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SPACEMAN : 18,5/20

Un jour, quelqu’un a dit :
« Seul l’amour transcende le temps et l’espace ».

Un astronaute seul dans l’espace fait une rencontre extraordinaire dans son vaisseau qui va lui raviver des souvenirs passés, prendre conscience du présent, pour construire son avenir.

Cette odyssée spatiale et poétique conte son récit de manière très singulière et atypique. Une vraie introspection de Jakub interprétée par un Adam Sandler touchant et convaincant.

J’aime que le récit nous laisse le libre choix de penser que cette rencontre entre Jakub et cette chose est réelle ou si elle résulte de sa santé mentale en proie à une solitude exacerbée.

Au bout d’un moment, je ne pouvais rester indifférent à la B.O du très grand Max Richter, d’une puissance assez dingue pour une production Netflix.

La façon de capturer l’image est vraiment maligne. Dans l’espace, la caméra est en lévitation permanente et jamais stable, comme si elle flottait par la gravité, tandis que sur Terre la caméra reste fixée au sol.

Étant fan des aventures spatiales (j’ai d’ailleurs un énorme astronaute tatoué sur le ventre), j’ai trouvé ce film génial, et la fin m’a presque tiré une larme.

Un vrai petit bijou Netflix.

Plus de critique sur 1sta : 22sur20

Le film est lent et contemplatif, se concentrant sur les pensées et les sentiments de l'astronaute alors qu'il est isolé dans l'espace. Il explore des thèmes tels que la solitude, l'aliénation et la nature humaine.

La performance d'Adam Sandler est superbe. Il offre une performance nuancée et intériorisée qui capture parfaitement le sentiment d'isolement et de désespoir de son personnage. C'est rafraîchissant de le voir sortir une nouvelle fois de la case des comédies américaines un peu bas-de-plafond.

Si vous recherchez un film original qui vous fera réfléchir et peut-être même vous émouvoir, je vous le conseille.

Spoiler : Lenteur, réflexion peu profonde sur la vie et flashback à répétition sont au rendez vous !

À vouloir aller trop loin dans le délire meta-psycho-intelectuelo-physique, on fini par faire n'importe quoi. Pas de questions et surtout pas de réponse dans ce film déjà oublié, avec évidement un achèvement fidel à la Netflix. Vous m'aurez compris.

Ce film Netflix confirme la tendance de la plate-forme : des moyens financiers importants mais une écriture très pauvre. Ce film est plat, se veut faussement profond, c'est un véritable ennui pendant 1h50. Qui est aujourd'hui capable de réaliser un excellent film de science fiction ? ( spoiler: Et non une histoire d'amour/de rupture bancale, à laquelle on croit difficilement (elle va vraiment le quitter en lui envoyant une vidéo alors qu'il est parti dans un voyage dangereux depuis 6 mois et qu'il est seul, au beau milieu de l'espace, en train de réaliser une mission importante...? Vachement réaliste. Beaucoup de blabla, pas de scénario)
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À tous ceux qui se demandent s’ils doivent regarder « Spaceman » parce qu’ils sont à la recherche d’un film d’action dans l’espace, la réponse est non.
Il s’agit en réalité d’un film intimiste doté d’un gros budget et qui pourra en déstabiliser plus d’un.
Je fais partie de ceux qui se questionnent pour savoir si ce mélange d’idées de génie et de cheap (philosophie simpliste ?), est totalement volontaire de la part de Johan Reck. Je me demande également si la philosophie doit être forcément complexe pour être pertinente. Je me demande si d’entremêler les questions de la solitude, de la perte, à celle de notre finitude ainsi qu’à celle de l’univers, ça marche encore.
J’ai beau essayer de trancher, je n’y parviens pas, parce que je pense que ce n’est pas le but de ce film que de tenter de prodiguer un cours empirique permettant de répondre à ces questions.

Alors je vais simplement décrire ce qui se rapproche un peu de cette expérience filmique : les atmosphères sonores (Max Richter a mieux bossé que sur « Ad Astra ») et visuelles sont planantes (je n’ai pas d’autre mot, ce n’est pas hypnotisant, ça fait juste planer, soyons simples), le protagoniste magistralement interprété par Paul Dano est une pépite de cinéma, si rien de fonctionne d’un point de vue scientifique on s’en fiche parce que le but n’est pas de vulgariser quoique ce soit, et finalement on se dit qu’un film aussi bienveillant avec le spectateur, ben c’est très très bienvenu et appréciable.

