Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Le dernier Ours d’or fustige l’embaumement moral d’une société en l’immergeant dans sa propre soupe de sous-valeur, en prouvant que le pornographe est celui qui jouit de sa propre absence de regard.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
C’est la force bluffante de Jude de nous donner à contempler ce monde que le cinéma semble avoir mis entre parenthèses, qui est dans la salle ou dans la chambre, et de nous le révéler comme réalité désolée et représentation allégorique. Cinéma capable de documenter de façon intempestive l’époque tout en la soumettant à la férule bouffonne de la dialectique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Séverine Danflous
Magnifique film.
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Entre la forme documentaire de cette ouverture porno amateur et la scénographie beaucoup plus théâtrale d’un tribunal populaire, le film retourne l’un après l’autre les éléments de la farce.
Critikat.com
par Corentin Lê
C’est ce qu’il y a de plus réjouissant dans la démarche de Radu Jude : être parvenu à combiner la pertinence critique et analytique d’un film-essai avec le mauvais esprit jubilatoire d’une bonne caricature.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Bad Luck Banging or Loony Porn arrive à point en cette fin décembre dans les salles françaises pour boucler en beauté une nouvelle année absurde d'hystérie, de confusion et de bêtise ubiquitaire en préférant poser sur cette désolante déliquescence généralisée un regard goguenard vivifiant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
“Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs”, disait Georges Clémenceau. Et c’est bien cette attitude tartuffe que dénonce avec un humour hénaurme et libérateur, carnavalesque, le film de Jude.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Qu’importe si chaque «segment» paraît un peu trop long, ce majeur tendu à la face de la bien-pensance des réseaux sociaux fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
A chaque instant, Jude y questionne la notion d’obscénité qui dépasse évidemment les rives de la pornographie. Accompagné par des ritournelles de… Bobby Lapointe, l’Ours d’Or de Berlin 2021 raconte la banalité du mal en se montrant tout à la fois glaçant et hilarant. Le cocktail parfait d’une oeuvre hors normes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Avec cette réflexion sur le point de vue, sur le montré et le caché, le décent et l’indécent, Radu Jude fait surtout le procès de l’obscénité. Qui réside, comme la beauté, ce n’est plus un secret, dans l’œil de celui qui regarde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Etienne Sorin
Premier film à représenter notre quotidien masqué et à cran, cette satire au bazooka montre que la pornographie est partout sauf dans la vie sexuelle d'Emilia.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Une charge virulente contre nos sociétés de l'information.
Positif
par Fabien Baumann
C’est brillant mais grotesque, amusant mais horripilant.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Une peinture sarcastique de la société roumaine et d’un certain retour à l’ordre moral. La narration audacieuse et le montage singulier contribuent à l’originalité du film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Rien de plus agaçant que les comiques punks qui se prennent au sérieux. Radu Jude est de ceux-là. Il tient un postulat pertinent, témoigne d’une réjouissante folie subversive, mais se complaît dans des poses d’auteur (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par A.C.
Ours d'or à Berlin, ce film (d)étonne autant par son audace que par son côté démonstratif, drôle mais parfois sentencieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Le dernier Ours d’or fustige l’embaumement moral d’une société en l’immergeant dans sa propre soupe de sous-valeur, en prouvant que le pornographe est celui qui jouit de sa propre absence de regard.
Libération
C’est la force bluffante de Jude de nous donner à contempler ce monde que le cinéma semble avoir mis entre parenthèses, qui est dans la salle ou dans la chambre, et de nous le révéler comme réalité désolée et représentation allégorique. Cinéma capable de documenter de façon intempestive l’époque tout en la soumettant à la férule bouffonne de la dialectique.
Transfuge
Magnifique film.
Cahiers du Cinéma
Entre la forme documentaire de cette ouverture porno amateur et la scénographie beaucoup plus théâtrale d’un tribunal populaire, le film retourne l’un après l’autre les éléments de la farce.
Critikat.com
C’est ce qu’il y a de plus réjouissant dans la démarche de Radu Jude : être parvenu à combiner la pertinence critique et analytique d’un film-essai avec le mauvais esprit jubilatoire d’une bonne caricature.
Culturopoing.com
Bad Luck Banging or Loony Porn arrive à point en cette fin décembre dans les salles françaises pour boucler en beauté une nouvelle année absurde d'hystérie, de confusion et de bêtise ubiquitaire en préférant poser sur cette désolante déliquescence généralisée un regard goguenard vivifiant.
Les Inrockuptibles
“Quand les événements nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs”, disait Georges Clémenceau. Et c’est bien cette attitude tartuffe que dénonce avec un humour hénaurme et libérateur, carnavalesque, le film de Jude.
Paris Match
Qu’importe si chaque «segment» paraît un peu trop long, ce majeur tendu à la face de la bien-pensance des réseaux sociaux fait un bien fou.
Première
A chaque instant, Jude y questionne la notion d’obscénité qui dépasse évidemment les rives de la pornographie. Accompagné par des ritournelles de… Bobby Lapointe, l’Ours d’Or de Berlin 2021 raconte la banalité du mal en se montrant tout à la fois glaçant et hilarant. Le cocktail parfait d’une oeuvre hors normes.
Télérama
Avec cette réflexion sur le point de vue, sur le montré et le caché, le décent et l’indécent, Radu Jude fait surtout le procès de l’obscénité. Qui réside, comme la beauté, ce n’est plus un secret, dans l’œil de celui qui regarde.
Le Figaro
Premier film à représenter notre quotidien masqué et à cran, cette satire au bazooka montre que la pornographie est partout sauf dans la vie sexuelle d'Emilia.
Le Monde
Une charge virulente contre nos sociétés de l'information.
Positif
C’est brillant mais grotesque, amusant mais horripilant.
aVoir-aLire.com
Une peinture sarcastique de la société roumaine et d’un certain retour à l’ordre moral. La narration audacieuse et le montage singulier contribuent à l’originalité du film.
L'Obs
Rien de plus agaçant que les comiques punks qui se prennent au sérieux. Radu Jude est de ceux-là. Il tient un postulat pertinent, témoigne d’une réjouissante folie subversive, mais se complaît dans des poses d’auteur (...).
Le Journal du Dimanche
Ours d'or à Berlin, ce film (d)étonne autant par son audace que par son côté démonstratif, drôle mais parfois sentencieux.