Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Inspiré par les films qu'il nomme "de haute solitude" comme Conversation secrète de Coppola, Taxi Driver de Scorsese ou Le Locataire de Polanski, Mark Romanek, sans tout à fait égaler ces prestigieux modèles, livre une variation inquiétante qui n'est pas indigne d'eux : le monstre est en fait une victime -victime d'un univers où s'exerce la plus grande des violences : l'indifférence.
Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Un excellent suspense de facture originale, bien rythmé.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un thriller bien ficelé, efficace et angoissant, dans lequel Robin Williams, loin de ses rôles comiques, montre la facette sombre de son talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Non content d'entretenir, sans artifices, un suspense très angoissant, Mark Romanek montre une face bien sinistre de l'Amérique petite-bourgeoise (...). Il a su, en outre, miser sur un comédien totalement inattendu dans ce rôle à contre-emploi, et totalement convaincant : Robin Williams (...), impressionnant de névrose cachée, d'obséquiosité maîtrisée, de souffrance détournée, puis de rage incontrôlée. Un bon film.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Mad Movies
par Cédric Delelée
Décrit dans ses moindres détails, le comportement obsessionnel de Parrish fait froid dans le dos (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Novaplanet.com
par Alex Masson
Photo Obsession n'est pas un thriller mais un drame psychologique, celui d'un homme ordinaire élevé au sein du mensonge qui ne sera jamais de taille à affronter la vérité d'une Amérique en voie de glaciation. Le rêve américain vu comme un cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Première
par Mathieu Carratier
Cadavérique, dégarni, Robin Williams impressionne en homme-enfant paumé qui court après le bonheur des autres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Un premier film des plus prometteurs.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Robin Williams, d'ordinaire abonné au cabotinage exubérant, s'essaie cette fois au cabotinage sobre. Tout à l'économie, gestes minuscules et tics furtifs, l'exercice est plutôt réussi. Il apporte une densité inquiétante, une détresse poisseuse au personnage. Nimbé de couleurs glacées, ce thriller sur le voyeurisme et l'obsession tient tout entier dans la tension de son regard malade.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Par cette attention à la dimension humaine de son histoire, Photo obsession se différencie du thriller lambda et peut aussi se lire comme une critique du modèle américain dont le vernis rutilant finit toujours par craqueler.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cine Libre
par Ivan Boher
L'action est quelques fois lente mais le scénario a le mérite de sortir de temps en temps des conventions du cinéma américain pour aboutir à une fin plutôt mystérieuse. Indéniablement, le talent dans la mise en scène est là mais les rebondissements manquent quelques fois à l'appel.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Libération
par Ange-Dominique Bouzet
Son sens du timing et des retournements se révèle particulièrement adapté au talent de Robin Williams : à la fois efficace et lourdingue. Le plus intrigant ne tient pas seulement au mystère du personnage central, pathétique et révulsif, mais à la brutalité des jeux de simulacres tissés, en abyme, autour de lui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Le film démarre plutôt bien. Mark Romanek a du savoir faire et réussit à créer une atmosphère tendue, entre la raideur clinique de la mise en scène (...) et le suspense psychologique du récit. La tension monte pour très vite s'essouffler. La raideur ambiante paralyse bien vite le film tant il finit par manquer de finesse.
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
On ne peut, non plus, tourner en dérision un certain mode bourgeois de vie familiale en adoptant une position de croisé de l'ordre moral. En cela, Photo Obsession est lui-même un simulacre de film, passionnant, angoissant, stimulant et vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Peu crédible histoire de solitude moderne, embourbée dans le puritanisme et les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Zurban
par Eric Quéméré
(...) ce thriller mollasson - au moins Liaison fatale était-il efficace - n'est en réalité qu'un prétexte à délivrer la bonne vieille morale qui voudrait que tout écart de conduite soit forcément, et violemment, puni. Affligeant.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
Inspiré par les films qu'il nomme "de haute solitude" comme Conversation secrète de Coppola, Taxi Driver de Scorsese ou Le Locataire de Polanski, Mark Romanek, sans tout à fait égaler ces prestigieux modèles, livre une variation inquiétante qui n'est pas indigne d'eux : le monstre est en fait une victime -victime d'un univers où s'exerce la plus grande des violences : l'indifférence.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
Un excellent suspense de facture originale, bien rythmé.
Le Parisien
Un thriller bien ficelé, efficace et angoissant, dans lequel Robin Williams, loin de ses rôles comiques, montre la facette sombre de son talent.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Non content d'entretenir, sans artifices, un suspense très angoissant, Mark Romanek montre une face bien sinistre de l'Amérique petite-bourgeoise (...). Il a su, en outre, miser sur un comédien totalement inattendu dans ce rôle à contre-emploi, et totalement convaincant : Robin Williams (...), impressionnant de névrose cachée, d'obséquiosité maîtrisée, de souffrance détournée, puis de rage incontrôlée. Un bon film.
Mad Movies
Décrit dans ses moindres détails, le comportement obsessionnel de Parrish fait froid dans le dos (...).
Novaplanet.com
Photo Obsession n'est pas un thriller mais un drame psychologique, celui d'un homme ordinaire élevé au sein du mensonge qui ne sera jamais de taille à affronter la vérité d'une Amérique en voie de glaciation. Le rêve américain vu comme un cauchemar.
Première
Cadavérique, dégarni, Robin Williams impressionne en homme-enfant paumé qui court après le bonheur des autres.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Un premier film des plus prometteurs.
Télérama
Robin Williams, d'ordinaire abonné au cabotinage exubérant, s'essaie cette fois au cabotinage sobre. Tout à l'économie, gestes minuscules et tics furtifs, l'exercice est plutôt réussi. Il apporte une densité inquiétante, une détresse poisseuse au personnage. Nimbé de couleurs glacées, ce thriller sur le voyeurisme et l'obsession tient tout entier dans la tension de son regard malade.
Chronic'art.com
Par cette attention à la dimension humaine de son histoire, Photo obsession se différencie du thriller lambda et peut aussi se lire comme une critique du modèle américain dont le vernis rutilant finit toujours par craqueler.
Cine Libre
L'action est quelques fois lente mais le scénario a le mérite de sortir de temps en temps des conventions du cinéma américain pour aboutir à une fin plutôt mystérieuse. Indéniablement, le talent dans la mise en scène est là mais les rebondissements manquent quelques fois à l'appel.
Libération
Son sens du timing et des retournements se révèle particulièrement adapté au talent de Robin Williams : à la fois efficace et lourdingue. Le plus intrigant ne tient pas seulement au mystère du personnage central, pathétique et révulsif, mais à la brutalité des jeux de simulacres tissés, en abyme, autour de lui.
MCinéma.com
Le film démarre plutôt bien. Mark Romanek a du savoir faire et réussit à créer une atmosphère tendue, entre la raideur clinique de la mise en scène (...) et le suspense psychologique du récit. La tension monte pour très vite s'essouffler. La raideur ambiante paralyse bien vite le film tant il finit par manquer de finesse.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
On ne peut, non plus, tourner en dérision un certain mode bourgeois de vie familiale en adoptant une position de croisé de l'ordre moral. En cela, Photo Obsession est lui-même un simulacre de film, passionnant, angoissant, stimulant et vain.
Les Inrockuptibles
Peu crédible histoire de solitude moderne, embourbée dans le puritanisme et les clichés.
Zurban
(...) ce thriller mollasson - au moins Liaison fatale était-il efficace - n'est en réalité qu'un prétexte à délivrer la bonne vieille morale qui voudrait que tout écart de conduite soit forcément, et violemment, puni. Affligeant.