Il manque de la finesse pour en faire un grand film, mais le tout est assez original pour mérité d’être vu par ceux qui ont envie d’un petit voyage introspectif pour se rappeler de l’essentiel.

Petit film de SF qui lorgne sur le terrain des mastodontes du genre que sont 2001 ou Interstellar ou encore de Ad Astra, Spaceman est doté d’une belle réalisation et navigue constamment entre drame introspectif et pure SF. S’il y a de beaux messages délivrés, il faut en revanche tenir le rythme très lent du métrage, lorsque l’on y parvient le moment est agréable, notamment lorsque l’apparition drolatique d’un drôle d’Être fait son entrée entre stupeur et humour. On a vu mieux c’est certain mais j’ai bien aimé l’ambiance particulière de ce film, et puis c’est toujours agréable d’avoir confirmation qu’Adam Sandler sait parfaitement jouer autre chose que l’idiot du village, en outre la VF de Paul Dano est très sympathique derrière la bestiole. Beaucoup de questions demeureront sans réponse, certaines feront travailler les méninges du spectateur ainsi que son imagination, d’autres paraîtront un rien triviales histoire d’embrouiller l’esprit. Au final, on peut y trouver son compte même s’il manque pas mal de choses pour faire de Spaceman un classique.

Scénario nul, histoire inintéressante, un robinson qui vit une séparation à distance, une araignée d'on ne sait où tout ça dans l'espace...Come on...et ces lenteurs. Je me demandais ce que Sandler faisait dans une série B Tchéquie....mais non c'est bien un film produit chez l'oncle Sam. Ouf c'est terminé.

Si on veut regarder un film de science fiction action passons notre chemin... C'est un beau film. La voix d anouch est si sage . Le film porte sur l amour sur finalement qu'est ce qui est important car nous sommes éphémères . J'ai adoré. Le jeu de chacun des acteurs est top la bande son les images .....Un film a émotion.

C’est un beau film qui fait travailler ses méninges. Bon il faut pas s’attendre à ID4 ou Rencontres du troisième type mais y a de l’idée

j'ai connu Adam sandler dans des meilleurs films que ça mais là je crois que c'est le pire des films qu'il est fait il a vraiment touché le fond le film aurait pu être intéressant mais la franchement c'est 1h50 d'ennuis et la fin de film de termine a l'arache bref un film méga méga méga chiant ! dommage

Comme beaucoup de monde, vraiment déçu. Je suis persuadé que c'est une IA qui à du écrire le film... ce n'est pas possible autrement. Ce n'est pas le genre de film duquel on reparle plus tard, sauf pour le déconseiller.

Surtout un film d introspection, c est le fond plus que la forme qu il faut retenir. Le contexte n est que le prétexte pour cet astronaute qui revient sur sa vie dans la solitude de l espace. Un comte en somme, évidemment les amateurs de Space Opera en seront pour leur compte, ce film aurait pu être un navigateur sur la mer avec sa conscience de « Jeremy cricket » cela aurait été de même…. Étrange et pas tous publics

Quand on aime l'acteur, le second degré, la poésie et les réflexions sur la vie, on devrait comme moi adorer ce film

On ne peut pas aborder Spaceman comme n'importe quel autre film de science-fiction, ou dystopie, tellement il sort des sentiers battus. Ne vous attendez à rien en vous installant devant ce chef-d'œuvre totalement décalé, et laissez-vous porter par vos émotions, tant ce film est un miroir...Quoique très lent et assez intense dans sa réflexion, il peut révéler certains côtés un peu lourds de sa narration. Mais c'est un vrai shoot qu'il offre au final : les couleurs sont magnifiques, les instants apaisants, et même si on ne sait quoi penser de cette araignée géante qui pourrait jouer avec nos peurs primaires, on fini, comme Adam Sandler, par s'abandonner à ses émotions profondes...Merci de nous offrir de tels moments de grâce, je suis pas sur qu'on soit beaucoup à les apprécier, mais ce qui est sûr, c'est qu'on en perd pas une miette...