Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Mad Movies
par Cédric Delelée
Scott ne se borne pas à offrir un sommet absolu du grand spectacle historique. Déjouant toutes les attentes, il refuse de se laisser aller à l'approche épique associée à ce type de productions pour s'attarder sur la psyché complexe de Napoléon et son histoire d'amour aussi impossible qu'incendiaire avec Joséphine.
CNews
par La rédaction
Le traitement du personnage à l’écran est trop linéaire pour prendre la véritable mesure de son envergure. Ceci étant dit, « Napoléon » n’en reste pas moins un divertissement de grande qualité [...].
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un jeu de massacre à la terreur grandiose, sous les ordres d’un Napoléon froid comme la mort. La mise en scène est époustouflante, la réalisation d’une puissance visuelle remarquable.
Elle
par Françoise Delbecq
Un grand show à la flamboyante esthétique, à voir si possible sur écran XXL.
Filmsactu
par Maxime Chao
Parce que oui, si vous voulez aller au cinéma pour en prendre plein les yeux, avec une mise en scène grandiose et une photo incroyable, alors vous allez être servis !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il y a de l’audace dans cette version de comédie romantique, qui ose même l’érotisme sur la couche conjugale, avec scènes de sexe gaillardes, pleines d’une étonnante et même amusante verdeur. Car oui, c’est drôle, ironique, cette comédie du couple dans laquelle Napoléon apparaît comme un amoureux faible, vulnérable et capricieux, sapant presque la légende du héros guerrier tout-puissant.
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Ridley Scott n’a rien perdu de sa superbe dans ce biopic ambitieux qui impressionne par sa mise en scène, enchaînant les morceaux de bravoure (Austerlitz), et par sa narration fluide, malgré les ellipses.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Philippe Guedj
POUR : Napoléon est un film déroutant, mais régulièrement époustouflant visuellement et dont certains plans inédits resteront gravés dans les mémoires.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Sylvestre Picard
Malgré sa durée et sa qualité visuelle hallucinante, le film donne une impression d'inachevé. Bonne nouvelle : le réalisateur prépare une version de plus de quatre heures pour les plateformes.
Première
par Sylvestre Picard
Reste que Scott sera toujours un filmeur balaise : cet assemblage hétéroclite est fait de moments souvent colossaux, jouant sur les contrastes - entre ombre et lumière, entre individu et masse, entre anecdote et histoire avec un H.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Les impressionnantes scènes de guerre font oublier les inexactitudes historiques. On se laisse prendre par le show.
Voici
par La Rédaction
Fort de son point de vue affirmé, Napoléon regarde la monstruosité de la guerre dans les yeux lors de scènes de batailles horriblement spectaculaires - celle d'Austerlitz fera date.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec "Napoléon", Ridley Scott effleure son idée pertinente de raconter Bonaparte sous un jour moins glorieux dans un biopic tristement fouillis et anecdotique, aux scènes de batailles solides mais oubliables.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cette absence de surplomb idéologique constitue, paradoxalement, l’intérêt du film, va-et-vient entre le combat intime que menait le Premier consul avec sa volage première dame (Vanessa Kirby, d’une féministe modernité) et les champs de bataille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Absolument dépourvu d’approche politique mais loin d’être hagiographique, le grand spectacle est là.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Malgré des scènes de bataille spectaculaires, le réalisateur met en scène Joaquin Phoenix en empereur amoureux transi de Joséphine dans une vision réductrice de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ouvert sur un tableau de la barbarie révolutionnaire, clos sur un Napoléon défait et mythomane – il ment sur ses faits d’armes aux enfants de ses geôliers à Sainte-Hélène –, le film ne craint pas de faire, entre ces deux points, s’affronter des camps qui parlent la même langue (l’anglais), ce qui ne laisse pas d’être troublant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très attendu, le portrait de l’Empereur, signé Ridley Scott et campé par Joaquin Phoenix, laisse un sentiment mitigé, entre mise en scène impressionnante et raccourcis historiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au fond, le Napoléon que saisit Scott semble déjà mort depuis sa première image. Voilà sûrement d’où vient cette intrigante sensation d’un film à la forme spectaculaire qui se décompose devant nous et ne semble jamais vouloir totalement accrocher le regard de ses spectateur·rices.