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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Ce film - enfin disons plutôt ce long-métrage - m'a laissé très sceptique à la sortie de la salle. Les raisons sont multiples. Tout d'abord, le lien entre ce long-métrage et la BD du même nom m'échappe encore. Si quelqu'un l'a découvert, qu'il m'en fasse signe svp ! Ce film n'est hélas qu'une coquille vide dans tout son ensemble. Un scénario inexploité, une mise en scène foireuse... Vincent Cassel nous tient quant à lui un superbe numéro de figurant pendant plus de deux heures ! Il a raté sa vocation ! J'ignorais que le texte d'un personnage pouvait se résumer à quelques onomatopées. Sans rire, en ce qui concerne les personnages, c'est du jamais vu tellement ceux-ci sont dépourvus d'âme, de charisme, de cette chose qui fait qu'on y croit. On assiste à un one-man show de Michael Madsen, sauf qu'au bout de deux heures, ça devient lassant. Qu'est-ce que tout cela est censé nous apprendre ? On ne retient strictement rien de ce film ! Le trip à l'indienne se répète de façon insupportable, et au final on se demande vraiment à quel type de spectateur est destiné ce Blueberry, dont il n'a finalement que le nom. Pour les amateurs de western : rien à voir. Pour les amateurs de Vincent Cassel : rien à voir. Pour les amateurs de la bd Blueberry : rien à voir. C'est pour ces raisons que je vous déconseille ce film : les effets spéciaux ne suffisent pas à eux seuls à faire un film. Kounen l'a visiblement oublié, et c'est vraiment dommage. Par contre, si vous vous êtes toujours pas remis du phénoménal (à n'en pas douter) Matrix Revolutions, rebranchez vos trois neurones et foncez voir ce film fait pour vous : des effets spéciaux plein la vue, mais le néant total autour...
C'est tiré d'un Blueberry ce FCNO ( Film de Catégorie Non Identifiée ) ? Je suis un fan de la Bd, et je suis étonné que Charlier et Giraud aient donné leur accord pour cette "adaptation" !!! La bande-annonce promettait une "adaptation libre", en fait tellement libre que la Bd n'est qu'un prétexte bien lointain (tellement lointain qu'on ne la retrouve pas, et pourtant La série "La Mine de l'Allemand perdu" et "Le spectre aux balles d'or" sont parmi les meilleurs Blueberry ! ) pour attirer les fans de la Bd et mettre la main sur leur porte-monnaie ! FANS DE BLUEBERRY, N'Y ALLEZ PAS ! ECONOMISEZ VOTRE ARGENT ! C'EST UNE PURE DAUBE ! Pour tous ceux qui aiment les débauches d'effets spéciaux, c'est pour vous (des effets spéciaux style Matrix dans un Western ?!?!?!?! ) En bref, c'est nul, il n'y a pas de jeu d'acteurs (Vincent Cassel, pourquoi es-tu allé te fourvoyer dans ce navet ?), la "culture indienne" de supermarché est là... et en plus il y a des longueurs (de véritables traversées du désert en fait ).
Je viens de m'inscrire rien que pour noter cette merde infame. Comment peut-on mettre 5 étoiles et comment ce film peut-il avoir 2 étoiles de moyenne. Je regarde bcp de films et je vais souvent au cinéma. Et je tiens à vous avertir que je classe ce film dans les plus gros navets qu'il m'ait été donné de voir ! Et pourtant, j'ai rien contre Cassel ! Certains films dans lesquels il jouait sont très bons. Mais c'est ici le réalisateur qui a fumé un raille de coque avant d'appuyer sur "ON" sur la caméra. Ce film est une ineptie ! Et ca me fait hurler de rire de voir que certaines personnes disent qu'il faut le voir deux fois pour comprendre. Ya rien à comprendre, c'est un daube ! Au ciné, on se regardait comme des cons pour voir si d'autres arrivaient à comprendre le défilement d'images sans ni queue ni tête. Dans la salle de ciné, personne n'a compris au son des soupirs et des rigolades (oui, on a ri, mais normalement, c'est pas un film comique...) Bref, épargnez-vous la peine de le voir, certains s'en sont chargés pour vous ;)
La découverte du chamanisme au cinéma, c'est intéressant, mais de là à ce que cela dure tout le film… Un film qui fait soit voyager, soit somnoler… moi j'étais entre les deux.
Une quête intimiste très réussie et beaucoup trop dénigrée par les spectateurs qui ne s'attendaient pas à ce genre de film... Toutefois, les délires chaman de la scène finale peuvent irriter de part leur longueur excessive. A découvrir.
