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    Corsage
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    séverine robin
    séverine robin

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Très bon film, une mention spéciale pour Vicky Krieps. Elle nous montre tellement bien ce qu'elle a dans la tête et son égarement.
    Patrick Chaumet
    Patrick Chaumet

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2022
    J'ai beaucoup aimé cette interprétation loin de Sissi. Le personnage est moderne et pourrait vivre maintenant. Les décors et les costumes sont magnifiques.
    Mariemati
    Mariemati

    2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2022
    Pas aimé. . Long . Rien de nouveau , sur la vie de cette impératrice , que Nous ne sachions . Parfois l actrice est touchante et parfois horripilante. Si je devais donner une note : un petit 3 pour les décors
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Dans la réalité, Elisabeth de Wittelsbach meurt assassinée à Genève en 1898 par un anarchiste italien . Elle a 60 ans. Dans le film de Marie Kreutzer, elle se jette de la proue d'un navire en pleine mer. Elle a tout juste 40ans passé... Toute sa vie l'impératrice Sissi a détesté la cour de Vienne et l'étiquette autrichienne. On est loin de Romy Schneider dans le film de Ernst Marichka de 1955 qui fige l'image d'une Sissi pétillante qui rencontre son futur mari venu épouser sa soeur aînée et qui rencontre Sissi lors d'une partie de pêche qui tourne en quiproquo ...

    Curieux biopic donc dont on ne voit pas bien la raison exacte... l'interprétation de Vicky Krieps est splendide et les décors qui se s'embarrassent pourtant pas de laisser paraître rampes en inox et interrupteurs électriques aussi ... Mais quel est l'objet du film ? La vie corsetée d'une femme qui fuyait le monde et sans doute elle même en Hongrie, en Italie, à Madère ... ? Une femme obsédée par sa beauté et son poids qui voulait peser 50 kg pour 1,72m (55,9 sur la balance dans le film) et qui pratiquait du sport du matin au soir, à cheval, aux agrès, à l'escrime et qui se faisait corseter très fermement pour n'être capable d'avaler qu'un bouillon de viande, dont la neurasthénie finit par toucher la vitalité et la joie de vivre...

    il n'y avait pas besoin de réinventer Sissi car l'impératrice est à elle seule un personnage de roman . Elle fume, elle prend des libertés, est comme on dirait aujourd'hui borderline à tel point que Louis II de Bavière finit par lui dire d'aller se noyer dans un autre lac que le sien, à Starnberg, où il se noiera effectivement... Alors de quoi s'agit-il? D'un portrait de la mélancolie, mal de cette fin de siècle, souvent diagnostiquée par les médecins viennois ? D'une ébauche de la folie ? D'une dénonciation de la condition féminine au sein de l'aristocratie empesée de l'Autriche finissante ?

    Il y a toute une littérature pour ça . Dommage que Stephen Sweig n'ait pas écrit sur Sissi comme il l'a fait pour Marie Antoinette. Mais il n'a pas du trouver le personnage si intéressant , sans doute parce que Sissi meurt par accident, sans rencontrer l'Histoire comme son héroïne favorite prise dans la révolution française, un événement plus grand qu'elle et son mari le roi ...

    Bref tout ce film m'a dérangé sans me déplaire mais sans me plaire aussi tout à fait ... Sissi fume, Sissi est inconvenante, Sissi fuit ses responsabilité et préfère s'entourer de Dames hongroises, Marie et Ida et ... de ses anciens amants ... Elle disparaît dans le film en 1878 (pourquoi?) alors que dans la réalité les épreuves ont commencé à poindre à peut près à cette date et que la mort mystérieuse de Rodolphe, son fils, en 1889, avec sa maîtresse, dans son pavillon de chasse de Mayerling sera le début d'une dépression qui prolonge en fait une vie d'errance dans laquelle l'impératrice s'ennuie, n'aimant plus son mari l'empereur trop occupé et cédant à tous ses caprices, atteinte par l'âge peut être, n'aimant plus ses cheveux qu'elle coupe, indifférente sûrement aux grands changements européens engagés à Vienne depuis 1848.

    Un film qui n'a rien à voir avec celui de Sofia Coppola qui était fortement sourcé avec quelques raccourcis de génie ... ici je n'en ai pas vu.
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