Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Ouest France
par Michel Oriot
Une interprétation impeccable de Vicky Krieps.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Il fallait le génie de Vicky Krieps, actrice punk par essence, pour donner corps à cette héroïne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La cinéaste autrichienne dresse de cette princesse d’une grande beauté comme d’une immense tristesse un bouleversant et magnifique portrait. Elle le rehausse d’une réalisation époustouflante, à la hauteur de sa sublime héroïne.
Ecran Large
par Chloé Chahnamian
Marie Kreutzer et Vicky Krieps réinventent habilement l’histoire si connue et si romanisée de Sissi l’impératrice en lui permettant d’échapper à son tragique destin le temps d’un film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si elle respecte les faits historiques, Marie Kreutzer s’intéresse plus à la femme qu’à l’histoire. Vicky Krieps, qui l’interprète, privilégie dans son jeu la simplicité et l’indépendance que la souveraine avait acquises de ses parents [...].
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Gel des sentiments, retrait progressif et plan diabolique pour échapper à son absence d’avenir, cette Sissi post-#MeToo nous chavire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La réalisatrice autrichienne Marie Kreutzer envoie valser la romance sucrée des fifties , et ouvre un bal tragique et romanesque bien plus intéressant, bien plus grand, porté par la performance époustouflante de Vicky Krieps : l’actrice luxembourgeoise campe une Sissi inoubliable à son tour, un personnage fort, beau et complexe.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un biopic très culotté de Marie Kreutzer qui se distingue par sa force et son originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Dans sa manière de s’émanciper de la réalité historique en ayant recours aux anachronismes, Corsage rappelle Marie-Antoinette (2006), de Sofia Coppola, quand son regard acéré et impitoyable sur la monarchie n’est pas sans évoquer The Duchess (2008), de Saul Dibb, et La Favorite (2018), de Yórgos Lánthimos.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Le film, aux décors simples et somptueux, dans une lumière très travaillée, doit énormément à Vicky Krieps. Sidérante en trois langues, la Luxembourgeoise manie l’allemand, le français et l’anglais comme dans les cours européennes de l’époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Jacky Bornet
Un film à la beauté glaciale et mélancolique, porté par une interprétation souveraine de Vicky Krieps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Sous son récit d’émancipation, Corsage théorise aussi sur la naissance du cinéma et sur la nature libératrice de l’image animée, cette subjectivité multipliée 24 fois par seconde qui saisit, sans jamais tout à fait l’attraper, la complexité d’une expérience féminine – préférant l’obscurité salvatrice et risquée d’une chevauchée nocturne aux pleins feux d’un portrait de maître unidimensionnel et plat.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Dans un film brillant et austère, avec Vicky Krieps dans le rôle de l’impératrice, Marie Kreutzer scrute l’enveloppe corporelle d’une femme domptée jusqu’à l’asphyxie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Marie Kreutzer dépeint avec ironie les ridicules en pagaille de la cour d’Autriche, rend compte avec ferveur des affres d’une héroïne en guerre contre les conventions liberticides et, malgré ses longueurs et ses préciosités esthétisantes, signe un film qui offre un point de vue singulier sur un personnage « iconique » de l’histoire du cinéma. Une autre Sissi à découvrir pour les fêtes.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un portrait vibrant de la souveraine austro-hongroise.
Paris Match
par Clémence Duranton
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O’Neill
[Un] biopic qui repousse les limites du genre, et Vicky Krieps est merveilleuse dans le rôle-titre.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Les premières scènes de Corsage, faux biopic dans la lignée des Jackie et Spencer de Pablo Larraín, ramènent au forceps la figure théorique et universelle de l’impératrice Élisabeth – Sissi, pour les intimes – à une expérience corporelle absolue, dans laquelle la chair, ses jouissances et surtout ses souffrances, deviennent métonymiques de la fin annoncée du pouvoir dynastique des Habsbourg.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
C'est âpre, romanesque, plein de vitalité et ça vous laisse K.O.
