Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un très beau film, véritable ode aux années 80, et la bande-son est à tomber.
Ouest France
par Thierry Cheze
La cinéaste révèle une comédienne superbe : Flavie Delangle.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Il y a une véritable atmosphère, pop et mélancolique, dans le portrait de cette jeune parisienne des années 1980, auquel la magnétique Flavie Delangle et les vedettes au second plan apportent une présence généreuse.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par N. S.
Regards dans le vague et sensualité balbutiante, la jeune Flavie Delangle est étonnante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Un film profondément vivant et attachant, comme son personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
Un récit bien incarné et emballant qui possède un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Mis en scène avec une énergie constante, ce beau portrait d’une lycéenne en 1985, dopé par une bande originale impériale, honore les états d'âme d'une héroïne qui, en son for intérieur, sait que l'on est parfois très sérieux quand on a dix-sept ans.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Avec beaucoup d’intelligence, la cinéaste évite tous les poncifs du film sur la fête (addiction à l’alcool et aux drogues) pour ne garder que la vitalité du sentiment de son héroïne et l’irrésistible ivresse que procure la vie nocturne. Et si le film parle d’amour, c’est pour mieux raconter l’émancipation de Stella qui, bien qu’amoureuse, n’en perd pas totalement sa lucidité ni son indépendance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Quatorze ans après «Stella», Sylvie Verheyde livre une belle suite autobiographique où l’héroïne, désormais lycéenne, aime et danse pour échapper à son statut de transfuge sociale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec son énergie électrique, sa bande-son imparable (New Order, Tom Tom Club, LKJ…) et ses jeunes comédiennes séduisantes, dont la révélation Flavie Delangle, dans le rôle principal, cette histoire d’émancipation adolescente sonne juste et touche.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Bernard Génin
Un peu languissant vers la fin, une œuvre sensible et pudique comme son héroïne, ce qui n’est pas si courant dans les films sur la jeunesse.
Première
par Estelle Aubin
Le film (osons les mots) allège cœurs et corps, remplit, réjouit, procure mille émotions à la minute, rend nostalgique et novice. Vivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sylvie Verheyde poursuit sa veine autobiographique à travers le récit initiatique de cette gamine d’une génération dont elle montre à la fois le goût du paraître et la difficulté de vivre, les espérances et les points de non-retour...
Télé 2 semaines
par E.S.
Un voyage dans l'adolescence, plein de rêves et de désillusions, porté par Flavie Delangle et Marina Foïs,, troublantes de vérité.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Rarement, le regard sur cet âge des possibles qu'est l'adolescence n'aura été aussi juste.
Voici
par La Rédaction
Une chronique adolescente pleine de charme et de spleen.
La Croix
par Céline Rouden
Récit initiatique et impressionniste, le film nous embarque, grâce notamment à un travail soigné sur l’image et le son, dans l’univers bleuté et aquatique de cette mythique boîte parisienne des années 1980, où les corps se libèrent et où un nouveau monde est en train d’émerger.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Poursuivant sa chronique autobiographique, Sylvie Verheyde raconte cette fois l’adolescence de son alter ego fictionnel. Loin de la grâce de Stella, cette suite plutôt élégante, à l’image de son héroïne, donne le meilleur d’elle-même en boîte de nuit.
Télérama
par Jérémie Couston
Benjamin Biolay (le père absent et alcoolique) et Marina Foïs (la mère courage et larguée), tous les deux parfaits dans leurs imperfections, apportent des notes comiques bienvenues dans un récit où il est sans cesse question d’échapper, ou non, à ce foutu déterminisme social.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Le film n’a hélas pas la rage de La Fièvre du samedi soir. C’est que Verheyde sous-exploite son idée la plus forte : la honte sociale produit un mutisme et une impassibilité que ne compense pas l’affirmation de soi par le corps. Il aurait fallu davantage mettre à l’épreuve cette distance et ce masque, qui se confondent trop souvent avec une pose de mannequin.
Le Figaro
par E. S.
Les scènes de club ont de l'allure et du mystère, le reste n'a pas grand intérêt. Le tout est trop long.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
On est entre la féerie bubble-gum de La Boum (Claude Pinoteau, 1980) et la noirceur de Passe ton bac d’abord (Maurice Pialat, 1978) : entre les deux, le film hésite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Un très beau film, véritable ode aux années 80, et la bande-son est à tomber.
