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Stella est amoureuse est l’histoire d’une jeune adolescente qui découvre l’âge adulte, l’amour, les sentiments. C’est touchant et attendrissant. Une belle ballade dans les années 80.
Je ne partage pas les mauvais traitements lus à l'encontre de cette comédie, qui est un témoignage extrêmement juste d'un très grand nombre d'ados, à la fin du secondaire, pas toujours concentrés sur leur futur (et donc l'obtention du Bac !) beaucoup plus sur leurs sentiments naissants entre échanges, en petite bande ou dans la cellule familiale et les copains/copines. Et dans cette approche, Sylvie Verheyde, a trouvé d'abord son personnage principal, Flavie Delangle : formidable ado, généreuse, découvrant la vie, et ses parents : Marina Foïs et Benjamin Biolay, offrant un climat quelque peu chaotique. Se replonger dans les années 80, c'est nostalgique et sympa, si ce n'est , et là particulièrement déplaisant, cette omniprésence de la cigarette à la bouche, on en a véritablement une overdose dans ce film ! Pour le reste, les sorties en boîte, la musique à fond, les images by night nous replongent avec Bonheur quelques années en arrière, sans une certaine "violence". Cette comédie d'une fraîcheur surprenante, révèle une formidable jeune actrice, à la fois rugueuse et sensuelle, envoutante....!!**
Napoléon
Une oeuvre portant sur la crise d'adolescence qui possède une bonne interprétation générale même si manquant un peu d'émotion rendant les personnages un peu fades. Le scénario n'est pas assez approfondie, reste peu rythmé, avec des scènes répétitives et des dialogues plats. Le comportement de Stella quant à lui est assez mystérieux car n'ayant peu d'explications.
Très bonne surprise avec ce film.
Il retrace de façon très juste les difficultés de l'adolescence dans les années 80-90.
L'enfermement que peut avoir un jeune dans une famille déchirée. Les rapports amoureux de stella qui lui font oublier tout ce qu'il se passe autour d'elle.
Tous les acteurs y sont excellents, et j'ai beaucoup aimé la façon de filmer
Il retrace de façon très juste les difficultés de l'adolescence dans les années 80-90.
L'enfermement que peut avoir un jeune dans une famille déchirée. Les rapports amoureux de stella qui lui font oublier tout ce qu'il se passe autour d'elle.
Tous les acteurs y sont excellents, et j'ai beaucoup aimé la façon de filmer
Yves G.
À Paris, au milieu des 80ies, Stella (Flavie Delangle) a dix-sept ans. Son père (Benjamin Biolay), machiste et alcoolique, vient de quitter sa mère (Marina Foïs), qui peine à tenir seule le bistro familial.
Stella est élève en classe de terminale au lycée Rodin. Gladys, Elodie, Marion l'entourent de leur amitié chaleureuse. Stella est une élève médiocre qui espère décrocher le bac sans idée claire sur son avenir. Sophia, issue d'un milieu plus favorisé, lui propose de l'accompagner aux Bains-Douches, la boîte à la mode. Elle y découvre le monde de la nuit et André, un danseur dont elle tombe immédiatement amoureuse.
Quatorze ans après "Stella", qui racontait, façon Diabolo Menthe, l'entrée en sixième d'une gamine élevée derrière le comptoir du bistro de ses parents, voici la suite de cette autobiographie à peine déguisée de Sylvie Verheyde, née en 1967, dont le tout premier film, "Un frère", en 1997, qui avait lancé Emma de Caunes, César du meilleur espoir, m'a laissé un souvenir encore vif. Stella a grandi, tombe amoureuse et passe le bac. Ses parents n'ont guère changé : Benjamin Biolay retrouve le rôle qu'il jouait déjà en 2008, Marina Foïs a remplacé Karine Rocher (à laquelle Sylvie Verheyde a entretemps offert le rôle titre de "Madame Claude").
"Stella est amoureuse" était un film immanquable que Sylvie Verheyde a raté. Le seul reproche qu'il aurait dû essuyer est d'enfoncer un peu trop de portes ouvertes : les débuts de la vie amoureuse d'une lycéenne belle comme un cœur, "on n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans", la reconstitution soignée des 80ies avec une bande-son aux petits oignons (Téléphone, Visage, Indeep, Patrick Juvet....), la lente prise de conscience chez Stella de la différence de classe qui sépare ses parents de ceux de ses amies, etc.
