Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
L’abattage comique des acteurs, tous excellents, est d’une redoutable efficacité. Et si on se délecte autant devant l’ingratitude de ces « sales gosses » intéressés et devant la cruauté de ces parents délaissés, c’est parce qu’en caricaturant, cette comédie vise juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Sébastien Mauge
Accompagnée d’un duo d’acteurs touchants, Alexandra Leclère retrouve un peu de la verve de son premier film “Les Sœurs fâchées”.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
En grande forme, Josianne Balasko et Didier Bourdon envoient du bois, mais le film, un peu copieur sur les bords (Les Trois Frères), valide le fait que l’argent fait le bonheur. Comme ça, c’est clair.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
En parents roublards, Josiane Balasko et Didier Bourdon s’en donnent à cœur joie, et leur plaisir est communicatif, même si cette farce sur la cupidité ordinaire est parfaitement convenue.
Le Parisien
L’abattage comique des acteurs, tous excellents, est d’une redoutable efficacité. Et si on se délecte autant devant l’ingratitude de ces « sales gosses » intéressés et devant la cruauté de ces parents délaissés, c’est parce qu’en caricaturant, cette comédie vise juste.
Télérama
Accompagnée d’un duo d’acteurs touchants, Alexandra Leclère retrouve un peu de la verve de son premier film “Les Sœurs fâchées”.
La Voix du Nord
En grande forme, Josianne Balasko et Didier Bourdon envoient du bois, mais le film, un peu copieur sur les bords (Les Trois Frères), valide le fait que l’argent fait le bonheur. Comme ça, c’est clair.
Télé 7 Jours
En parents roublards, Josiane Balasko et Didier Bourdon s’en donnent à cœur joie, et leur plaisir est communicatif, même si cette farce sur la cupidité ordinaire est parfaitement convenue.