Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Andréa Bescond et Eric Metayer, auteurs de l'excellent film sur la pédophilie "Les Chatouilles", signent un nouvel opus d'utilité publique. "A la folie" radiographie à la perfection, avec une précieuse ambition pédagogique, tous les mécanismes toxiques à l'oeuvre dans le phénomène d'emprise psychique.
Télé Loisirs
par La rédaction
Andréa Bescond et Éric Métayer (« Les Chatouilles ») signent ici une œuvre forte et fine à la fois, qui démontre comment un pervers narcissique bâtit son piège à petits coups d’injonctions paradoxales. Le scénario déroule le fil des évènements sans jamais tomber dans aucun cliché et les acteurs, dont Andréa Bescond elle-même, sont tous d’une justesse incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Parisien
par Carine Didier
Portée avec brio et réalisme par Marie Gillain et Alexis Michalik, ce téléfilm décortique le mécanisme de l’emprise exercée par un conjoint pervers narcissique. Très réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier Ubertalli et Fabrice Dupreuilh
Le téléfilm réalisé par Andréa Bescond et Éric Métayer ausculte avec justesse les violences psychologiques au sein d’un couple. (...) Marie Gillain offre une interprétation extraordinaire d'une femme solaire qui va s'approcher de la folie sous l'effet des agressions psychologiques de son compagnon.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé Câble Sat
par Thomas Destouches
Sur un sujet complexe, ce téléfilm se révèle aussi remarquable et juste que puissant et éprouvant. La mise en scène est réellement inspirée.
Télérama
par Hélène Marzolf
Alourdi par des séquences trop didactiques, et l’utilisation récurrente d’une symbolique appuyée –l’amant représenté en torero dans une arène vide, la description de cette relation toxique se révèle néanmoins d’une grande justesse psychologique, et doit beaucoup à l’interprétation de Marie Gillain, solaire et fragile, et d’Alexis Michalik, parfait en beau salaud, parfaitement détestable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par La rédaction
Une immersion réaliste et terrifiante dans l'esprit d'un pervers narcissique.
Télé 7 Jours
Andréa Bescond et Eric Metayer, auteurs de l'excellent film sur la pédophilie "Les Chatouilles", signent un nouvel opus d'utilité publique. "A la folie" radiographie à la perfection, avec une précieuse ambition pédagogique, tous les mécanismes toxiques à l'oeuvre dans le phénomène d'emprise psychique.
Télé Loisirs
Andréa Bescond et Éric Métayer (« Les Chatouilles ») signent ici une œuvre forte et fine à la fois, qui démontre comment un pervers narcissique bâtit son piège à petits coups d’injonctions paradoxales. Le scénario déroule le fil des évènements sans jamais tomber dans aucun cliché et les acteurs, dont Andréa Bescond elle-même, sont tous d’une justesse incroyable.
Le Parisien
Portée avec brio et réalisme par Marie Gillain et Alexis Michalik, ce téléfilm décortique le mécanisme de l’emprise exercée par un conjoint pervers narcissique. Très réussi.
Le Point
Le téléfilm réalisé par Andréa Bescond et Éric Métayer ausculte avec justesse les violences psychologiques au sein d’un couple. (...) Marie Gillain offre une interprétation extraordinaire d'une femme solaire qui va s'approcher de la folie sous l'effet des agressions psychologiques de son compagnon.
Télé Câble Sat
Sur un sujet complexe, ce téléfilm se révèle aussi remarquable et juste que puissant et éprouvant. La mise en scène est réellement inspirée.
Télérama
Alourdi par des séquences trop didactiques, et l’utilisation récurrente d’une symbolique appuyée –l’amant représenté en torero dans une arène vide, la description de cette relation toxique se révèle néanmoins d’une grande justesse psychologique, et doit beaucoup à l’interprétation de Marie Gillain, solaire et fragile, et d’Alexis Michalik, parfait en beau salaud, parfaitement détestable.
Téléstar
Une immersion réaliste et terrifiante dans l'esprit d'un pervers narcissique.