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Reste la vraie réussite du film : cette succession de scènes de batailles, spectaculaires au possible, et avec en point d’orgue celle d’Austerlitz, feu, glace et sang mêlés. Comme si, soudain, Scott se souvenait que, déjà avec Les Duellistes, son premier film en 1977, c’était encore là le meilleur moyen de s’attarder sur cette époque.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cet Everest cinématographique, l’Anglais Ridley Scott choisit, aux antipodes de l’hagiographie, de l’attaquer par la face intime : l’amant tourmenté plutôt que le mythe. Ainsi en apprend-on davantage sur ses déboires conjugaux que sur son legs politique, et plus sur son mépris de la vie humaine que sur son œuvre réformatrice. D’où un sentiment de survol, une impression d’inachevé, accentués par les ellipses en escadrilles.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Dommage que la patte du réalisateur des "Duellistes", de "Gladiator" ou de "La Chute du faucon noir" s'efface quelque peu sous une illustration très classique, qui insiste longuement sur la relation complexe entre le futur empereur et Joséphine de Beauhamais.
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Scott confond également le sens de l’Histoire avec la maniaquerie du détail, et chez lui la forme est surtout illustration.
Critikat.com
par Bastien Gens
Le film intrigue un temps, par la manière dont Scott évide la légende napoléonienne de sa substance. Mais le vieux grognard revient bien vite au ton sérieux des tableaux imposants et fades émaillant sa filmographie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Mais le bât blesse sur le montage, la construction et le rythme. Élaguer deux heures sur les quatre heures trente initiales du film, demande un bon coup de scalpel. Aussi, les coupes les plus franches sont parfois très artificielles et voyantes.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Une fresque historique engoncée et laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Trop hollywoodien pour ses détracteurs et trop monstrueux pour ses laudateurs, le Bonaparte de Scott flotte entre les mémoires. La version longue corrigera peut-être le tir. En attendant, Ridley Scott rejoint la grande armée de ceux qui n’auront pas su se saisir de Napoléon.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Malgré des reconstitutions spectaculaires de batailles, la fresque de Ridley Scott élude la dimension politique du personnage pour s’attarder trop longuement sur sa romance tumultueuse avec Joséphine.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par François Malye
CONTRE : Empoté, parfois peureux et pleurnichard, une brute le reste du temps, c'est le portrait de l'Empereur brossé par Ridley Scott dans son Napoléon. Une déception quand on se souvient que son tout premier film, Les Duellistes en 1977, inspiré du roman de Joseph Conrad Le Duel, reste sans doute l'un des meilleurs jamais réalisés sur l'Empire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le créateur de « Blade Runner » met en scène le destin de Napoléon comme un livre d'images, sans parvenir à porter sur l'empereur un regard original ou nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Un Ridley Scott en petite forme pour un biopic trop resserré, qui survole son personnage comme le ferait la version abrégée d’un grand roman.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
À l’arrivée, le film le plus attendu de l’automne hésite hélas entre plusieurs genres – le biopic, la chronique intimiste, le film de guerre à grands moyens – et échoue sur presque tous les tableaux.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Libération
par Olivier Lamm
Sans proprement adopter de point de vue, ni d’angle particulier, "Napoléon" est un film tranquillement indécent, très sûr de son inanité et qui ne porte au final rien d’autre que l’orgueil et la misanthropie de son cinéaste en fin de carrière, l’un des plus inamicaux, amusants et, au dam de ceux qui n’en peuvent plus de lui, fertiles de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Hormis de spectaculaires batailles, ce biopic lourdingue sur l’empereur au bicorne est une aberration.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mad Movies
Scott ne se borne pas à offrir un sommet absolu du grand spectacle historique. Déjouant toutes les attentes, il refuse de se laisser aller à l'approche épique associée à ce type de productions pour s'attarder sur la psyché complexe de Napoléon et son histoire d'amour aussi impossible qu'incendiaire avec Joséphine.
