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Océans n'est pas un film pédagogique (...). [Le film] fonctionne comme une somptueuse célébration des formes de la nature, saisie au plus près de sa dynamique de survie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En termes aussi bien techniques qu'artistiques, c'est une réussite majeure qui, plutôt que "documentaire animalier" devrait être qualifié de ballet aquatique ou d'opéra sauvage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
A l'aide de la toute dernière technologie, les deux cinéastes ont rapporté de leurs quatre ans d'expeditions de fabuleuses images avec la mer en majesté.
Océans est-il pour autant un film grandiose ? Il l'est, en dépit de son introduction et de sa conclusion un rien nunuche, nous montrant l'émerveillement très Petit Prince d'un garçonnet qui demande : "L'océan, c'est quoi ?"
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Des images sublimes, un commentaire très discret, une technologie extraordinaire : le nouveau film de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud est un spectacle dont on ne se lasse pas.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Dommage que le film se veuille prophétique, agitateur de conscience humide et bouteille à la mer. Car il avait les moyens d'être simplement un très beau film-laboratoire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il ne s'agit pas d'une nouvelle immersion dans le monde du silence puisqu'une musique pompeuse et envahissante nous accompagne tout au long de ce périple auquel il manque peut-être la colonne vertébrale d'un véritable scénario.
Excessif
Dès les premières images d'Océans, on a le souffle coupé tant la beauté visuelle inonde les yeux.
L'Express
www.lexpress.fr
Le Parisien
(...) véritable opéra marin (...) une immersion en eaux encore plus profondes dans la fascination.
Le Point
Voir le site du Point
Libération
Océans n'est pas un film pédagogique (...). [Le film] fonctionne comme une somptueuse célébration des formes de la nature, saisie au plus près de sa dynamique de survie.
Positif
En termes aussi bien techniques qu'artistiques, c'est une réussite majeure qui, plutôt que "documentaire animalier" devrait être qualifié de ballet aquatique ou d'opéra sauvage.
Elle
Dans cet opéra d'écailles, de nageoires et de vagues, Jacques Perrin semble dire (...) à vous de vous émerveiller.
La Croix
Une magnifique odyssée sous-marine (...) On sort émerveillé d'Océans, avec la sensation stupéfiante de n'avoir jamais vu ça.
Le Figaroscope
Un somptueux opéra sous-marin.
Le Journal du Dimanche
A l'aide de la toute dernière technologie, les deux cinéastes ont rapporté de leurs quatre ans d'expeditions de fabuleuses images avec la mer en majesté.
Le Monde
Océans est-il pour autant un film grandiose ? Il l'est, en dépit de son introduction et de sa conclusion un rien nunuche, nous montrant l'émerveillement très Petit Prince d'un garçonnet qui demande : "L'océan, c'est quoi ?"
Marianne
Moins accessible que Le Peuple Migrateur (...) Océans recèle cependant d'innombrables merveilles.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Des images sublimes, un commentaire très discret, une technologie extraordinaire : le nouveau film de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud est un spectacle dont on ne se lasse pas.
Télérama
Océans est un bain de jouvance.
Chronic'art.com
Dommage que le film se veuille prophétique, agitateur de conscience humide et bouteille à la mer. Car il avait les moyens d'être simplement un très beau film-laboratoire.
L'Humanité
À part quelques plans originaux, l'ensemble, bercé par la musique de Bruno Coulais, est un brin monotone.
Ouest France
Il ne s'agit pas d'une nouvelle immersion dans le monde du silence puisqu'une musique pompeuse et envahissante nous accompagne tout au long de ce périple auquel il manque peut-être la colonne vertébrale d'un véritable scénario.
Première
Le temps d'un film, nous voilà transformés en créatures marines évoluant non pas dans un monde de silence, mais dans un univers plein de bruits.
Les Inrockuptibles
On égrène les clichés comme des perles (...) Le plus intéressant se trouve hors film : ce sont les extraits du making-of visibles sur le net.