Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Monde
par Cl. F.
Sans jamais se prendre au sérieux, le film produit son effet vertigineux, installant un véritable suspense au fur et à mesure qu’Anna s’abîme dans son petit jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sud Ouest
par Thierry Cheze
Un récit aussi riche en subtilité qu'en surprises.
Télérama
par Jérémie Couston
POUR : Motif inépuisable, de Franju à Hitchcock, emprunté à son tour et avec élégance par le réalisateur Sébastien Bailly : tout désir ne contient-il pas une part de magie ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Entre fantasme et tragédie, refus de la rupture et fascination de l’artifice, ce premier film donne à Julie Gayet l’occasion de déployer son talent, dans des registres délicats. L’amertume y a un goût de miel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Thierry Chèze
La riche idée de ce film est de ne pas envisager le fantastique comme créateur d’effroi mais vecteur d’un beau drame intimiste autour d’une femme qui veut se déposséder de son corps parce qu’il n’est plus aimé ou même regardé.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par La Rédaction
Benjamin Biolay joue un mâle blanc vieillissant caricatural dans la moindre réplique. Chaque dialogue pèse une tonne. Le réalisateur a tout donné à son actrice. Le tour de magie ne fait pas illusion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Comme une actrice utilise le fantastique pour dénoncer l’invisibilisation des actrices à partir d’un certain âge. Sur la base d’un concept solide, Sébastien Bailly se perd dans une histoire qui tourne en rond, avec des têtes d’affiche aux interprétations fades.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Seul écueil à ce film tourné au plus près des corps des comédien·nes : un léger manque de rythme et sans doute, d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si Sébastien Bailly offre un grand rôle à Julie Gayet, le propos s’égare hélas dans une sorte de fable fantastico-réaliste censée réconcilier le spectateur avec le vieillissement et le temps qui passe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
À se laisser réduire sur le lit de Procuste de la psychologie supposée d’une femme délaissée dont le journal intime égrené off détaille les étapes de la dépendance amoureuse, le fantastique va dans le mur – peut-être parce que choisir un personnage d’actrice, métier où « mille vies » sont possibles, pour rappeler qu’une femme n’en a qu’une, relève d’un moralisme problématique.
Télérama
par Marie Sauvion
CONTRE : Plombé par une voix off appliquée, parfois réduite à proférer des énormités, le film ne recourt à la magie que pour s’enliser dans un drame conjugal à la fesse triste, blafard et doloriste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Sans jamais se prendre au sérieux, le film produit son effet vertigineux, installant un véritable suspense au fur et à mesure qu’Anna s’abîme dans son petit jeu.
Sud Ouest
Un récit aussi riche en subtilité qu'en surprises.
Télérama
POUR : Motif inépuisable, de Franju à Hitchcock, emprunté à son tour et avec élégance par le réalisateur Sébastien Bailly : tout désir ne contient-il pas une part de magie ?
L'Obs
Entre fantasme et tragédie, refus de la rupture et fascination de l’artifice, ce premier film donne à Julie Gayet l’occasion de déployer son talent, dans des registres délicats. L’amertume y a un goût de miel.
Première
La riche idée de ce film est de ne pas envisager le fantastique comme créateur d’effroi mais vecteur d’un beau drame intimiste autour d’une femme qui veut se déposséder de son corps parce qu’il n’est plus aimé ou même regardé.
Le Parisien
Benjamin Biolay joue un mâle blanc vieillissant caricatural dans la moindre réplique. Chaque dialogue pèse une tonne. Le réalisateur a tout donné à son actrice. Le tour de magie ne fait pas illusion.
Les Fiches du Cinéma
Comme une actrice utilise le fantastique pour dénoncer l’invisibilisation des actrices à partir d’un certain âge. Sur la base d’un concept solide, Sébastien Bailly se perd dans une histoire qui tourne en rond, avec des têtes d’affiche aux interprétations fades.
Les Inrockuptibles
Seul écueil à ce film tourné au plus près des corps des comédien·nes : un léger manque de rythme et sans doute, d’humour.
aVoir-aLire.com
Si Sébastien Bailly offre un grand rôle à Julie Gayet, le propos s’égare hélas dans une sorte de fable fantastico-réaliste censée réconcilier le spectateur avec le vieillissement et le temps qui passe.
Cahiers du Cinéma
À se laisser réduire sur le lit de Procuste de la psychologie supposée d’une femme délaissée dont le journal intime égrené off détaille les étapes de la dépendance amoureuse, le fantastique va dans le mur – peut-être parce que choisir un personnage d’actrice, métier où « mille vies » sont possibles, pour rappeler qu’une femme n’en a qu’une, relève d’un moralisme problématique.
Télérama
CONTRE : Plombé par une voix off appliquée, parfois réduite à proférer des énormités, le film ne recourt à la magie que pour s’enliser dans un drame conjugal à la fesse triste, blafard et doloriste.