Pour rebattus qu'ils soient, tous ces thèmes auraient pu produire un film efficace, comme celui que la bande-annonce, joliment troussée, nous promettait.
spoiler: Mais hélas, très vite, "Stella est amoureuse" s'encalmine dans un faux rythme languissant. Les scènes attendues - telle celle où Stella, transfigurée en belle de nuit, entre dans le club célèbre - perdent tout leur charme à force d'être répétées à l'infini. On a vite compris que les copines de Stella sont hyper sympas, que sa mère cache, derrière son brushing hyper laqué, une femme du peuple sachant à peine lire et qu'André, s'il danse divinement bien, n'aura pas la douceur qu'espère l'adolescente.
"Stella est amoureuse" dure près de deux heures et aurait pu sans préjudice être amputé d'un bon tiers. Flavie Delangle a beau être ravissante, surtout lorsqu'elle coiffe le béret, son inexpressivité sied mieux à un mannequin sur le catwalk qu'au personnage d'un film.
Stella est élève en classe de terminale au lycée Rodin. Gladys, Elodie, Marion l'entourent de leur amitié chaleureuse. Stella est une élève médiocre qui espère décrocher le bac sans idée claire sur son avenir. Sophia, issue d'un milieu plus favorisé, lui propose de l'accompagner aux Bains-Douches, la boîte à la mode. Elle y découvre le monde de la nuit et André, un danseur dont elle tombe immédiatement amoureuse.
Quatorze ans après "Stella", qui racontait, façon Diabolo Menthe, l'entrée en sixième d'une gamine élevée derrière le comptoir du bistro de ses parents, voici la suite de cette autobiographie à peine déguisée de Sylvie Verheyde, née en 1967, dont le tout premier film, "Un frère", en 1997, qui avait lancé Emma de Caunes, César du meilleur espoir, m'a laissé un souvenir encore vif. Stella a grandi, tombe amoureuse et passe le bac. Ses parents n'ont guère changé : Benjamin Biolay retrouve le rôle qu'il jouait déjà en 2008, Marina Foïs a remplacé Karine Rocher (à laquelle Sylvie Verheyde a entretemps offert le rôle titre de "Madame Claude").
"Stella est amoureuse" était un film immanquable que Sylvie Verheyde a raté. Le seul reproche qu'il aurait dû essuyer est d'enfoncer un peu trop de portes ouvertes : les débuts de la vie amoureuse d'une lycéenne belle comme un cœur, "on n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans", la reconstitution soignée des 80ies avec une bande-son aux petits oignons (Téléphone, Visage, Indeep, Patrick Juvet....), la lente prise de conscience chez Stella de la différence de classe qui sépare ses parents de ceux de ses amies, etc.
Pour rebattus qu'ils soient, tous ces thèmes auraient pu produire un film efficace, comme celui que la bande-annonce, joliment troussée, nous promettait.
spoiler: Mais hélas, très vite, "Stella est amoureuse" s'encalmine dans un faux rythme languissant. Les scènes attendues - telle celle où Stella, transfigurée en belle de nuit, entre dans le club célèbre - perdent tout leur charme à force d'être répétées à l'infini. On a vite compris que les copines de Stella sont hyper sympas, que sa mère cache, derrière son brushing hyper laqué, une femme du peuple sachant à peine lire et qu'André, s'il danse divinement bien, n'aura pas la douceur qu'espère l'adolescente.
"Stella est amoureuse" dure près de deux heures et aurait pu sans préjudice être amputé d'un bon tiers. Flavie Delangle a beau être ravissante, surtout lorsqu'elle coiffe le béret, son inexpressivité sied mieux à un mannequin sur le catwalk qu'au personnage d'un film.
J'ai vu "Stella" à sa sortie en 2008, mais je ne m'en souviens guère.
Ce film, surement quelque peu autobiographique, m' a beaucoup plus.
L'actrice principale, Flavie Delangle, crève l'écran malgré un rôle qui semblerait presque terne du fait de la personnalité du personnage. On voit bien qu'elle navigue à flot, qu’elle commence juste à saisir ses aspirations, mais on la sent très différente de ses amies, qui en plus, ne sont pas du tout du même niveau social qu'elle.
Excellente bande son électro/dance des années 85 avec New Order, Visage, et autres artistes de l’époque !
Ce film, surement quelque peu autobiographique, m' a beaucoup plus.
