Avis : Spaceman - Page 3

Scénario nul, histoire inintéressante, un robinson qui vit une séparation à distance, une araignée d'on ne sait où tout ça dans l'espace...Come on...et ces lenteurs. Je me demandais ce que Sandler faisait dans une série B Tchéquie....mais non c'est bien un film produit chez l'oncle Sam. Ouf c'est terminé.

Bon film psychologique que je recommande plutôt pour les gens qui veulent développer leur culture cinématographique si déjà très développé, il faut se poser et se poser des questions sur ce film sans quoi il pourrait ne pas avoir de sens pour certains

SPIDERMAN. L'existence comme révolution, pour comprendre sa place. Un sens à sa vie, cruauté du doute, tissé dans les mélancolies d'une araignée comme ami. Un symbole du cosmos, une perspective, cause profonde de l'immensité de la civilisation. Hal 9000 a adoré.

Un petit film de science-fiction et métaphysique, pas terrible. Les acteurs son bons, la réalisation correcte. Il manque "juste" un scénario qui va au-delà de Qui suis-je ? Où vais-je ? Dans quel état j''erre ?

Bon, j'ai beau cherché et recherché, quel intérêt ? Tout çà pour çà ? De bons acteurs ne suffisent pas, il faut un scénario. Ici, c'est RDV chez le psy ou le "juge" des affaires sociales ... Navet + 1 !

N'est pas Solaris qui veut ! Sous ses airs de film de SF, Spaceman s'enlise dans sa narration et lasse plus qu'il ne diverti.

Film commencé il y a 32mn et j'en stoppe la lecture.
Il ne se passe rien. C'est plat. C'est lent. Chaque minute qui s'écoule est une longue agonie.

J'abandonne, car impossible de tenir 1h50 comme ça.

spoiler: L'arrivée de son "compagnon de route" qui ressemble à une grosse peluche
ne nous permet pas de croire un seul instant à la véracité de ce que l'on voit.

Grotesque, mou, vide, c'est une grosse déception moi qui apprécie Adam Sandler.

Une très jolie histoire sur l'introspection, le deuil amoureux, la solitude, et sur l'importance de ses choix, enrobée d'un récit de sf efficace Esthétiquement c'est très beau, et thématiquement c'est très touchant. Adam Sandler est parfait.

Voilà ce que l'on peut appeler un véritable OVNI Cinématographique ! C'est assez original, quoique assez lent, mais assez intéressant !

Assez curieux de voir Adam Sandler dans ce genre de role très sérieux. Meme s'il joue bien, il ne colle pas à l'image de l'astronaute. Reste un très beau film avec une ambiance à la 2001, la rencontre est poignante. La solitude est le terme fort du film. Pas mal du tout

Avec une très belle mise en scène, spaceman nous entraîne dans la vie spatiale, en apesanteur tout du long, à la rencontre d'un commandant de station qui n'aura de cesse de déballer ses émotions sentimentales à une araignée géante. Joliment interprété (avec sa douce voix agréable à l'oreille) , l’être inattendu semble servira de psychologue à notre commandant fatigué et impatient de rentrer sur Terre. Beaucoup de poésie mais on s'ennuie aussi...