Télérama
par Marie Sauvion
Une réécriture de l’histoire sans guimauve, féministe et audacieuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Grâce à une Vicky Krieps inspirée et inspirante, Marie Kreutzer réinvente la névrose hystérique au cinéma. Un film éblouissant de maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Vicky Krieps incarne une impératrice vieillissante dans un film qui déconstruit avec modernité et jubilation un mythe cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Vicky Krieps se glisse avec talent dans la peau de l’impératrice Élisabeth d’Autriche (surnommée “Sissi”) alors que la souveraine fête ses 40 ans, en 1877. Toutefois, le film reste paradoxalement très sage dans la représentation de son excentrique héroïne.
Première
par Thierry Chèze
Aux antipodes d’un film d’époque étouffant sous les dorures, en jouant avec subtilité avec les anachronismes (à l’image du travail de création sonore, primé à Cannes, entourant la superbe BO de Camille), Corsage épouse les velléités de liberté de son héroïne insurgée en envoyant valser les conventions attendues du biopic.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau portrait de l’impératrice d’Autriche, bien différente de la Sissi habituelle.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Un film par endroits inspiré mais qui ploie sous le poids de ses afféteries.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par V. Cau.
Dans Corsage, on voit donc Sissi (Vicky Krieps) quitter un dîner officiel en faisant un doigt d’honneur, traiter le valet de son mari de « gros connard », couper sauvagement sa longue chevelure, fumer cigarette sur cigarette, séduire à tout-va. Le geste, hélas, provoque un sentiment de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Filmée par un jeune opérateur qui vient lui montrer l’invention du cinématographe, Élisabeth peut bien dire « merde » face caméra : le film restera muet, et Corsage, aussi anodin que cette anecdotique rébellion.”
Ouest France
Une interprétation impeccable de Vicky Krieps.
CinemaTeaser
Il fallait le génie de Vicky Krieps, actrice punk par essence, pour donner corps à cette héroïne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La cinéaste autrichienne dresse de cette princesse d’une grande beauté comme d’une immense tristesse un bouleversant et magnifique portrait. Elle le rehausse d’une réalisation époustouflante, à la hauteur de sa sublime héroïne.
Ecran Large
Marie Kreutzer et Vicky Krieps réinventent habilement l’histoire si connue et si romanisée de Sissi l’impératrice en lui permettant d’échapper à son tragique destin le temps d’un film.
Franceinfo Culture
Si elle respecte les faits historiques, Marie Kreutzer s’intéresse plus à la femme qu’à l’histoire. Vicky Krieps, qui l’interprète, privilégie dans son jeu la simplicité et l’indépendance que la souveraine avait acquises de ses parents [...].
L'Obs
Gel des sentiments, retrait progressif et plan diabolique pour échapper à son absence d’avenir, cette Sissi post-#MeToo nous chavire.
Le Dauphiné Libéré
La réalisatrice autrichienne Marie Kreutzer envoie valser la romance sucrée des fifties , et ouvre un bal tragique et romanesque bien plus intéressant, bien plus grand, porté par la performance époustouflante de Vicky Krieps : l’actrice luxembourgeoise campe une Sissi inoubliable à son tour, un personnage fort, beau et complexe.
Le Figaro
Un biopic très culotté de Marie Kreutzer qui se distingue par sa force et son originalité.
Le Journal du Dimanche
Dans sa manière de s’émanciper de la réalité historique en ayant recours aux anachronismes, Corsage rappelle Marie-Antoinette (2006), de Sofia Coppola, quand son regard acéré et impitoyable sur la monarchie n’est pas sans évoquer The Duchess (2008), de Saul Dibb, et La Favorite (2018), de Yórgos Lánthimos.
Le Parisien
Le film, aux décors simples et somptueux, dans une lumière très travaillée, doit énormément à Vicky Krieps. Sidérante en trois langues, la Luxembourgeoise manie l’allemand, le français et l’anglais comme dans les cours européennes de l’époque.
