Non non et encore non. Je suis resté tant bien que mal jusqu’àu bout de ce jeu de « tourner en rond » en espérant avoir tout de même une explication visuelle et psychologique de ce qui s’est passé pour cette famille mais je n’ai rien eu. Non non et non. Je n’en veux plus de ce genre de film avec ni queue ni tête.
”Reclus” est une réalisation surtout très belle à regarder car la photographie est fort réussie, les lumières jouant sur le clair-obscur avec ses effets de contraste sont magnifiques. La communauté d'Aragon en Espagne est somptueusement filmée.
Roberto Alamo a un rôle très court et surtout qui le change des ceux qu'ils a eus dans ”Que Dieu nous pardonne” ou dans la série ”Caronte”. Inma Custa, je l’avais vu en 2020 dans ”Après toi le chaos”
C’est l’interprétation du très jeune Asier Flores (déjà vu dans Douleur et Gloire et Quelqu'un doit mourir), que je retiendrai car je lui ai trouvé un jeu remarquable.
L’histoire malheureusement n’a rien de bien intéressant et se rapprocherait du soporifique, du moins à mon goût.
C’est une sorte de huis clos et il ne se passe finalement pas grand chose. Il ne se passe tellement pas grand chose que Morphée, qui déjà commençait à me tourner autour dès le début, m’est tombé carrément dessus et j’ai dû revenir en arrière à plusieurs reprises pour ne rien louper.... au cas où il y aurait eu quelque chose rendant captivant la suite.... Hélas non... Je ne veux rien spoiler mais toujours est-il que je me suis quand même surtout bien enquiquinée.
On peut y voir comme certains l’ont écrit surtout une ”sorte” de réflexion sur la maladie mentale ? Oui bien sûr mais l'ensemble a fait que rien ne m'a vraiment intéressée.
Bref, j'ai été bien déçue mais j'accorde 2 étoiles tout de même (lorsque je n'aime pas du tout, je ne note même plus) pour l'interprétation et la photographie.
Vraiment une perte de trmps. C'est tellement minable et ridicule sans aucun sens ; que ça en devient presque agaçant. Netflix n'est pas "cher" mais ça se comprend vu les navets qu'ils produisent...
Ne vous attendez pas à un film d'horreur à l'américaine. Ce film se regarde seul avec un minimum de maturité pour bien comprendre où voulait en venir le réalisateur.
C'est plus un film psychologique avec une touche de terreur, de dépression surtout à partir du milieu du film.
Les acteurs jouent très bien mention spéciale pour le petit garçon. La photographie est vraiment belle.
Quelle claque. Heureux de mettre un avis qui sort du lot car cela veut dire que j'ai compris l'essence d'un film qui change des films d'horreur habituel. L'image est magnifique, le jeu d'acteur est très bon. Bien sur si vous voulez des screamer et du gore passez votre chemin. Ce huis-clos nous plonge au sein d'une famille rongé par la peur et la dépression dans une Espagne en guerre.
Mauvaise classification qui ne met pas le film en valeur. Pour ma part, j’ai trouvé l’esthétique très soignée, le jeu d’acteur du jeune homme très appréciable et le thème de la dépression liée à l’isolement et à la peine bien réussi.
Je trouve que la note moyenne du film ne reflète pas les efforts et la qualité que le réalisateur a mis dans ce film. Certes celui-ci s'étire lentement sur l'évolution psychologique de cette famille, donnant l'impression qu'il ne se passe rien et qu'il n'y a rien à raconter. Mais en réalité il n'en est rien. Le film est une allégorie de la dépression et du désespoir engendrés par la solitude, la peur du monde extérieur et le manque de confiance en l'avenir. Tous les symboles de cette souffrance sont ici dépeints de manière juste. Le travail du réalisateur sur la lumière éclaire le spectateur, de manière fine, sur le contraste entre une vie extérieure baignée par la lumière de la lande (el paramo) et celle de la vie recluse dans la maison où la lumière ne pénètre quasiment pas et même de moins en moins au fur et à mesure du film. Entre clair et obscur, espoir et désespoir, c'est un film à voir non pas pour ressentir la peur; mais pour contempler avec effroi que le repli sur soi n'a que de funestes conséquences. Et si la solution tenait en l'espoir d'un enfant de vivre un monde meilleur? Quisas, quisas, quisas...
