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Votre avis sur Kompromat ?
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🎬 RENGER 📼
Mathieu Roussel, expatrié français, est arrêté et incarcéré sous les yeux de sa fille. Accusé de pédopornographie, il est en réalité victime d’un "компромат" (ici, il s’agit d’un dossier compromettant inventé de toute pièce par le FSB).
Jérôme Salle (Anthony Zimmer - 2005) s’inspire librement du roman "Dans les geôles de Sibérie" de Yoann Barbereau victime d’un kompromat en 2015 alors qu’il était directeur de l’Alliance française d’Irkoutsk. Le réalisateur nous restitue un thriller extrêmement convenu, certes pas désagréable mais en l’absence d’une quelconque tension, Kompromat (2022) se laisse regarder d’un œil, tout en scrutant sa montre de l’autre…
Trop romancé par moment, la rencontre entre Mathieu & Svetlana n’est que pure invention, le réalisateur et son scénariste ont brodés une histoire qui peine clairement à nous tenir en haleine et a parfois tendance à en faire trop. spoiler: D’un côté, la rudesse des russes et de l’autre la lâcheté des français (le consulat qui préfère baisser son froc plutôt que de prendre position). Ajoutez à cela, une surprenante scène de fight entre Mathieu & Sagarine (un fonctionnaire de l’état français qui parvient à prendre le dessus sur un agent du FSB, ça me lasse franchement perplexe).
Au final, on se retrouve devant un thriller d’évasion trop gentillet pour être crédible ou palpitant et ce, malgré une sympathique distribution avec Gilles Lellouche face à Igor Jijikine. Bien qu’inspiré de faits réels, cela aurait pu donner quelque chose de trépidant et qui vous tienne en haleine, mais à aucun moment le réalisateur ne parviendra à y insuffler une once de tension, dommage.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Jérôme Salle (Anthony Zimmer - 2005) s’inspire librement du roman "Dans les geôles de Sibérie" de Yoann Barbereau victime d’un kompromat en 2015 alors qu’il était directeur de l’Alliance française d’Irkoutsk. Le réalisateur nous restitue un thriller extrêmement convenu, certes pas désagréable mais en l’absence d’une quelconque tension, Kompromat (2022) se laisse regarder d’un œil, tout en scrutant sa montre de l’autre…
Trop romancé par moment, la rencontre entre Mathieu & Svetlana n’est que pure invention, le réalisateur et son scénariste ont brodés une histoire qui peine clairement à nous tenir en haleine et a parfois tendance à en faire trop. spoiler: D’un côté, la rudesse des russes et de l’autre la lâcheté des français (le consulat qui préfère baisser son froc plutôt que de prendre position). Ajoutez à cela, une surprenante scène de fight entre Mathieu & Sagarine (un fonctionnaire de l’état français qui parvient à prendre le dessus sur un agent du FSB, ça me lasse franchement perplexe).
Au final, on se retrouve devant un thriller d’évasion trop gentillet pour être crédible ou palpitant et ce, malgré une sympathique distribution avec Gilles Lellouche face à Igor Jijikine. Bien qu’inspiré de faits réels, cela aurait pu donner quelque chose de trépidant et qui vous tienne en haleine, mais à aucun moment le réalisateur ne parviendra à y insuffler une once de tension, dommage.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Décidé à la dernière minute, vu en avant première à Lyon , envie de changer de registre de film et de voir nouvelle performance de Gilles Lellouche apprécié sur Bac Nord ou Adieu Monsieur Haffmann. Pas déçu , honnêtement mal à l'aise au bout d'une heure car un sentiment de pas grand chose dans le scénario, de la violence et une caricature des russes qui est en partie vraie malheureusement en partie et une vision idéaliste des Français .... Et puis boum d'un coup le film prend au tripes, on entend plus un souffle dans la salle , on est tous en train de vivre le film et cà c'est fort ! Et là jusqu'à la fin on est cloué à son fauteuil la gorge seiche. C'est pas mon style de spoiler, je dirai donc rien de plus mais si vous aimer Gilles Lellouche foncez. Cà fait plaisir de voir un acteur qui incarne, pas qui joue en essayant de montrer toute sa palette de jeu , en faisant passer du second troisième degrés. Merci pour ce moment instructif de plus sur les russes, leur regard sur les français et la diplomatie.