Le Point
Un grand film.
Les Echos
Un film à la beauté glaciale et mélancolique, porté par une interprétation souveraine de Vicky Krieps.
Les Inrockuptibles
Sous son récit d’émancipation, Corsage théorise aussi sur la naissance du cinéma et sur la nature libératrice de l’image animée, cette subjectivité multipliée 24 fois par seconde qui saisit, sans jamais tout à fait l’attraper, la complexité d’une expérience féminine – préférant l’obscurité salvatrice et risquée d’une chevauchée nocturne aux pleins feux d’un portrait de maître unidimensionnel et plat.
Libération
Dans un film brillant et austère, avec Vicky Krieps dans le rôle de l’impératrice, Marie Kreutzer scrute l’enveloppe corporelle d’une femme domptée jusqu’à l’asphyxie.
Marianne
Marie Kreutzer dépeint avec ironie les ridicules en pagaille de la cour d’Autriche, rend compte avec ferveur des affres d’une héroïne en guerre contre les conventions liberticides et, malgré ses longueurs et ses préciosités esthétisantes, signe un film qui offre un point de vue singulier sur un personnage « iconique » de l’histoire du cinéma. Une autre Sissi à découvrir pour les fêtes.
Marie Claire
Un portrait vibrant de la souveraine austro-hongroise.
Paris Match
Bouleversant.
Positif
[Un] biopic qui repousse les limites du genre, et Vicky Krieps est merveilleuse dans le rôle-titre.
Transfuge
Les premières scènes de Corsage, faux biopic dans la lignée des Jackie et Spencer de Pablo Larraín, ramènent au forceps la figure théorique et universelle de l’impératrice Élisabeth – Sissi, pour les intimes – à une expérience corporelle absolue, dans laquelle la chair, ses jouissances et surtout ses souffrances, deviennent métonymiques de la fin annoncée du pouvoir dynastique des Habsbourg.
Télé 7 Jours
C'est âpre, romanesque, plein de vitalité et ça vous laisse K.O.
Télérama
Une réécriture de l’histoire sans guimauve, féministe et audacieuse.
aVoir-aLire.com
Grâce à une Vicky Krieps inspirée et inspirante, Marie Kreutzer réinvente la névrose hystérique au cinéma. Un film éblouissant de maîtrise.
La Croix
Vicky Krieps incarne une impératrice vieillissante dans un film qui déconstruit avec modernité et jubilation un mythe cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
Vicky Krieps se glisse avec talent dans la peau de l’impératrice Élisabeth d’Autriche (surnommée “Sissi”) alors que la souveraine fête ses 40 ans, en 1877. Toutefois, le film reste paradoxalement très sage dans la représentation de son excentrique héroïne.
Première
Aux antipodes d’un film d’époque étouffant sous les dorures, en jouant avec subtilité avec les anachronismes (à l’image du travail de création sonore, primé à Cannes, entourant la superbe BO de Camille), Corsage épouse les velléités de liberté de son héroïne insurgée en envoyant valser les conventions attendues du biopic.
Sud Ouest
Un beau portrait de l’impératrice d’Autriche, bien différente de la Sissi habituelle.
Critikat.com
Un film par endroits inspiré mais qui ploie sous le poids de ses afféteries.
Le Monde
Dans Corsage, on voit donc Sissi (Vicky Krieps) quitter un dîner officiel en faisant un doigt d’honneur, traiter le valet de son mari de « gros connard », couper sauvagement sa longue chevelure, fumer cigarette sur cigarette, séduire à tout-va. Le geste, hélas, provoque un sentiment de déjà-vu.
Cahiers du Cinéma
Filmée par un jeune opérateur qui vient lui montrer l’invention du cinématographe, Élisabeth peut bien dire « merde » face caméra : le film restera muet, et Corsage, aussi anodin que cette anecdotique rébellion.”