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dragon_ryu
14 abonnés
487 critiques
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0,5
Publiée le 30 août 2009
Immonde, rien à sauver. L'attrait principal du film est censé être les scènes d'action, mais elles font toutes pitié, c'est mollement chorégraphié, les acteurs sont manchots, pas un pour lever la patte correctement, les mouvements assistés par câbles manquent furieusement de grâces et de souplesses, c'est monté avec les pieds, les plans commencent trop tôt et se finissent trop tard et la plupart durent moins d'une seconde, résultat illisible. Tout les passages tournés sur fond vert et retravaillés à l'ordi par la suite sont hideux, les incrustations font saigner des yeux, on se croirait revenu au milieu des 90's, je parlerai même pas des doublures numériques qui sentent le polygone PS1 à plein nez (et qui donne au film un aspect matrix du pauvre si on rajoute à ça des effets bullet-time inutiles et moches). Le film rate son coup sur la seule chose qu'il avait à proposer, de l'action. Car pour le reste c'est juste de la grosse blague, l'histoire est à chier et ne nous intéresse à aucuns moments, les personnages sont caractérisés à la truelle, les acteurs sont à chier, le film ne contient pas beaucoup de temps mort mais se permet d'être chiant comme la mort. Mieux vaut se revoir un petit "Hellboy".
Réunissez la star décroissante Chow Yun Fat et le débile mental Sean William Scott, saupoudrez le tout de dialogues proche de l'autisme et vous obtiendrez miraculeusement Bulletproof Monk, le navet de compétition made in Hollywood ! Restera quelques scènes divertissantes qui se comptent sur les doigts d'une main.
De belles chorégraphies et un élan de générosité permettent à ce film d'obtenir deux étoiles. Il n'en reste pas moins que l'histoire, les dialogues et les personnages sont assez pitoyables.
Pas trop mal, le scénario est moyen, les acteurs font de leur mieux mais ça ne suffit pas vraiment... C'est quelques fois amusant mais c'est prévisible. Bref, c'est moyen.
On s'y attendait et oui encore un comic transformé en gros n'importe nawak tourné à la va-vite et le tout produit par un John Woo à la ramasse. Il s'en suit une comédie kung fu tourné avec les pied par un tâcheron, il faut vraiment voir certains raccord pourris qui n'ont d'égal que la faiblesse d'un Chow yun Fat qui n'a aucune maitrise des arts martiaux ce qui pose quand même problème parce qu'il est censé être un maitre d'art martiaux et en plus il est acoquiné avec ce crétin insupportable de Sean William Scott. Le tout est tellement bête que ça se laisse regarder quand même même mais il faut débrancher son cerveau avant.
Seann William Scott se lance dans une aventure plutôt surprenante pour un acteur plus habitué au rôle d'étudiant sans complexe. Mais, il s'en sort plutôt bien et se démarque de ses copains d'Américan Pie.
un film très moyen néanmoins on a le droit a quelques bonnes scènes de combats mais c'est trop classique le coup de l'élu et tout le tralala c'est du déjà vu !
Sorti durant un été 2003 riche en blockbusters, Le Gardien du Manuscrit Sacré est pour le moins passé inaperçu. Aujourd'hui encore, on redécouvre ce nanar en puissance où l'on peut admirer l'une des plus hasardeuses entrées américaines de stars asiatiques. Car si on avait déjà pu voir Chow Yun-Fat dans des productions U.S. plutôt sympathiques (Un tueur pour cible, Le Corrupteur ou encore Anna et le Roi), cette nouvelle escapade s'avère en revanche incroyablement burlesque. Fort du succès mondial de l'acclamé Tigre & Dragon, l'acteur chinois s'est dit : « Une production américaine, chic alors ! Pas besoin de lire le scénario, ça sera un succès de toute façon. Non parce qu'ils sont trop forts ces Américains ! ». Mais qu'as-tu fait Chow ? Il incarne donc un moine sans nom, immortel de surcroit, qui est depuis 60 ans à la recherche de son successeur capable de conserver à son tour un manuscrit sacré. Il le découvre finalement aux États-Unis en la personne de Kar, un pickpocket fan de films d'arts martiaux qui va se révéler être l'élu de la prophétie. Mais de dangereux bandits sont à leur poursuite et vont retourner la ville pour retrouver le fameux manuscrit. Un scénario comme celui-là n'inspire pas forcément confiance mais peut fortement divertir en mélangeant habilement chinoiseries et fantastique comme ce fut le cas pour Golden Child ou encore Les Aventures de Jack Burton. Mais n'est pas John Carpenter qui veut et le réalisateur de clips Paul Hunter (dont ça restera l'unique film) s'avère être un tâcheron incapable de proposer un long-métrage un tant soit peu divertissant. Séquences d'action mal cadrées, dialogues philosophiques d'une débilité agaçante, humour au ras des pâquerettes, interprétation ringarde (Seann William Scott aux côtés de Chow Yun-Fat, on aura tout vu), rythme en dents de scie... Le Gardien du Manuscrit Sacré est aussi moche sur l'affiche que sur l'écran et rien, aucune scène, ne viendra nous faire monter l'adrénaline. Honnêtement, on y croyait, même après cette vomitive séquence d'ouverture sous fond vert mais rien n'y fait : la sauce ne prend jamais et on a plus l'impression de supporter le film que de le regarder. Au final trop vulgaire pour les enfants, trop crétin pour les adultes et surtout trop sérieux pour être un nanar, Le Gardien du Manuscrit Sacré est tout simplement un ratage que l'on oubliera très rapidement.
Eh bien, eh bien... Après ses duos avec Danny Lee, Mark Whalberg, Jodie Foster, le mythe Chow Yun-Fat est de retour... avec Stifler de American Pie !!! Incroyable, improbable, et pourtant ils l'ont fait. En dehors de ca, le film est nul. Jamais drôle, je me demande ce qui m'a poussé à le voir jusqu'au bout. Mais j'aurai raté Chow Yun-Fat en Beowulf à la fin du film. Affligeant... Ce film a le seul mérite de détroner Un tueur pour cible comme plus mauvais film US avec Chow Yun-Fat.
un film d'acion et de kung fu bannale. l'histoire est interessente avec un sorte de passsage de flambeau melant passée et présent et mythologie. a voir pour le fun.