PLR
L’étalement des notes accompagnant les critiques confirme que chacun devra se faire son opinion et que tous n’auront pas la même. Un démarrage un peu confus pour le spectateur avec des scènes rétrospectives qui ne se succèdent pas dans l’ordre habituellement attendu pour ce type de mise en bouche : 5 mois avant d’abord, puis 6 mois... Lorsque le déroulé du scénario se recale sur la chronologie, ça va déjà mieux. Se succèderont une représentation culturelle, une scène de famille – jusque là tout va à peu-près bien pour notre héros – puis une arrestation musclée, un juge pas conciliant du tout, la prison sordide et sa violence et puis, à l’occasion d’un placement sous contrôle judiciaire avec bracelet, la seule échappatoire possible face à la perspective d’une lourde condamnation écrite d’avance (à dessein, aucun suspens là-dessus) : fuir ce pays pour rejoindre sa mère patrie. Le tout répertorié comme étant un thriller bien que les rebondissements, les fausses pistes, les apparences erronées qui font normalement la loi de ce genre cinématographique fassent défaut. Un film d’action dans lequel les actions s’étendent parfois si longuement (ceci expliquant la durée totale de deux heures et sept minutes) que finalement il n’y a plus trop d’action. La bande-annonce, le thème annoncé (tempéraments russes inamicaux), laissaient entrevoir quelque chose de beaucoup plus puissant dans le registre du... thriller, justement !
Très bon film .Haletant du début à la fin.Un petit bémol ,le personnage principal ,français russophone qui,au début du film s'étonne que le spectacle érotique homosexuel qu'il présente aux russes du fin fond de la Sibérie ne fasse pas un tabac .On s'étonne de son étonnement .A part cette naïveté qui prête à sourire,tout est crédible ou presque,ça change des films américains.Un film à voir sans hésitation.
Étonnant film bien rythmé, un peu glauque parfois mais réaliste. Très bons acteurs. Très bonne réalisation. Bon scenario. Bon montage. Rôle trapu, pour Lellouche encore une fois excellent.
weihnachtsmann
Un film puissant porté avec brio par Lelouch.
Un récit dur et cruel sur la survie et le courage d’être libre.
C’est prenant et haletant.
Très fort
Un récit dur et cruel sur la survie et le courage d’être libre.
C’est prenant et haletant.
Très fort
Revoilà, Jerome Salle, roi du suspens.....Je dois dire que j'ai vu l'un des meilleurs polar français depuis des lustres...Une réalisation impeccable, un suspens qui jamais ne baisse...Cette Course poursuite entre Irkoutz et L'Estonie dans des villes froides et des forêts hostiles, vous tient en haleine dès la première minute......Gilles Lellouche est magistral dans un rôle de directeur d'école (l'Alliance française) poursuivi par le KGB ??? ( ou un autre service secret russe?) .Franchement cela fait peur de devoir vivre de telles aventures dans un pays étranger, puisque les faits sont inspirés du réel....J'en ai eu des sueurs froides....Pour revenir au film, La mise en scène, est digne du cinéma américain au bon sens de ce cinéma.....Pas grand chose à envier au polar yankee....Le scénario est intelligent....Servi par deux acteurs au sommet ( Gilles Lellouche, hyper réaliste et Joanna Kulig, hyper émouvante???Place aux larmes à certains moments, sursauts à d'autres, attention au "palpitant".....La technqiue est parfaite (cadrage travellings, musiques) un film français qui frôle l'excellence c'est rare, je ne saurais que le conseiller,
Roub E.