CNews
Le traitement du personnage à l’écran est trop linéaire pour prendre la véritable mesure de son envergure. Ceci étant dit, « Napoléon » n’en reste pas moins un divertissement de grande qualité [...].
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un jeu de massacre à la terreur grandiose, sous les ordres d’un Napoléon froid comme la mort. La mise en scène est époustouflante, la réalisation d’une puissance visuelle remarquable.
Elle
Un grand show à la flamboyante esthétique, à voir si possible sur écran XXL.
Filmsactu
Parce que oui, si vous voulez aller au cinéma pour en prendre plein les yeux, avec une mise en scène grandiose et une photo incroyable, alors vous allez être servis !
Le Dauphiné Libéré
Il y a de l’audace dans cette version de comédie romantique, qui ose même l’érotisme sur la couche conjugale, avec scènes de sexe gaillardes, pleines d’une étonnante et même amusante verdeur. Car oui, c’est drôle, ironique, cette comédie du couple dans laquelle Napoléon apparaît comme un amoureux faible, vulnérable et capricieux, sapant presque la légende du héros guerrier tout-puissant.
Le Journal du Dimanche
Ridley Scott n’a rien perdu de sa superbe dans ce biopic ambitieux qui impressionne par sa mise en scène, enchaînant les morceaux de bravoure (Austerlitz), et par sa narration fluide, malgré les ellipses.
Le Point
POUR : Napoléon est un film déroutant, mais régulièrement époustouflant visuellement et dont certains plans inédits resteront gravés dans les mémoires.
Ouest France
Malgré sa durée et sa qualité visuelle hallucinante, le film donne une impression d'inachevé. Bonne nouvelle : le réalisateur prépare une version de plus de quatre heures pour les plateformes.
Première
Reste que Scott sera toujours un filmeur balaise : cet assemblage hétéroclite est fait de moments souvent colossaux, jouant sur les contrastes - entre ombre et lumière, entre individu et masse, entre anecdote et histoire avec un H.
Public
Les impressionnantes scènes de guerre font oublier les inexactitudes historiques. On se laisse prendre par le show.
Voici
Fort de son point de vue affirmé, Napoléon regarde la monstruosité de la guerre dans les yeux lors de scènes de batailles horriblement spectaculaires - celle d'Austerlitz fera date.
Ecran Large
Avec "Napoléon", Ridley Scott effleure son idée pertinente de raconter Bonaparte sous un jour moins glorieux dans un biopic tristement fouillis et anecdotique, aux scènes de batailles solides mais oubliables.
L'Obs
Cette absence de surplomb idéologique constitue, paradoxalement, l’intérêt du film, va-et-vient entre le combat intime que menait le Premier consul avec sa volage première dame (Vanessa Kirby, d’une féministe modernité) et les champs de bataille.
La Voix du Nord
Absolument dépourvu d’approche politique mais loin d’être hagiographique, le grand spectacle est là.
Le Figaro
Malgré des scènes de bataille spectaculaires, le réalisateur met en scène Joaquin Phoenix en empereur amoureux transi de Joséphine dans une vision réductrice de l’histoire.
Le Monde
Ouvert sur un tableau de la barbarie révolutionnaire, clos sur un Napoléon défait et mythomane – il ment sur ses faits d’armes aux enfants de ses geôliers à Sainte-Hélène –, le film ne craint pas de faire, entre ces deux points, s’affronter des camps qui parlent la même langue (l’anglais), ce qui ne laisse pas d’être troublant.
Le Parisien
Très attendu, le portrait de l’Empereur, signé Ridley Scott et campé par Joaquin Phoenix, laisse un sentiment mitigé, entre mise en scène impressionnante et raccourcis historiques.
