîtes et je peux pleurer toutes les larmes de mon corps. Enfin bref, Quoi qu'il arrive, je vous aime est vraiment réussi a peux près tout les points qu'il aborde, pour m'a part ça peut faire contredire ce que j'ai dis auparavant, mais je n'ai pas pleurer, juste était ému, très ému de voire cette famille détruite par ce drame insurmontable. J'aurais peut-être pleurer si la scène était plus ''intense" je sais pas vraiment comment dire, mais quand vous regarderez le film vous allez savoir de quoi je parle. Alors je ne me moque pas du tout des personnes qui vont pleurer, mais voilà au moins le film aura le mérite d'avoir ému. Je trouve la musique excellente, très rare pour être souligné. Au final, *Quoi qu'il arrive, je vous aime* est un film émouvant qui ouvre le débat sur le port de l'arme au Etats-Unis et qui traite de l'épreuve des parents plutôt correctement.
Lauréat de l'Oscar du meilleur court-métrage d'animation, "Quoi qu'il arrive, je vous aime" suscite la réflexion et va droit au but. Normal, il dure douze minutes. Je vous conseille de vite vous connecter sur Netflix et de le regarder avant de poursuivre votre lecture si ce n'est pas déjà fait... Au lendemain d'une tragédie, un couple traverse un vide émotionnel. On apprend par la suite qu'il s'agit du décès soudain de leur fille unique, lors d'un attentat survenu dans son école. J'ai immédiatement pensé à "Elephant" de Gus van Sant, bien qu'il n'y ait que le sujet qui s'en rapproche. On s'enfonce alors dans les tourments de la dépression et le deuil impossible des parents. On observe leur éloignement, leur amour émietté. Le sujet est très délicat et les parti pris radicaux de l'animé permettent d'apporter une métaphore et un décalage poétique. En effet, si les corps restent immobiles et muets, les ombres, elles, laissent l'indicible s'exprimer. Par leurs mouvements incessants, ces ombres constituent les regrets, les émotions déchirantes et les dernières forces de ces deux coeurs brisés. Parfois, l'ombre devient fantôme. Le court-métrage sensibilise les spectateurs à une réalité, à un traumatisme propre à notre ère qui ne devrait se répéter autant. Et même si les événements de cet ampleur ont diminué en raison de la pandémie, ils n'en restent pas moins d'actualité. Pour ce qui est de l'animation, elle est très simple et minimaliste, dessinée au crayon de papier, ce qui ne l'empêche pas d'être inventive et rythmée. Les touches de couleur sont rares, reflétant ainsi l'état émotionnel de ses personnages et les souvenirs heureux. La musique, aussi, occupe une place importante et n'a aucun mal à nous émouvoir. Le propos aurait gagné à être plus universel et non auto-centré sur les États-Unis, mais ça reste touchant.
Le trait de l'animation ne colle pas énormément au propos mais son minimalisme révèle en tout cas un grand vide laissé autour du couple et ça c'est vraiment le plus intéressant. Le ballais des ombres est, par dessus tout, la vraie réussite pour remplacer les mots.
En dix minutes, dix Kleenex. Si vous aussi vous faites partie des bons clients de la larme à l’œil, pensez à vous munir de la boîte Kleenex, car Quoi qu'il arrive, je vous aime, tire fortement sur la corde sensible, ce qui sert autant que dessert son propos (une arme à double tranchant). Évidemment, comment rester insensible à ces parents en deuil de leur petite fille, à l'esprit (le souvenir, l'âme, appelez cela comme vous le souhaitez) qui les accompagne dans leur quotidien douloureux, à l'arrivée du drame que l'on comprend avant même qu'il n'arrive (une enfant décédée, spoiler: une école, un drapeau américain... Ah. Columbine. Même si aucun nom n'est donné pour représenter tous les massacres à l'école, dans nos méninges, il fuse. ). On ne peut que retenir le discours engagé contre les armes à feu qui brise bien plus de vies que celles qui se sont arrêtées dans la cantine, le court-métrage nous montre un exemple des familles qui ne s'en remettent que difficilement (ou jamais), avec un énorme travail sur soi et son conjoint, ce qui est représenté par des ombres supplémentaires qui interagissent entre elles (la colère, le chagrin des parents) mais qui ne peuvent malheureusement pas avoir d'impact sur la fillette des souvenirs (ces émotions ne peuvent pas changer le passé, symboliquement). Un magnifique message, en perspective, qui aurait gagné à alléger son côté "violon" (le sujet se suffisait à lui seul, la musique en fait trop), à être un peu plus ordonnée dans les flashbacks (on a un peu de mal à voir le montage entre le présent du deuil et les souvenirs, notamment celui de la journée du drame, comme si l'on avait sauté d'une scène à l'autre sans transition), et finalement on aurait aimé quelques chiffres à la fin du court-métrage, pour impacter considérablement les consciences. Quand on sait qu'aujourd'hui, on interdit à Elmer et Sam (des Looney Tunes) d'avoir des armes à feu dans les cartoons pour "ne pas inciter les enfants à en utiliser" mais que ces derniers peuvent en acheter sur Internet (il suffit de la carte bleue, aucune vérification)... On se dit qu'il y a toute une société, tout un monde à éduquer, et avec quelques chiffres bien déprimants en fin de court-métrage, Quoi qu'il arrive, je vous aime aurait finit de nous faire vider la boîte à mouchoirs.