Un bon thriller un peu à l’ancienne sur l’histoire d’un homme pris dans une machination aux confins de la Russie actuelle. Si le film n’évite pas certains écueils et facilités, il s’en sort plutôt bien grâce à un suspens plutôt bien tenu et un bon Gilles Lelouche.
Benito G
Film d'espionnage avec son petit côté romance. Donnant une crédibilité et de l épaisseur a l histoire. Qui se veut tiré de fait réel. Le fait de ne pas en faire trop, certains personnages restant un peu plus dans l ombre etc... Tout cela est voulu et cela fonctionne. Captivant à l'ambiance glaciale, "Kompromat" présente un duo poignant, formé par les convaincants Gilles Lellouche et Joanna Kulig, embarqué dans une fuite pour survivre. Le réal de Zulu nous montre qu il maîtrise ce registre et qu il peut intéressant de le suivre à l avenir. Un film que l on peut mettre en 2 parties là où la deuxième nous mettra au coeur de cette course folle et offre un final tout aussi intéressant que le reste ou le rythme ne faillit pas. Bonne surprise dans l ensemble.
Ti Nou
Une quête de liberté tendue dans une Russie glaciale et déshumanisée. "Kompromat" est porté par un Gilles Lellouche excellent dans le rôle d’un monsieur tout-le-monde pris dans un engrenage qui le dépasse.
Une chasse à l'homme en territoire hostile à la fois efficace et prenante malgré quelques lourdeurs et invraisemblances scénaristiques, portée par un Gilles Lellouche convaincant.
Cinememories
L’évidence n’est pas toujours la plus saine ni la plus rusée des cheminements vers la vérité. À l’écran, elle peut se montrer encore plus transparente. Sans qu’on l’attende au tournant, Jérôme Salle (Largo Winch, Zulu, L’Odyssée) revient pourtant sur une cavale des plus spectaculaires dans son récit et son engagement. En s’inspirant librement des témoignages de Yoann Barbereau, qui a vaillamment regagné sa liberté, le cinéaste tente de mettre en boîte les divergences culturelles qui nous séparent d’une nation confinée. Si le comédien en tête d’affiche peut tromper nos attentes sur une histoire qui mérite sa part de violence, il ne tient que sur une banquise sibérienne, prête à éclater à tout instant. Le film s’embourbe dans une écriture relativement classique et dépourvue de nuances.
Le titre interpelle en premier lieu, un terme russe qui s'assimile très bien au complot ou simplement à un procédé qui vise à condamner un citoyen quelconque, vite fait bien fait. C’est ce qui va finir par pousser un petit patron d’entreprise à l’isolement forcée, que ce soit au fond d’une prison ou de son domicile. Mathieu Roussel est donc retenu dans cette spirale, dont il devra faire tout son possible pour échapper à sa sentence. On évitera habilement les détours dans la première partie, avant que l’on navigue dans les pensées troubles de cette victime, qui prône l’injustice dans son regard. Salle pose alors sa caméra au plus proche de Gilles Lellouche, programmé pour ce genre de rôle, celui qui prend des coups et qui va chercher à opposer une résistance à une entité plus forte que lui, à l’image du capitalisme et des lobbyistes dans « Goliath » et le système hiérarchique, voire judiciaire, dans « Bac Nord », pour les exemples récents.
