Le Capitaine Volkonogov s'est échappé : Critique presse
Le Capitaine Volkonogov s'est échappé
Note moyenne
3,8
21 titres de presse
Le Figaro
Positif
Transfuge
CinemaTeaser
Culturopoing.com
Ecran Large
L'Humanité
L'Obs
Le Journal du Dimanche
Les Echos
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
Le Monde
Le Parisien
Paris Match
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un film dense et fiévreux dont on sort bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Pierre Eisenreich
Une splendide leçon de cinéma, mêlant la fièvre épique et le picturalisme flamboyant au thriller moral.
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Originale et splendide réalisation historique traitant des purges staliniennes.
CinemaTeaser
par Hugo Boudsocq
Une fable « rétro-chronique » puissante sur la quête d’humanité et le pardon.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film imposant, audacieux du fait de son mysticisme trouble, "Le Capitaine Volkonogov s'est échappé" montre avec un talent formel indéniable les coulisses d’une Union Soviétique staliniste pré-Seconde Guerre mondiale déjà inique et criminelle, faisant de l’ensemble de la population […] un corps traumatisé, traqué, exsudant la peur de la mort ou d’une violence laissant des traces physiques et psychologiques indélébiles.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
En racontant une quête de pardon impossible, Natalya Merkulova et Alexey Chupov nous écrasent entre les rouages de la déshumanisation totalitaire. Un vrai film de terreur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un tableau de genre au parfum vaguement dostoïevskien, où un humain ne peut être humain et implicitement sanctifié que s’il a commis des horreurs et cherche à en être à la fois pardonné et châtié. Le sadomasochisme à la russe.
L'Obs
par François Forestier
Le plus réussi, dans cette étrange course-poursuite haletante, c’est le ton : humour noirissime. Inspiré de Boulgakov (« Le Maître et Marguerite »), le film est à la fois un polar politique survolté et une comédie de jais qui associe Kafka et Alfred Jarry.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cette fable surréaliste, échappant à la reconstitution historique pour façonner un fascinant théâtre de la terreur et de l'oppression, surprend autant qu'elle séduit avec son rythme effréné, son parfum dostoïevskien, ses décors grandioses et ses graffitis d'avant-garde.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers une course contre la mort dans les rues de Leningrad, Natalya Merkulova et Alexey Chupov, dressent le portrait implacable d'une Russie stalinienne pas si lointaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un thriller historique libéré des conventions pour dénoncer le totalitarisme. Inattendu et grinçant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Intense et impressionnant.
Télérama
par Samuel Douhaire
Humour noir, sidération et virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Glaçant et imparable, le long-métrage de Natalya Merkulova et Aleksey Chupov est un réquisitoire puissant en faveur des démocraties, de la libre conscience et du droit à la réparation. Une œuvre édifiante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
La force du film réside dans la tension entre son aspect allégorique et un réalisme cru, amplifié par une mise en scène physique et tendue. Dommage que dans la deuxième partie, un symbolisme chrétien trop appuyé prenne le dessus et brise quelque peu cet équilibre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Très maîtrisé formellement et d'une violence implacable (...).
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Très maîtrisé formellement et d'une violence implacable (...).
Le Monde
par Cl. F.
Une folle poursuite commence. Sous l’œil des cinéastes, l’époque des purges staliniennes devient un film de zombies, avec des citoyens aux bouches figées, réduits à l’état de morts-vivants. A voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
« Le Capitaine Volkonogov s’est échappé » empile une telle succession de situations tendues et douloureuses qu’il peut s’avérer éprouvant pour les nerfs. Mais à voir, si on a le cœur bien accroché, pour le niveau d’interprétation très élevé du film et la force dévastatrice de son scénario et de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
On peut regretter que le film se mue en « survival » un peu répétitif, façon « Jason Bourne », tant la première heure est fascinante, autour d'un sacré acteur, Yuriy Borisov.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Baurez
La mise en scène très animale et mobile, reste impressionnante de bout en bout, au point de pêcher par quelques excès d’afféteries de représentation. Ce que l’énergie du récit déploie et permet comme tension, est malheureusement quelque peu affaibli par un scénario qui ne parvient pas tout à fait à figurer la quête sacrificielle du héros, entre transcendance et folie suicidaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
Un film dense et fiévreux dont on sort bouleversé.
