Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Yemcel Sadou
Le voyage bouleversant, riche de photos personnelles et de vidéos d'époque, permet de comprendre à l’échelle d’une famille, les conséquences de la Nakba.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Elle
par Françoise Delbecq
Un film délicat et émouvant.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Suivant le fil ténu et sensible de la mémoire, Lina Soualem inscrit l’histoire de sa mère et la sienne dans celle d’une lignée de femmes palestiniennes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Sophie Grassin
Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut-être l’enfermement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
En remontant les fils de son passé familial, l’actrice et réalisatrice filme de manière intime la douleur de la perte et de l’exil de tout un peuple au moment où celle-ci est réactivée par les événements à Gaza.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par T. S.
Avec patience et délicatesse, Lina Soualem tisse ces histoires de deuil, de survie et de renaissance. Après avoir été disponible sur Arte, Bye Bye Tibériade sort en salle. C’est là qu’il faut voir ce film douloureux et doux, qui remonte à la source de la tragédie actuelle – pour le partager, pour en parler.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce récit bouleversant, qui résonne très fortement avec l’actualité, est tissé avec beaucoup de délicatesse grâce à des photos, mais aussi des lectures de poèmes ou des scènes rejouées par Hiam Abbas elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
L’accalmie et la beauté du film ne cachent évidemment pas son urgence tant son endroit, la Palestine, est plus que jamais menacé. Cette crainte imminente de la perte irrigue chaque plan du film et fait des images de Lina Soualem le précieux legs d’une mémoire vivante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Un portrait riche et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un subtil portrait de femmes.
Télérama
par Isabelle Poitte
À travers le récit de l’exil de sa mère comédienne, la réalisatrice Lina Soualem signe le portrait tendre et poignant des femmes palestiniennes. Et de leur capacité de résistance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Derrière ce récit autobiographique à partir des confessions familiales de sa mère, l’actrice Hiam Abbass, c’est toute l’histoire de la confiscation de terres palestiniennes par les autorités israéliennes qui résonne dans les mots de Lina Soualem. Un documentaire autant poignant qu’emprunt de dignité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Lina Soualem pose sur un mur les visages des membres de sa famille. Elle compose ainsi une vaste mosaïque où la musique du deuil du berceau familial ne cesse de retentir. On regrette cependant un manque de structure qui empêche le film d’être totalement réussi.
Première
par Emma Poesy
Arrière-petite-fille d’une longue lignée de femmes palestinienne, Lina Soualem est la première de sa famille à être née loin de Tibériade, enclave palestinienne à la frontière du Liban et de la Syrie. Cet éloignement, elle le doit à sa mère, Hiam Abbass, partie du pays très jeune pour devenir actrice à Paris. C’est à cette dernière que s’intéresse ce documentaire émouvant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
Le voyage bouleversant, riche de photos personnelles et de vidéos d'époque, permet de comprendre à l’échelle d’une famille, les conséquences de la Nakba.
Elle
Un film délicat et émouvant.
L'Humanité
Suivant le fil ténu et sensible de la mémoire, Lina Soualem inscrit l’histoire de sa mère et la sienne dans celle d’une lignée de femmes palestiniennes.
L'Obs
Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut-être l’enfermement.
La Croix
En remontant les fils de son passé familial, l’actrice et réalisatrice filme de manière intime la douleur de la perte et de l’exil de tout un peuple au moment où celle-ci est réactivée par les événements à Gaza.
Le Monde
Avec patience et délicatesse, Lina Soualem tisse ces histoires de deuil, de survie et de renaissance. Après avoir été disponible sur Arte, Bye Bye Tibériade sort en salle. C’est là qu’il faut voir ce film douloureux et doux, qui remonte à la source de la tragédie actuelle – pour le partager, pour en parler.
Le Parisien
Ce récit bouleversant, qui résonne très fortement avec l’actualité, est tissé avec beaucoup de délicatesse grâce à des photos, mais aussi des lectures de poèmes ou des scènes rejouées par Hiam Abbas elle-même.
Les Inrockuptibles
L’accalmie et la beauté du film ne cachent évidemment pas son urgence tant son endroit, la Palestine, est plus que jamais menacé. Cette crainte imminente de la perte irrigue chaque plan du film et fait des images de Lina Soualem le précieux legs d’une mémoire vivante.
Libération
Un portrait riche et sensible.
Ouest France
Un subtil portrait de femmes.
Télérama
À travers le récit de l’exil de sa mère comédienne, la réalisatrice Lina Soualem signe le portrait tendre et poignant des femmes palestiniennes. Et de leur capacité de résistance.
aVoir-aLire.com
Derrière ce récit autobiographique à partir des confessions familiales de sa mère, l’actrice Hiam Abbass, c’est toute l’histoire de la confiscation de terres palestiniennes par les autorités israéliennes qui résonne dans les mots de Lina Soualem. Un documentaire autant poignant qu’emprunt de dignité.
Les Fiches du Cinéma
Lina Soualem pose sur un mur les visages des membres de sa famille. Elle compose ainsi une vaste mosaïque où la musique du deuil du berceau familial ne cesse de retentir. On regrette cependant un manque de structure qui empêche le film d’être totalement réussi.
Première
Arrière-petite-fille d’une longue lignée de femmes palestinienne, Lina Soualem est la première de sa famille à être née loin de Tibériade, enclave palestinienne à la frontière du Liban et de la Syrie. Cet éloignement, elle le doit à sa mère, Hiam Abbass, partie du pays très jeune pour devenir actrice à Paris. C’est à cette dernière que s’intéresse ce documentaire émouvant (...).