Un joli petit moment de cinéma mais je me rends compte que 2 jours après avoir vu le film, il ne m'en reste déjà pas grand-chose.. je pense que je risque de l'oublier même si je me suis attachée à cette Stella.. Tous les actrices et acteurs sont bons mais forcément, Flavie Delangle crève l'écran ! Je pense que le film ne me laissera pas un souvenir impérissable car il reste un peu à la surface des choses, on passe par pas mal d'émotions mais on reste à la surface de ses émotions aussi.. en tout cas un joli petit voyage dans une jeunesse des années 80 !
C’est raté. Le scénario est faible, les clichés des décors et habillages qui se veulent 85-90’s. Le black Panther habillé comme LL Cool J et non comme un black Panther (chemise et cuir). Malgré de bonnes interprétations.
Morte avant la fin de séance de tabagisme passif. Dommage, le film était porté par une bonne actrice, la mélancolie adolescente, bien rendue, la réalisation et le montage sortaient du convenu. Quand le cinéma français va-t-il cesser de nous intoxiquer ? Qui va surveiller le lobby des cigarettiers ? #horslaloievin
Beaucoup aimé cette année aux côtés de stella L'actrice est formidable BO et scènes de dance aux bains douche top si on aime se replonger dans les 80´ Une autre version plus âpre et sensuelle que la Boum
Je me suis demandée su ce film n’avait pas été sponsorisée par lindustrie du tabac tant la cigarette est présente à chaque plan. J’ai aimé la musique des années 80, mais je ne me suis pas retrouvée dans l’adolescente insouciante et sans projet d’avenir. Les séquences en boite d enuit ont fini par me lasser, ainsi que les gros plans sur les visages. J’ai aimé Marina Foys dans le rôle de la mère-copine qui laisse son ado vivre sa vie, plongée dans ses propres soucis. Je me suis demander pourquoi mettre en si bonne place Benjamin Biolay au générique tant ses apparitions se comptent sur une main. Le pompon va à la chanson composée par l’homme qu’aime Stella : sirupeuse et gnian-gnian à souhait. A la fin du film, je me suis demandée à qui «était destiné ce film : pas aux ados actuels, ni aux anciens ados des années 80.
Encore avec un film sur l'adolescence, ses doutes, ses pleurs, ses joies, la vie qui brûle. Sans doute, mais d'une autre manière, bien différente de ce que les films français nous servent depuis quelques décennies. L'émotion d'une jeune fille qui ne sait pas qui elle est, qui ne trouve pas les repères dont elle aurait besoin. Mais au delà de ces sentiments joliment orchestrés, l'énergie qui nous enflamme à cette époque de la vie est très bien décrite à travers ces séquences de boites de nuit où pour une fois, rien ne fait faux, rien ne fait cheap. Une vraie direction artistique ( de la lumière aux costumes en passant par la musique) avec des séquences musicales portées par Dixon entre autres qui nous font vivre pour de vrai ce que vivent les personnages. On danse dans ce film au son de notre coeur qui bat !
J'avais gardé ce film en réserve après des souvenirs de critiques élogieuses, mais quelle déception! On suit le cheminement de Stella adolescente paumée entre son bac, sa famille dysfonctionnelle, son groupe d'amies, les soirées nightclub aux Bains et les petits amis. Mais le rythme est bien trop lent, les personnages peu développés, le scénario mal construit voire parfois incohérent, et on finit par se désintéresser du sort de Stella qui génère peu d'empathie. Restent une bande son et des scènes de danse plutôt sympas, la bonne prestation de Flavie Delangle en Stella, et la consommation prodigieuse de cigarettes à tout moment...
« Stella est amoureuse « sort en plein afflux de films très en vue et parmi lesquels il n’est pas facile de se faire une place. Il vaut vraiment le coup d’être vu en salle pour une raison principale… sa bande originale des années 80 foisonnante de standards dont l’écoute nous entraine dans une ambiance cotonneuse et douillette. On avait envie de faire la fête, on avait envie de s’amuser et « les bains douches « furent le lieu incontournable de cette tribu de noctambules en quête de légèreté et d’une soif de danser et de partager simplement. Marina Fois est impeccable et sincère comme toujours ! Flavie Delangle dégage une très belle énergie et on pense en la regardant à Juliette Binoche a ses débuts. Dans la veine du récent « Les passagers de la nuit » sans la gravité. Un beau film d’ambiance à ne pas laisser passer. Le film français à voir en décembre !
Que dire qui est beau. Il ne m'a pas procurer une grande émotion cependant il représente bien une adolescente perdue entre les amours, les parents, l'école. Je m'y suis reconnue, j'avais cette même sensation de ne pas savoir quoi dire ni quoi faire. L'actrice est belle, jeune, jolie. Ce qui m'a déranger, la normalisation de la cigarette. Je suis non fumeuse, je comprends malgré tout ce besoin que quelque chose peut procurer et prolonger le temps d'un instant. Ce qui fait que peut-être beaucoup de jeunes vont trouver ça normal et que ça va faire plus adulte de fumer. La nudité est respectée ce qui enfin fait du bien à voir. Adolescent perdu est souvent associé à la découverte de son corps. Un bon petit film du dimanche.
Une découverte qui mérite plusieurs étoiles ! Et notamment dans le rôle titre la délicate Flavie Delangle qui prend magnifiquement la lumière. Elle est impeccablement servie par Marina Fois et BBiolay ainsi que toute cette bande de lycéens. Les dialogues et situations sont toujours justes , bien dosés et le risque de flirter avec les clichés a été soigneusement écarté. Ce cinéma français nous fait rudement plaisir !
Je me suis ennuyé car les personnages sont peu intéressants, voir désagréables. Le film est censé se passer dans les années 1980 mais l'immersion n'est pas totale. La bande originale n'est pas mal.