Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Avec ce film choral à la Robert Altman, Panos H. Koutras signe une satire surréaliste sous le signe de l’absurde et de la cruauté : de dérèglement en règlements de comptes, un petit jeu de massacre sombre et léger à l’humour dévastateur.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce joyeux bazar, gentiment suréaliste, se savoure en toute légéreté.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C’est jouissif, impitoyable, farfelu.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Son argument fantastique dynamite les attentes et fait beaucoup pour le charme baroque de cette comédie déstabilisante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Dans son nouveau film, Pános H. Koútras porte un regard humble et humaniste sur la société occidentale à travers les yeux de Dodo.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Le film du Grec Panos H. Koutras emboîte deux régimes de fiction (animation au sein de prises de vue réelles) pour faire advenir une séquence méchamment poétique et décalée.
Télérama
par Guillemette Odicino
Vaudeville, mélo et tragédie grecque, Dodo brasse les styles avec une maestria insolente, entre salon et jardin, entre Ionesco, Buñuel, et Almodóvar pour le rocambolesque pop et queer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un peu foutraque, ce Dodo est un ovni de drôlerie et de dialogues au cœur de la Grèce encore malade de la crise de 2012. Un film savoureux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
S’il n’évite pas les longueurs et tient un peu à distance le spectateur, ce récit chaotique et burlesque fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle et Michel Valentin
Un film choral fantaisiste, savoureux et totalement exotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Sandra Onana
Si le plaisir s’essouffle un peu sur le temps long, on trouve son aise dans ce carnaval qui tire le merveilleux par les cheveux, au cœur duquel résonne le cri sauvage d’un oiseau aux mensurations de petit dinosaure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du réalisateur de « l’Attaque de la moussaka géante », on pouvait néanmoins s’attendre à moins balisé que cette sitcom satirique, bien jouée mais mollassonne, où le dodo (moche créature numérique) incarne, au choix, la peur de l’étranger ou l’incapacité de la société grecque à tirer parti de ses richesses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Au-delà de la rencontre incongrue entre l’animal, tout droit sorti d’un film d’animation en 3D, et les protagonistes, qui donne lieu à quelques moments de comédie réjouissante, le film s’enlise rapidement dans des scènes au pathos appuyé et souffre d’un scénario trop étiré.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ses développements à rallonge, ses conciliabules feutrés, sa folie diluée dans le tout narratif et surtout son filmage sans imagination justifié par une vague plus-value cinéma achèvent de rabattre l’ensemble dans les ornières d’un premier degré lénifiant, dont Dodo ne décolle jamais tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Placer un dodo, animal exterminé, au centre d’un récit déjà riche en rebondissements, est une idée superbe. Les incongruités et autres outrances auraient cependant été plus savoureuses avec un montage plus serré, et quelques accélérations de rythme ici et là.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Critikat.com
par Corentin Lê
L’anachronisme produit par la présence du dodo se trouve hélas relégué à une poignée de scènes burlesques qui peinent à interrompre le ronron d’un petit théâtre social à l’envergure digne d’un téléfilm.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un vaudeville théâtral et brouillon, qui a vraiment du mal à exploiter pleinement son postulat de départ.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ouest France
par François Léger
Confus et avec des métaphores un peu grasses.
Positif
par Lorenzo Codelli
On regarde en bâillant cette farce (p)ornithologique voler au plus bas, sans style ni humour.
Première
par François Léger
Koutras semble empêtré dans son propre récit, composé de sous-intrigues en cascades et de métaphores plus ou moins grossières.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec ce film choral à la Robert Altman, Panos H. Koutras signe une satire surréaliste sous le signe de l’absurde et de la cruauté : de dérèglement en règlements de comptes, un petit jeu de massacre sombre et léger à l’humour dévastateur.
Femme Actuelle
Ce joyeux bazar, gentiment suréaliste, se savoure en toute légéreté.
Le Dauphiné Libéré
C’est jouissif, impitoyable, farfelu.
Le Figaro
Son argument fantastique dynamite les attentes et fait beaucoup pour le charme baroque de cette comédie déstabilisante.
Les Inrockuptibles
Dans son nouveau film, Pános H. Koútras porte un regard humble et humaniste sur la société occidentale à travers les yeux de Dodo.
Marie Claire
Le film du Grec Panos H. Koutras emboîte deux régimes de fiction (animation au sein de prises de vue réelles) pour faire advenir une séquence méchamment poétique et décalée.
Télérama
Vaudeville, mélo et tragédie grecque, Dodo brasse les styles avec une maestria insolente, entre salon et jardin, entre Ionesco, Buñuel, et Almodóvar pour le rocambolesque pop et queer.
aVoir-aLire.com
Un peu foutraque, ce Dodo est un ovni de drôlerie et de dialogues au cœur de la Grèce encore malade de la crise de 2012. Un film savoureux.
Le Journal du Dimanche
S’il n’évite pas les longueurs et tient un peu à distance le spectateur, ce récit chaotique et burlesque fait mouche.
Le Parisien
Un film choral fantaisiste, savoureux et totalement exotique.
Libération
Si le plaisir s’essouffle un peu sur le temps long, on trouve son aise dans ce carnaval qui tire le merveilleux par les cheveux, au cœur duquel résonne le cri sauvage d’un oiseau aux mensurations de petit dinosaure.
L'Obs
Du réalisateur de « l’Attaque de la moussaka géante », on pouvait néanmoins s’attendre à moins balisé que cette sitcom satirique, bien jouée mais mollassonne, où le dodo (moche créature numérique) incarne, au choix, la peur de l’étranger ou l’incapacité de la société grecque à tirer parti de ses richesses.
La Croix
Au-delà de la rencontre incongrue entre l’animal, tout droit sorti d’un film d’animation en 3D, et les protagonistes, qui donne lieu à quelques moments de comédie réjouissante, le film s’enlise rapidement dans des scènes au pathos appuyé et souffre d’un scénario trop étiré.
Le Monde
Ses développements à rallonge, ses conciliabules feutrés, sa folie diluée dans le tout narratif et surtout son filmage sans imagination justifié par une vague plus-value cinéma achèvent de rabattre l’ensemble dans les ornières d’un premier degré lénifiant, dont Dodo ne décolle jamais tout à fait.
Les Fiches du Cinéma
Placer un dodo, animal exterminé, au centre d’un récit déjà riche en rebondissements, est une idée superbe. Les incongruités et autres outrances auraient cependant été plus savoureuses avec un montage plus serré, et quelques accélérations de rythme ici et là.
Critikat.com
L’anachronisme produit par la présence du dodo se trouve hélas relégué à une poignée de scènes burlesques qui peinent à interrompre le ronron d’un petit théâtre social à l’envergure digne d’un téléfilm.
La Voix du Nord
Un vaudeville théâtral et brouillon, qui a vraiment du mal à exploiter pleinement son postulat de départ.
Ouest France
Confus et avec des métaphores un peu grasses.
Positif
On regarde en bâillant cette farce (p)ornithologique voler au plus bas, sans style ni humour.
Première
Koutras semble empêtré dans son propre récit, composé de sous-intrigues en cascades et de métaphores plus ou moins grossières.