Avis : Spaceman - Page 5

Un pur film de soporifiction, ou comment un cosmonaute tchèque embarqué dans une mission pour prélever des échantillons de commencement et de fin de l'univers dans la zone de Jupiter, de retrouve à partager son vaisseau avec un extra-terrestre arachnéen qui lui sert de psy pour palier à ses problèmes de couple. Ca parait débile résumé ainsi et ça l'est tout au long de ce film affligeant. C'est mou, lent, bavard mais dans le genre confidence sur canapé entre un praticien et son patient. Inintéressant de bout en bout et sur tous les plans, et ne décroche chez le spectateur que besoin de bâillements et envie de couper court à cette purge. Une production - encore - Netflix qui confirme son statut d'entrepôt our ne pas dire de poubelle du cinéma de l'âge du streaming. Un cinéma pour le coup nombriliste, qui se veut profond en faisant tourner dans tous les sens la coquille vide de ses propos.

C’est un beau film qui fait travailler ses méninges. Bon il faut pas s’attendre à ID4 ou Rencontres du troisième type mais y a de l’idée

Quelle bonne surprise!
Réalisé par Johan Renck (Chernobyl) et sublimé par la composition de Max Richter (Arrival), ce long métrage avait clairement les armes pour proposer une histoire interessante qui sort des sentiers battus. (Recherches post visionnage)
C’est une vrai thérapie psychologique, qui traite du temps, de l’amour, de la vie, de la mort. 
Adam Sandler y est irréprochable, vraiment émouvant.
Il plaira aux amateurs de science fiction psychologique, à l’image de Arrival de Denis Villeneuve. 
Ce n’est pas un film d’action.

Un film très sympathique, certes un peu lent, mais en même temps ça permet de bien assimiler chaque situation, chaque contexte, chaque péripétie
La créature repoussante au début devient vite incontournable

Spaceman est un bon film très touchant avec un Adam Sandler époustouflant, la créature (Hanus) est vraiment réussi et visuellement c'est plutôt beau !

Malheureusement il souffre d'un scénario vraiment pas terrible et de moments parfois très lents...

Ça reste malgré tout une bonne découverte, Adam Sandler dans un registre plus sérieux je dis OUI !

Bon début, ça partait bien. On ressent bien la solitude du personnage principal, mais Finalement tout le film est linéaire même des fois on ne comprend pas tout. On ne comprend pas parfois le lien entre l’histoire et les images…
C’est triste mais sans plus quoi, parce que le film est pas bon. C’est juste long sans réelle morale avec une fin sortir de nul part et pas du tout réaliste contrairement à l’ensemble du film.
Je ne recommande pas sauf si vous voulez dormir avec un fond sonore sans musique.

J'attendais peut-être un peut trop de ce film mais j'ai été gravement déçu. Malgré que Adam Sandler soit excellent avec un rôle totalement différent de ce qu'il a pour habitude d'interpréter, j'ai trouver ce film assez ennuyeux et pas assez exploiter dans son univers. Tout est illusion et au même temps réel cette idée est génial mais aurait pu être meilleur avec un peut plus de sens à mon goût. A revoir plusieurs fois peut-être pour comprendre à nouveau mieux le film.

Conte philosophique où le processus de métacognition de la solitude et de l'introspection est couru d'avance mais aussi, explicité outre mesure, alourdissant ainsi le récit de subterfuges narratifs répétitifs voire clichés. Cependant, l'ambiguïté du cadre spatio-temporel et l'évolution floue des enjeux sociaux apportent une touche de mystère plaisante à l'ensemble.

Nouvelle œuvre à la notation douteuse ? Non quand même pas ? Bah si !

Spaceman, nouvelle commande SF de Netflix avec Adaman Sandler est pour moi une réussite !

C’est un film intimiste et assez déroutant. Si l’on peut s’attendre à un film purement SF se passant dans l’espace, il n’en est rien.

Ce film a beaucoup été critiqué, car selon certain, assez complexe et peu intéressant. En réalité, le film est d’une simplicité enfantine si on le prend dans son caractère le plus stricto sensu, à savoir, la vie d’un astronaute mettant de côté son couple pour se consacrer à son travail.

Dès lors que l’on accepte cette vision du récit, et qu'on a un tant soit peu envie de se faire sa propre vision de l'oeuvre, le film devient nettement plus intéressant. En plus d’être d’une beauté à couper le souffle, (on voit que le type vient du monde du clip à la base) le film plonge le spectateur face à ses propres responsabilités, son propre passé, on se met totalement à la place de l’acteur principal.

Le film nous transporte en mode croisière dans l’espace avec des dialogues très calme et presque apaisant avec la douce voix de Paul Dano, qui là encore laisse le loisir au spectateur de se poser tout un tas de questions sur la vie extraterrestre, sur l’attachement à l’autre… tout en nous faisant se creuser les méninges tant on se demande si l’on fait toujours au mieux pour notre partenaire.

En somme, c'est un film magnifique qui, du début à la fin, laisse une grande place à l’interprétation en confrontant le spectateur à sa propre réalité et en le faisant réfléchir sur le sens de sa vie et de ses priorités. Un film à voir tranquillement le soir avant d’aller dormir, pour en prendre plein les yeux et plein la tête !

Ah lala que dire de ce film, eh bien pas grand chose. Mise à part que c'est une belle déception.

Vide et insipide. je ne m'attendais pas à ça... maigre humain


( J'ai vite décroché et fait autre chose à côté)

Un film rempli de poesie qui nous rappel qu'on ne regarde pas toujours au bon endroit.dans la vie... Magique...

Spoiler : Lenteur, réflexion peu profonde sur la vie et flashback à répétition sont au rendez vous !

Une catastrophe ce film, ni queue ni tête. À fuir absolument, vous allez juste perdre 1 heure et 46 mn de votre vie.

Près de Jupiter un cosmonaute autocentré rencontre une spoiler: araignée-gorille
intellectuellement disponible.
Bien que l'analyse psychologique du personnage principal trahisse le survol évident de cette discipline, le voyage est, quant à lui, passionnant, touchant et magnifiquement mis en scène.

Spaceman est un film de science-fiction intéressant, qui évite les clichés du genre. Une créature extraterrestre assez hideuse y apparaît ? Oui, mais uniquement afin de servir de voix de la sagesse qui conseille l'astronaute dans sa solitude. Parlons en de la solitude : l'idée de confronter le protagoniste à une double solitude (celle dans l'habitacle de son vaisseau spatial et celle occasionnée par la perte d'un proche) est loin d'être nouveau. Ad Astra fonctionne sur le même principe. Toutefois, l'introduction inattendue de l'étrange araignée géante télépathe qui devient peu à peu le seul qui ne lui ment pas, alors même que toutes l'équipe sur terre tente de lui cacher que son épouse est en train de le quitter, est la meilleure idée et en fait le principal point fort de ce film. Ça ne vaudra jamais 2001 Odyssée de l'espace, mais ça surnage dans un cinéma de science fiction qui trop souvent cache l'indigence de ses sujets par un festival d'effet spéciaux.