Ouest France
La cinéaste révèle une comédienne superbe : Flavie Delangle.
Bande à part
Il y a une véritable atmosphère, pop et mélancolique, dans le portrait de cette jeune parisienne des années 1980, auquel la magnétique Flavie Delangle et les vedettes au second plan apportent une présence généreuse.
L'Obs
Regards dans le vague et sensualité balbutiante, la jeune Flavie Delangle est étonnante.
La Voix du Nord
Un film profondément vivant et attachant, comme son personnage principal.
Le Journal du Dimanche
Un récit bien incarné et emballant qui possède un charme fou.
Les Echos
Mis en scène avec une énergie constante, ce beau portrait d’une lycéenne en 1985, dopé par une bande originale impériale, honore les états d'âme d'une héroïne qui, en son for intérieur, sait que l'on est parfois très sérieux quand on a dix-sept ans.
Les Inrockuptibles
Avec beaucoup d’intelligence, la cinéaste évite tous les poncifs du film sur la fête (addiction à l’alcool et aux drogues) pour ne garder que la vitalité du sentiment de son héroïne et l’irrésistible ivresse que procure la vie nocturne. Et si le film parle d’amour, c’est pour mieux raconter l’émancipation de Stella qui, bien qu’amoureuse, n’en perd pas totalement sa lucidité ni son indépendance.
Libération
Quatorze ans après «Stella», Sylvie Verheyde livre une belle suite autobiographique où l’héroïne, désormais lycéenne, aime et danse pour échapper à son statut de transfuge sociale.
Marianne
Avec son énergie électrique, sa bande-son imparable (New Order, Tom Tom Club, LKJ…) et ses jeunes comédiennes séduisantes, dont la révélation Flavie Delangle, dans le rôle principal, cette histoire d’émancipation adolescente sonne juste et touche.
Positif
Un peu languissant vers la fin, une œuvre sensible et pudique comme son héroïne, ce qui n’est pas si courant dans les films sur la jeunesse.
Première
Le film (osons les mots) allège cœurs et corps, remplit, réjouit, procure mille émotions à la minute, rend nostalgique et novice. Vivant.
Sud Ouest
Sylvie Verheyde poursuit sa veine autobiographique à travers le récit initiatique de cette gamine d’une génération dont elle montre à la fois le goût du paraître et la difficulté de vivre, les espérances et les points de non-retour...
Télé 2 semaines
Un voyage dans l'adolescence, plein de rêves et de désillusions, porté par Flavie Delangle et Marina Foïs,, troublantes de vérité.
Télé 7 Jours
Rarement, le regard sur cet âge des possibles qu'est l'adolescence n'aura été aussi juste.
Voici
Une chronique adolescente pleine de charme et de spleen.
La Croix
Récit initiatique et impressionniste, le film nous embarque, grâce notamment à un travail soigné sur l’image et le son, dans l’univers bleuté et aquatique de cette mythique boîte parisienne des années 1980, où les corps se libèrent et où un nouveau monde est en train d’émerger.
Les Fiches du Cinéma
Poursuivant sa chronique autobiographique, Sylvie Verheyde raconte cette fois l’adolescence de son alter ego fictionnel. Loin de la grâce de Stella, cette suite plutôt élégante, à l’image de son héroïne, donne le meilleur d’elle-même en boîte de nuit.
Télérama
Benjamin Biolay (le père absent et alcoolique) et Marina Foïs (la mère courage et larguée), tous les deux parfaits dans leurs imperfections, apportent des notes comiques bienvenues dans un récit où il est sans cesse question d’échapper, ou non, à ce foutu déterminisme social.
Cahiers du Cinéma
Le film n’a hélas pas la rage de La Fièvre du samedi soir. C’est que Verheyde sous-exploite son idée la plus forte : la honte sociale produit un mutisme et une impassibilité que ne compense pas l’affirmation de soi par le corps. Il aurait fallu davantage mettre à l’épreuve cette distance et ce masque, qui se confondent trop souvent avec une pose de mannequin.
Le Figaro
Les scènes de club ont de l'allure et du mystère, le reste n'a pas grand intérêt. Le tout est trop long.
Le Monde
On est entre la féerie bubble-gum de La Boum (Claude Pinoteau, 1980) et la noirceur de Passe ton bac d’abord (Maurice Pialat, 1978) : entre les deux, le film hésite.