Avec Spaceman, Johan Renck réalise un film de science-fiction dramatique surprenant, mais hélas pas terrible, comportant beaucoup trop de défauts malgré les bonnes intentions initiales. L'histoire nous fait suivre Jakub, un astrophysicien missionné par la Tchéquie dans le but de mener une mission spatiale consistant à analyser un important nuage de poussière aux environs de Jupiter qui est visible depuis la Terre depuis quatre années. Seulement, durant son long voyage, sa femme, sur le point d'accoucher lui annonce qu'elle le quitte via un message vidéo. L'homme, au bord de la folie, repense alors à toute sa vie et son passé, remettant en question son existence. Ce scénario, adapté du roman Un Astronaute En Bohême de l'auteur Jaroslav Kalfař, n'est malheureusement pas très convaincant rendant sa durée d'environ une heure et quarante-cinq minutes beaucoup plus longue. Pourtant, tous les éléments nécessaires à un récit poignant sont présents mais l'écriture de celui-ci n'est pas bonne. En premier lieu, difficile d'imaginer une agence spatiale envoyer un homme seul au fin fond de l'univers. Cela décrédibilise d'emblée l'intrigue, même en tentant de suspendre son incrédulité. Quand bien même, on aurait pu accepter cet état de fait si la romance, qui est le cœur de l'histoire, était touchante. Mais il n'en est rien à cause d'un personnage féminin détestable. Lui est coupable de tout, possède tous les torts et elle est une simple victime. Ce propos n'est juste pas tenable, surtout que son discours à elle est contradictoire. Résultat, cette relation intimiste ne fonctionne pas. Les autres sujets traités à travers ce périple cosmique ne parviennent non plus pas à prendre. Tout cela est notamment dû au fort aspect fantastique présent dans le film, qui prend même le pas sur le côté science-fiction. En conséquence, traiter d'un sujet terre-à-terre en partant dans un délire abstrait est antinomique. De plus, l'ensemble est terriblement redondant, on ressent une grande absence d'évolution dans le récit qui tire en longueur, ne comporte pas d'action et vrille totalement dans sa dernière partie. Tous ces défauts ne sont hélas pas atténués par la très jolie ambiance onirique constante qui s'en dégage. L'ensemble est porté par un Adam Sandler tout juste bon dans un rôle sérieux. Mais le véritable problème provient de sa partenaire Carey Mulligan dont rien que l'expression du visage ne donne pas envie de revenir de ce voyage. Le reste de la distribution comporte entre autre Paul Dano, Kunal Nayyar, Isabella Rossellini et Lena Olin. Mais tous ces rôles ne parviennent pas à procurer beaucoup d'émotions malgré les nombreuses tentatives. La faute à toutes les carences mentionnées. Pourtant, leurs échanges sont soutenus par des dialogues d'une belle profondeur, déclamés de façon apaisante, calme et douce, ce qui devrait toucher. Mais il n'y parvient pas. Sur la forme, la réalisation du cinéaste suédois est en demi-teinte. Même si on ressent de la personnalité, sa mise en scène souffre cruellement de son décor exigu et de son manque de variété. Elle permet tout de même de nous faire ressentir l'apesanteur via les mouvements flottants de sa caméra. Mais les séquences de souvenirs sont elles filmés de manière peu pertinente avec des distorsions et des flous peu esthétiques en plus de ne rien apporter. On saluera tout de même une photographie globalement agréable. Les effets spéciaux sont eux assez douteux concernant la créature à l'allure franchement nanardesque. Ce visuel soufflant le chaud et le froid est accompagné tout du long par une b.o. omniprésente signée Max Richter. Ses compostions sont en adéquation avec l'univers et permettent de renforcer l'atmosphère via leurs notes pleine de suspense. Et même si elles manquent d'identité et sont loin d'être marquantes, elles font ce qu'on leur demande en collant avec les images. Cette prise de conscience orbitale s'achève sur une fin métaphysique frôlant le ridicule, venant mettre un terme à Spaceman, qui, en conclusion, est un long-métrage raté dans son exécution en dépit d'un matériau prometteur, faisant de lui une œuvre franchement dispensable.