Les Inrockuptibles
Au fond, le Napoléon que saisit Scott semble déjà mort depuis sa première image. Voilà sûrement d’où vient cette intrigante sensation d’un film à la forme spectaculaire qui se décompose devant nous et ne semble jamais vouloir totalement accrocher le regard de ses spectateur·rices.
Rolling Stone
Reste la vraie réussite du film : cette succession de scènes de batailles, spectaculaires au possible, et avec en point d’orgue celle d’Austerlitz, feu, glace et sang mêlés. Comme si, soudain, Scott se souvenait que, déjà avec Les Duellistes, son premier film en 1977, c’était encore là le meilleur moyen de s’attarder sur cette époque.
Télé 7 Jours
Cet Everest cinématographique, l’Anglais Ridley Scott choisit, aux antipodes de l’hagiographie, de l’attaquer par la face intime : l’amant tourmenté plutôt que le mythe. Ainsi en apprend-on davantage sur ses déboires conjugaux que sur son legs politique, et plus sur son mépris de la vie humaine que sur son œuvre réformatrice. D’où un sentiment de survol, une impression d’inachevé, accentués par les ellipses en escadrilles.
Télé Loisirs
Dommage que la patte du réalisateur des "Duellistes", de "Gladiator" ou de "La Chute du faucon noir" s'efface quelque peu sous une illustration très classique, qui insiste longuement sur la relation complexe entre le futur empereur et Joséphine de Beauhamais.
Cahiers du Cinéma
Scott confond également le sens de l’Histoire avec la maniaquerie du détail, et chez lui la forme est surtout illustration.
Critikat.com
Le film intrigue un temps, par la manière dont Scott évide la légende napoléonienne de sa substance. Mais le vieux grognard revient bien vite au ton sérieux des tableaux imposants et fades émaillant sa filmographie.
Franceinfo Culture
Mais le bât blesse sur le montage, la construction et le rythme. Élaguer deux heures sur les quatre heures trente initiales du film, demande un bon coup de scalpel. Aussi, les coupes les plus franches sont parfois très artificielles et voyantes.
GQ
Une fresque historique engoncée et laborieuse.
L'Humanité
Trop hollywoodien pour ses détracteurs et trop monstrueux pour ses laudateurs, le Bonaparte de Scott flotte entre les mémoires. La version longue corrigera peut-être le tir. En attendant, Ridley Scott rejoint la grande armée de ceux qui n’auront pas su se saisir de Napoléon.
La Croix
Malgré des reconstitutions spectaculaires de batailles, la fresque de Ridley Scott élude la dimension politique du personnage pour s’attarder trop longuement sur sa romance tumultueuse avec Joséphine.
Le Point
CONTRE : Empoté, parfois peureux et pleurnichard, une brute le reste du temps, c'est le portrait de l'Empereur brossé par Ridley Scott dans son Napoléon. Une déception quand on se souvient que son tout premier film, Les Duellistes en 1977, inspiré du roman de Joseph Conrad Le Duel, reste sans doute l'un des meilleurs jamais réalisés sur l'Empire.
Les Echos
Le créateur de « Blade Runner » met en scène le destin de Napoléon comme un livre d'images, sans parvenir à porter sur l'empereur un regard original ou nouveau.
Les Fiches du Cinéma
Un Ridley Scott en petite forme pour un biopic trop resserré, qui survole son personnage comme le ferait la version abrégée d’un grand roman.
Marianne
À l’arrivée, le film le plus attendu de l’automne hésite hélas entre plusieurs genres – le biopic, la chronique intimiste, le film de guerre à grands moyens – et échoue sur presque tous les tableaux.
Libération
Sans proprement adopter de point de vue, ni d’angle particulier, "Napoléon" est un film tranquillement indécent, très sûr de son inanité et qui ne porte au final rien d’autre que l’orgueil et la misanthropie de son cinéaste en fin de carrière, l’un des plus inamicaux, amusants et, au dam de ceux qui n’en peuvent plus de lui, fertiles de sa génération.
Télérama
Hormis de spectaculaires batailles, ce biopic lourdingue sur l’empereur au bicorne est une aberration.