L'actrice principale, Flavie Delangle, crève l'écran malgré un rôle qui semblerait presque terne du fait de la personnalité du personnage. On voit bien qu'elle navigue à flot, qu’elle commence juste à saisir ses aspirations, mais on la sent très différente de ses amies, qui en plus, ne sont pas du tout du même niveau social qu'elle.
Excellente bande son électro/dance des années 85 avec New Order, Visage, et autres artistes de l’époque !
Personnellement j'ai aimé cette prise sur le vif de la jeunesse des années 80 qui déjà commençait à douter de l'utilité des institutions scolaires, du rôle de la famille, d'où un besoin de cohésion et de moments partagés. Comme une mouche attirée vers la lumière, elle retourne sans arrêt dans cette boîte de nuit où elle devient quelqu'un d'autre, fascinée par un jeune danseur noir. Un bain de disco qui rajeunit.
Si vous aimer la musique et les jeunes, vous serez conquis.
Si vous aimer la musique et les jeunes, vous serez conquis.
une vraie ode à la jeunesse, des beaux plans sur Paris et ses night-club. le reste avec beaucoup de justesse tant par la bande son que le jeu des acteurs. ça fait du bien.
Formidable, cette jeune fille est l’étoile montante du cinéma Français !!! A voir absolument, film émouvant !!!!
Actrice principale prometteuse ! Très bon moment passé devant ce film et j’espère la revoir dans d’autres productions !
Ce film aurait pu être un divertissement valable s'il n'était pas intoxiqué par la clope... Des cigarettes à outrance, partout, dans n'importe quelle situation, des bruits de briquets qui en deviennent insupportables... A ce niveau là c'est du placement de produit éhonté! Qui a financé ce film?
Mais comment le cinéma français a t il pu passer en l'espace de 40 ans du génial "LA BOUM" à la daube "Stella est amoureuse" ?? c'est la seule réflexion que l'on peut avoir en voyant ce film pathétique sans scénario, sans dialogue et sans acteur !! on dirait que ce film a été fait par un stagiaire et encore un mauvais stagiaire !! c'est d'une nullité sans nom et d'un ennuie abyssale !! A FUIRE
Je ne retiendrai que le talent, la formidable présence de Flavie Delangle et la nostalgie de la musique des années 80. Pour le reste, ça se voudrait mi-chronique sociétale (fin d'adolescence vécue dans une famille prolo ou en milieu bourgeois aisé), mi-reportage sur les soirées aux Bains Douches au début des années 80. Et peut-être, aussi, ça lorgnerait - est-ce un choix conscient de la réalisatrice ? - du côté du reportage-témoignage sur cette époque où la clope aurait été quasi omniprésente (à tel point qu'on sature avec ces prises qui nous imposent en gros plan ces volutes s'échappant des bouches, ces cigarettes collées aux lèvres, .. c'est lourd).
Suite de "Stella" (que je n'ai pas vu), cette jeune fille est en terminale, la fameuse année précédent le bac, et fait passer ses copines et un garçon avant ses études. L'histoire se déroule en 1985, et l'on peut assister aux premiers émois, aux envies et surtout au questionnement sur l'avenir de ces adolescentes plus ou moins conscienceuses. Le grand hic de cette histoire se situe au niveau du personnage de Stella interprété par Flavie Delangle ; en effet, même si elle est ravissante , on a du mal à s'attacher à elle, ne sachant jamais vraiment son ressenti. De plus, même si l'époque s'y prêtait, le film avait-il besoin de faire l'apologie de la cigarette à ce point. Bref, malgré une bande son envoûtante mais envahissante, ce film à tendance nostalgique s'avère beaucoup trop fleur bleue pour convaincre un large public.
Dommage que la réalisatrice soit autant accro à la clope (Gainsbourg passerait pour un abstinent à côté des personnages du film qui pompent non stop...jamais vu ça) car l'histoire est sympathique et la réalisation faite avec subtilité et intelligence. La peinture de la vie des ados des années 80 est assez réaliste (pour l'avoir vécu réellement). Les sentiments des jeunes filles qui passent à l'âge adulte sont bien exprimés. La métamorphose physique et psychologique est douloureuse et pleine de questions sur la vie qui s'annonce pour ces jeunes dont certains sont perdus et inquiets. L'actrice principale, Flavie Delangle, aux faux airs d`Anaïs Demoustier il y a 15 ans, est très juste, très fine dans son interprétation. Bravo à elle.
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