Situé au XIXe siècle dans une Espagne déchirée par la guerre, "El páramo" raconte l'histoire d'une famille qui essaie de survivre en vivant à l'écart du monde. Lucía, Salvador et leur fils Diego habitent une petite maison éloignée de tout avec au loin deux poteaux faisant office de limite pour leur fils qui ne doit jamais aller au-delà, car il n'y a rien de bon uniquement des gens qui se font du mal. Vivre loin de tout ne va pour autant pas les protéger, car une menace rôde... L'un des premiers plans quand le petit veut aller au petit coin met directement dans l'ambiance avec cette porte qui s'ouvre vers un environnement qui semble aussi hostile qu'inquiétant. En terme d'ambiance, David Casademunt fait du bon travail idem pour ce qui est de la photographie d'Isaac Vila, par contre l'histoire n'est pas toujours convaincante. Le récit oscille entre le home invasion et le drame psychologique avec cette peur de l'extérieur et cet isolement qui semble avoir un impact sur cette famille notamment sur Lucía qui perd pied. On ressent le danger et les conséquences de l'isolement, mais je n'ai jamais cru à ce que le réalisateur essayait de mettre en place avec à la fois la peur de l'extérieur à cause de cette menace invisible et la détérioration de la santé mentale de Lucia suite à cet isolement prolongé. "El páramo" se laisse regarder, mais il y a beaucoup mieux dans le même genre.
Pour moi ce n’est pas un film d’horreur ,et il ne sera pas élu film de l’année, assez lent dans l’ensemble avec peu d’action . Ce film joue malgré tout fort sur le psychologique et donne des frissons par moment car on se met à la place de ce petit garçon qui est attachant et qui joue très bien son rôle, rien que pour ca je mets une bonne note .. Ce film avec juste des adultes n’aurait mérité qu’un 2 /5 car ça n’aurait pas été pareil .
Sombre ambiance et photographie magnifique ! Non ce n’est pas du porn-gore à l’américaine à bâfrer devant un tas de pop corn en s’enfilant des canettes de bières! C’est une œuvre à savourer seul. Tard et triste. Il vous plongera dans l’odeur des jeux d’enfants, la douleur des personnes qui partent et les tourments de la vie, avec une simplicité métaphorique. Il parlera à ceux qui avaient des grands-parents accoudés à une vieille table en bois. Il parlera à ceux qui ont des enfants et craignent pour leur avenir. Il parlera à ceux qui ont souffert et ont vu souffrir. Et que passent leur chemin ceux à qui ces mots ne résonnent pas !
Bon, plusieurs points à aborder: - Non, ce n'est pas un film d'horreur et c'est assez déroutant au début je peux l'accorder à certaines critiques. - Il y a des moments calmes oui mais à la marge et comme dans tous les films ... Mais de là à avoir mis une note moyenne de 1,7 pour ce film... Incompréhensible. Si vous aimez les films psychologiques, FONCEZ!!! Franchement, le terme abordé est très vite compréhensible et on voit par les différentes métaphores le sujet du film. De plus c'est un film assez original qui peut plaire à tout le monde mais plus dans le genre "intrigue, psychologie". Très déçu de voir un film aussi rabaissé par les critiques parce que "gneugneu il est pas dans la bonne catégorie".
Le film est pas terribles, on a vu mieux sur Netflix mais bon. En soit si vous devez regarder ce film, passé votre chemin rien d'intéressant, un film qu'on oubliera dans 3 jours, après si vous aimez les films drame, car oui c'est plus un film drame que horreurs, bah je pense que vous aimerez car pour moi c'est pas mon délire. Le but du film c'est de tuer un monstre spoiler: qui n'existe pas . Déçu il y avait du bon potentiel mais ils ont mal exploité le côté mystère du monstres car on a des questions sans réponses comme la fille fantôme ou pourquoi sont-ils aussi égaré ou encore spoiler: où est passé le père qui est parti chercher du lait . Bref film ennuyant et peu intéressant.