Le parcours de son personnage est alors suffisamment démonstratif pour que l’on ne soit jamais totalement investi dans sa fuite, que ce soit dans ses souvenirs, ses fantasmes ou dans cette réalité. La mise en scène bute sans arrêt sur la présence de Mathieu dans le paysage russe, qu’on a rapidement fait de caractériser via le portrait du tout-puissant leader local ou d’autres élans tenant de la propagande, lorsqu’il s’agit de rappeler le conflit en Ukraine. Il en fa de même pour une administration française, incapable de trancher, ni de rassurer ses citoyens, malgré l’évidence, tributaire d’une relation politique instable. Tout cela est survolé, car l’enjeu s’apprécie à hauteur d’un homme, désarmé par des agents du FSB, anciennement KGB. Ce survivant trouvera néanmoins une note d’espoir et d’amour dans ce blizzard et les ténèbres qui l’oppressent. Sa surprenante relation avec Svetlana (Joanna Kulig) apporte un brin de légèreté, quelques fois bienvenue, mais qui rompt net avec une tension précédemment établie.
C’est ainsi que « Kompromat » casse plusieurs fois ses ficelles scénaristiques, afin d’abandonner son discours dans un lyrisme maladroit, quitte à perdre en cohérence. Des contre-exemples défilent, au profit de courses-poursuites qui tournent rapidement la page. Le suspense renouvelle souvent ses bienfaits, jusqu’à ce qu’on soit à bout de souffle. Mais ce récit d’aventures ne condamne pas le film aux oubliettes, car donne justement l’opportunité au réalisateur d’affirmer une certaine aisance dans une narration très lisible. On se garde ainsi d’étouffer l’affaire sous la menace, à l’image d’un affrontement direct avec un mercenaire idéalisé des instruments organiques russes. Le programme peut décevoir par instant, mais dans un geste sincère, porté par un Lellouche exaltant, nous pouvons nous permettre de l’accompagner sans le filer.
Le titre interpelle en premier lieu, un terme russe qui s'assimile très bien au complot ou simplement à un procédé qui vise à condamner un citoyen quelconque, vite fait bien fait. C’est ce qui va finir par pousser un petit patron d’entreprise à l’isolement forcée, que ce soit au fond d’une prison ou de son domicile. Mathieu Roussel est donc retenu dans cette spirale, dont il devra faire tout son possible pour échapper à sa sentence. On évitera habilement les détours dans la première partie, avant que l’on navigue dans les pensées troubles de cette victime, qui prône l’injustice dans son regard. Salle pose alors sa caméra au plus proche de Gilles Lellouche, programmé pour ce genre de rôle, celui qui prend des coups et qui va chercher à opposer une résistance à une entité plus forte que lui, à l’image du capitalisme et des lobbyistes dans « Goliath » et le système hiérarchique, voire judiciaire, dans « Bac Nord », pour les exemples récents.
Le parcours de son personnage est alors suffisamment démonstratif pour que l’on ne soit jamais totalement investi dans sa fuite, que ce soit dans ses souvenirs, ses fantasmes ou dans cette réalité. La mise en scène bute sans arrêt sur la présence de Mathieu dans le paysage russe, qu’on a rapidement fait de caractériser via le portrait du tout-puissant leader local ou d’autres élans tenant de la propagande, lorsqu’il s’agit de rappeler le conflit en Ukraine. Il en fa de même pour une administration française, incapable de trancher, ni de rassurer ses citoyens, malgré l’évidence, tributaire d’une relation politique instable. Tout cela est survolé, car l’enjeu s’apprécie à hauteur d’un homme, désarmé par des agents du FSB, anciennement KGB. Ce survivant trouvera néanmoins une note d’espoir et d’amour dans ce blizzard et les ténèbres qui l’oppressent. Sa surprenante relation avec Svetlana (Joanna Kulig) apporte un brin de légèreté, quelques fois bienvenue, mais qui rompt net avec une tension précédemment établie.