Ce court-métrage animé disponible sur Netflix évoque avec finesse le deuil, faisant éclore ici et là des éclats de couleurs et redonnant lumière et joie là où la peine avait fait dépérir fleurs et amour. Tendre et juste, If Anything Happens I Love You est porteur d'un beau message d'espoir (plus d'infos ici : https://pamolico.wordpress.com/2020/12/09/quoi-quil-arrive-je-vous-aime-govier-mccormack/)
L’animation est géniale, très belle et originale. En 15 minutes, le film réussi à installer une histoire et des émotions et a développer ses personnages et ça c’est très fort. L’idée des ombres est très bonne et poétique et la musique est très belle. Bref, c’est une très belle animation qui nous raconte une histoire touchante en quelques minutes.
Quoi qu’il arrive, je vous aime ne donne pas suffisamment de temps au public pour réfléchir, avec sa courte animation de 12 minutes qui suscite la réflexion, laissant beaucoup d’impact. Les créateurs avaient quelque chose en tête ici, ils voulaient articuler un vide émotionnel douloureux entre deux personnes qui se soucient l’une de l’autre au lendemain d’une tragédie.
Critique disponible dans son intégralité : https://cestquoilecinema.fr/critique-quoi-quil-arrive-je-vous-aime-le-court-metrage-important-de-netflix/
Un film plutôt sympa avec une esthétique différente des habituels films d'animation ( ce qui n'est pas si positif que ça ) car je trouve que cela nous sort un peu du film. La fin m'a laissé un peu triste même si elle n'a pas réussi à me faire verser de larmes. À regarder ( ou pas )😐
Le court métrage est touchant, on se laisse porter par l'histoire. Bien qu'il y ait très peu de personnages, j'interprète les personnages en imaginant leur aventures. L'ombre qui représente leur pensée est très bien illustrée. Il n'y a pas beaucoup de dessins mais ils sont expressifs.
C'est dingue de voir comment on arrive à faire passer des choses en si peu de temps. Le sujet est dur, lourd, et certains arriveront peut-être à s'identifier et ça les aidera sûrement. spoiler: L'histoire parle d'un couple qui vient de perdre sa fille dans une fusillade à l'école. Et la vie de ces parents change de tout au tout, notamment leur relation qui se détériore.
Le titre du court-métrage est le dernier message de la fille envoyé à ses parents pendant cet attentat.
L'animation est plutôt sobre mais ça colle bien au thème. On est sur un crayonné très précis. Les émotions passent justement par cette qualité d'animation, étant donné qu'il n'y a pas de dialogues. La morale est classique mais ça ne fait pas de mal de redire encore une fois que la communication est importante et qu'il faut s'ouvrir aux autres dans les mauvais moments. Une très bonne surprise malgré le sujet. Vu sur Netflix le 23/07/24
Un court métrage de 12mins, poignant et efficace ! Très émouvant durant la totalité de ce film. Accepter un deuil est difficile et ce film essaie de rassembler un couple anéanti. Poignant !
Quoi qu'il arrive, je vous aime est un court métrage de Micheal Govier et Will McCormack qui parle de la douleur qu'est de perdre un enfant pour des parents.
Malgré un sujet complexe à mettre en place en si peu de temps ce court métrage ayant été récompensé lors des Oscars est hyper touchant et bouleverse le spectateur grâce à quelques ingrédients, de une le style de dessins tout s'enchaîne et tout est dynamique, les émotions sont bien dessiné.
Le montage et la post productions, la musique triste les doublages ainsi que les bruitages sont hyper touchant malgré absence de dialogue le court métrage nous laisse bouche bée car nous sommes envahie par l'univers.
Le scénario est original en lui même mais ça aurait été mieux que ce court métrage soit adapté en film ce qui mériterai une meilleur note. A voir !