Positif
Une splendide leçon de cinéma, mêlant la fièvre épique et le picturalisme flamboyant au thriller moral.
Transfuge
Originale et splendide réalisation historique traitant des purges staliniennes.
CinemaTeaser
Une fable « rétro-chronique » puissante sur la quête d’humanité et le pardon.
Culturopoing.com
Film imposant, audacieux du fait de son mysticisme trouble, "Le Capitaine Volkonogov s'est échappé" montre avec un talent formel indéniable les coulisses d’une Union Soviétique staliniste pré-Seconde Guerre mondiale déjà inique et criminelle, faisant de l’ensemble de la population […] un corps traumatisé, traqué, exsudant la peur de la mort ou d’une violence laissant des traces physiques et psychologiques indélébiles.
Ecran Large
En racontant une quête de pardon impossible, Natalya Merkulova et Alexey Chupov nous écrasent entre les rouages de la déshumanisation totalitaire. Un vrai film de terreur.
L'Humanité
Un tableau de genre au parfum vaguement dostoïevskien, où un humain ne peut être humain et implicitement sanctifié que s’il a commis des horreurs et cherche à en être à la fois pardonné et châtié. Le sadomasochisme à la russe.
L'Obs
Le plus réussi, dans cette étrange course-poursuite haletante, c’est le ton : humour noirissime. Inspiré de Boulgakov (« Le Maître et Marguerite »), le film est à la fois un polar politique survolté et une comédie de jais qui associe Kafka et Alfred Jarry.
Le Journal du Dimanche
Cette fable surréaliste, échappant à la reconstitution historique pour façonner un fascinant théâtre de la terreur et de l'oppression, surprend autant qu'elle séduit avec son rythme effréné, son parfum dostoïevskien, ses décors grandioses et ses graffitis d'avant-garde.
Les Echos
A travers une course contre la mort dans les rues de Leningrad, Natalya Merkulova et Alexey Chupov, dressent le portrait implacable d'une Russie stalinienne pas si lointaine.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller historique libéré des conventions pour dénoncer le totalitarisme. Inattendu et grinçant.
Ouest France
Intense et impressionnant.
Télérama
Humour noir, sidération et virtuosité.
aVoir-aLire.com
Glaçant et imparable, le long-métrage de Natalya Merkulova et Aleksey Chupov est un réquisitoire puissant en faveur des démocraties, de la libre conscience et du droit à la réparation. Une œuvre édifiante.
Cahiers du Cinéma
La force du film réside dans la tension entre son aspect allégorique et un réalisme cru, amplifié par une mise en scène physique et tendue. Dommage que dans la deuxième partie, un symbolisme chrétien trop appuyé prenne le dessus et brise quelque peu cet équilibre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Très maîtrisé formellement et d'une violence implacable (...).
Le Dauphiné Libéré
Très maîtrisé formellement et d'une violence implacable (...).
Le Monde
Une folle poursuite commence. Sous l’œil des cinéastes, l’époque des purges staliniennes devient un film de zombies, avec des citoyens aux bouches figées, réduits à l’état de morts-vivants. A voir.
Le Parisien
« Le Capitaine Volkonogov s’est échappé » empile une telle succession de situations tendues et douloureuses qu’il peut s’avérer éprouvant pour les nerfs. Mais à voir, si on a le cœur bien accroché, pour le niveau d’interprétation très élevé du film et la force dévastatrice de son scénario et de sa mise en scène.
Paris Match
On peut regretter que le film se mue en « survival » un peu répétitif, façon « Jason Bourne », tant la première heure est fascinante, autour d'un sacré acteur, Yuriy Borisov.
Première
La mise en scène très animale et mobile, reste impressionnante de bout en bout, au point de pêcher par quelques excès d’afféteries de représentation. Ce que l’énergie du récit déploie et permet comme tension, est malheureusement quelque peu affaibli par un scénario qui ne parvient pas tout à fait à figurer la quête sacrificielle du héros, entre transcendance et folie suicidaire.