"Spaceman" a été l'un de mes visionnages les plus particuliers que j'ai eu depuis un bon petit moment. J'ai eu cette impression de ressortir lessivé à la fin du film, comme après avoir reçu trop d'émotions d'un seul coup. Pourtant, avant d'aller plus loin, je tiens quand même à signaler quelque chose. Clairement, ce long-métrage n'est pas parfait. Il a ses défauts et je peux comprendre que l'on puisse ne pas être sensible à celui-ci. Mais honnêtement, il est difficile pour moi de ne pas venir encourager ce genre de productions qui tente réellement des choses. Le concept du projet est assez simple sur le papier, on va confronter la thématique très connue de la solitude, à un homme dans une situation qui s'y prête parfaitement. À partir de ce point de départ, le film avait énormément de possibilités, et il a choisi le chemin de l'étrangeté, celui qui n'est pas forcément le plus facile. La rencontre avec Hanus amène une part de mystère au projet, qui n'est pourtant pas là pour être centrale. Ce personnage n'est jamais remis en question, ses origines seront explorées et auront le droit à un traitement, mais la question ne sera pas de s'y concentrer. L'objectif sera donc bien de jouer sur cette étrangeté, et cela se ressent dès la première rencontre entre ces deux protagonistes. Déjà, ne serait-ce que par son design, Hanus étant assez fascinant. L'idée d'une araignée géante qui parle pouvait être amenée vers une esthétique horrifique, mais ce n'est jamais le cas. Je trouve que le travail sur son design a été rondement bien mené, on arrive à voir énormément d'émotions dans un personnage qui n'est pas sensé en dégagé à la base. J'ai énormément apprécié la façon dont il est traité visuellement, et cela renforce beaucoup son caractère. Mais ensuite, une fois que cela est passé, il est assez intéressant de voir la façon dont Jakub réagit à cela. En temps normal, on devrait s'attendre à une grande séquence de panique, mais il n'en est finalement rien. Il est vrai que cette idée peut être assez déconcertante, et je me la suis moi-même posé. Mais dans l'ensemble, je trouve que le jeu d'Adam Sandler va bien avec ce qu'essaye de traiter le film et avec le caractère de son personnage. Étant perdu bien loin de sa planète et étant profondément seul, les réactions sont donc bien différentes. C'est grâce à cette solitude qu'il va pouvoir aborder sereinement la venue d'Hanus, et que le cœur du film va pouvoir se jouer. Comme je l'ai dit tout à l'heure, on joue sur le thème de la solitude, mais on va essayer de l'aborder d'une manière plus développée que de simplement mettre notre personnage face à ce sentiment. Grâce au regard d'Hanus, la thématique est abordée d'une manière bien plus universelle, et c'est réellement l'humain qui est questionné. On confronte également ces problèmes humains à l'immensité de l'univers, notamment lors de la conclusion. Cette séquence étant l'un des meilleurs moments du film à mon sens, car celle-ci déborde d'émotions et de poésies. Certes, c'est très contemplatif, mais par la beauté des plans, ces couleurs extrêmement travaillées et la musique assez grandiose de Max Richter, il est difficile de ne pas se laisser emporter par le tout si on est parfaitement rentré dans le film avant cela. Maintenant, je ne suis pas aveugle, et je vois bien que le long-métrage a quelques soucis, et un gros problème notamment. Le bémol va venir de sa façon d'aborder le montage et dans son refus de vouloir simplement nous offrir le point de vue de notre héros. Au lieu de cela, le long-métrage va constamment nous ramener sur Terre et il va également nous proposer la vision de cette histoire au travers des yeux de sa femme. Cela pouvait être intéressant, mais on sent réellement des grosses cassures dans le rythme, et l'ambiance générale du film, à ces moments-là. J'aurais peut-être encore été davantage dedans si le film s'était retenu et avait assumé ce huis clos très particulier. Mais même avec ce petit défaut, j'ai beaucoup aimé le film. Il n'est pas parfait, mais il fait vivre une réelle expérience si on réussit à s'y plonger. Ce n'est pas un projet pour tout le monde, mais il vaut le coup d'œil. Pour conclure, un beau moment.

Personnellement après 20 minutes j'ai cessé de regarder ce film , pas captivant, vraiment pas intéressant, mon avis un navet

Le film est lent et contemplatif, se concentrant sur les pensées et les sentiments de l'astronaute alors qu'il est isolé dans l'espace. Il explore des thèmes tels que la solitude, l'aliénation et la nature humaine.

La performance d'Adam Sandler est superbe. Il offre une performance nuancée et intériorisée qui capture parfaitement le sentiment d'isolement et de désespoir de son personnage. C'est rafraîchissant de le voir sortir une nouvelle fois de la case des comédies américaines un peu bas-de-plafond.

Si vous recherchez un film original qui vous fera réfléchir et peut-être même vous émouvoir, je vous le conseille.