C’est ainsi que « Kompromat » casse plusieurs fois ses ficelles scénaristiques, afin d’abandonner son discours dans un lyrisme maladroit, quitte à perdre en cohérence. Des contre-exemples défilent, au profit de courses-poursuites qui tournent rapidement la page. Le suspense renouvelle souvent ses bienfaits, jusqu’à ce qu’on soit à bout de souffle. Mais ce récit d’aventures ne condamne pas le film aux oubliettes, car donne justement l’opportunité au réalisateur d’affirmer une certaine aisance dans une narration très lisible. On se garde ainsi d’étouffer l’affaire sous la menace, à l’image d’un affrontement direct avec un mercenaire idéalisé des instruments organiques russes. Le programme peut décevoir par instant, mais dans un geste sincère, porté par un Lellouche exaltant, nous pouvons nous permettre de l’accompagner sans le filer.
Pour des raisons jamais expliquées (parce que complètement bidons), un ressortissant Français se retrouve avec un kompromat sur le paletot. Fut un temps (celui de la Guerre Froide) où tout film impliquant le KGB prenait automatiquement une tournure politique. L'époque était ainsi faite. Pour ce qui est de "Kompromat", pas de tournure politique. Le problème; c'est qu'il n'y a rien du tout. Passons sur les trucs invraisemblables (après tout ça n'est que du cinéma et comme dit clairement au début, inspiré très librement de faits réels), ce qui cloche à fond les ballons ici, c'est que cette chasse à l'homme est désespérément plate. La traversée de l'immense et hostile territoire russe aurait dû donner lieu à bien des péripéties, peine perdue, tout est survolé. Et les quelques scènes... "d'action" ça et là sont d'une lisibilité moyenne. Reste donc Gilles Lellouche dont le jeu bourrin et caricatural permet (pour une fois) de secouer un petit peu un cocotier dont les racines manquaient déjà de bien de vigueur dès le départ.
Une affaire "librement inspirée de faits réels". Une photographie terrifiante de pratiques russes, de leur regard méprisant sur les sociétés occidentales et des enjeux diplomatiques. Une chasse à l'homme à la tension permanente, avec un P. Lellouche dans un rôle fort. Les dernières minutes sont particulièrement exaltantes.
Un film d'espionnage et de suspense réalisé par Jérôme Salle qui fait du travail propre mais avec un ait de déjà vu !!
Ca faisait longtemps que le cinéaste ne nous avez pas donner rendez-vous dans les salles obscures, depuis "L'Odyssée" le biopic sur Cousteau que j'avais beaucoup aimé. "Kompromat" nous raconte, d'après des faits divers se passant en Russie (mais ici c'est une fiction), l'histoire d'un homme ordinaire, père de famille, qui se voit arrêter par la police Russe pour avoir visité un site de pédophile, qu'il n'a pas fait et se juge innocent. On voit des flashbacks du personnage central passé, la prison, le bracelet électronique chez lui seul, il va tenter de s'innocenter voir s'évader. Le synopsis parait classique, il l'est. Le scénario et les rebondissements font clichés la plupart du temps malgré une bonne mise en scène situé en Russie. Gilles Lellouche s'implique dans la peau du personnage principal, les seconds rôles sont impeccables, mais ce long métrage ne marquera pas les esprits plus tard et vite oublié, dommage.
Ca faisait longtemps que le cinéaste ne nous avez pas donner rendez-vous dans les salles obscures, depuis "L'Odyssée" le biopic sur Cousteau que j'avais beaucoup aimé. "Kompromat" nous raconte, d'après des faits divers se passant en Russie (mais ici c'est une fiction), l'histoire d'un homme ordinaire, père de famille, qui se voit arrêter par la police Russe pour avoir visité un site de pédophile, qu'il n'a pas fait et se juge innocent. On voit des flashbacks du personnage central passé, la prison, le bracelet électronique chez lui seul, il va tenter de s'innocenter voir s'évader. Le synopsis parait classique, il l'est. Le scénario et les rebondissements font clichés la plupart du temps malgré une bonne mise en scène situé en Russie. Gilles Lellouche s'implique dans la peau du personnage principal, les seconds rôles sont impeccables, mais ce long métrage ne marquera pas les esprits plus tard et vite oublié, dommage.
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