Se basant sur la bande dessinée éponyme de Jean Giraud, le film démarre avec les structures narratives du western : larrivée dun jeune inconnu dans une ville, située en plein désert. Les saloons, les prostituées, lalcool, les chevaux, le sable, les Indiens Filmé avec une virtuosité sans comparaison, le film prend une tournure tout à fait autre dans sa seconde partie. Celle-ci, ne gardant de la trame initiale que les personnages et la base de lhistoire, nous plonge dans le monde du chamanisme Indien. Ce voyage se révèle tout simplement passionnant. Tel Mike Bluebbery, le spectateur a le sentiment de prendre un psychotrope et de partir pour un voyage intérieur qui le mènera au plus profond de lui-même. Une sorte de psychanalyse accélérée sous ecsta. Nous assistons alors à une succession de visions plus curieuses et sensationnelles les unes que les autres. On reconnaît des serpents, des scorpions mais on ne saurait décrire le reste : des cercles, des mosaïques, des formes, de la lumière Cest beau, on se sent partir avec le personnage. A condition dadhérer à cette perception que demande le film. Il faut être dans un état second pour complètement plonger dans ce « trip » psychédélique. « Im leaving this world. Hes dead and now its my turn. But I dont wanna die. I see my memories. I see the kid I was. » On en ressort forcément différent et un temps de réadaptation au monde réel est nécessaire. Lexpérience est troublante et, à en croire les dires de Vincent Cassel dans le commentaire audio du DVD, les visions que l'on a réellemen sont très proches des images que lon peut voir à lécran. Il est clair quil faut être assez ouvert desprit pour ressentir pleinement létat desprit du film et oublier toute rationalité. Quelle expérience magique et envoûtante ! Quelle chance de pouvoir ressentir ces sensations grâce à un film ! On ne remerciera jamais assez Jan Kounen de nous avoir offert ce voyage inoubliable. « Welcome to the other world... »
C'est vraiment pas terrible , malgré un Vincent Cassel toujours appréciable à voir jouer il ne sauve pas cette adaptation de la célèbre B.D Blueberry. Pari difficile dès le départ , comme si cela ne le suffisait pas , voila que le réalisateur nous propose une adaptation western sauce chamanique! Bien tenté mais loupé, raté c'est une catastrophe. Un Michael Madsen vraiment pas dans le film , il donne même la nausé. La positivité de ce film revient aux décors qui sont somptueux rien de plus. Bref , mauvaise adaptation , si vous le ratez ce n'est pas un drame.
C'est un navet ce film! c'est pas possible de l'aimer...désolé, mais pour ce film je suis intolérent lol Franchement, les premiéres 15 minutes, je pensais ca serait un bon film, aprés tu n'y compris strictement, mais alors là absolument rien! Bref, passez votre chemin
Je serais curieux de lire le scénario de ce film, pour voir comment la production a réussi a convaincre Cassel de jouer là-dedans. C'est le navet de l'année. Oubliez le western (à peine 10 coups de feu sont tirés). Oubliez les effets spéciaux (il y a juste un stagiaire qui maîtrise Photoshop, qui nous a balancé tous les filtres en même temps en boucle, pendant 30 min à la fin du film). Oubliez que Cassel a joué là-dedans. Je suis un amateur de nanard, mais alors là, même en fumant un grand coup, on ne peut rien faire pour ce film (et de toutes façons, ce film n'est qu'un vaste joint géant !).
Il est rare qu'on donne à des réalisateurs les moyens de leurs ambitions, surtout quand le film est personnel, et ici expérimental (nature, phobie). Pour Blueberry, Kounen avait besoin de moyens financiers importants (pour exprimer la mutation d'un homme par l'expérience mystique) pour un film qui n'est pas commercial. Résultat : beaucoup d'argent pour un film que certains trouveront génial, mais qui ne sera peut-être pas rentable, mal foutu le truc ! En tout cas, Chapeau bas à Thomas Langmann qui a pris le risque de produire ce film. Comme du bon vin, Blueberry va, à coup sûr, s'apprécier avec le temps et finira certainement dans les mémoires comme une oeuvre culte (à la manière d'un Fight Club ou même d'un Blade Runner).
Les Indiens aimeraient peut-être ce film... ou peut-être ils en rigoleraient... Pas mauvais, mais à la fin la bouillie de synthèse de 1000 pattes, araignées et serpents pendant 15 minutes, ça fait mal aux yeux, mal à la tete, à moins d'être stone et sous l'emprise de stupéfiants, je comprends mal comment on peut aimer un tel passage...
Jan Kounen nous propose de plonger avec lui dans ses délires au LSD cheyenne, autant vous dire que seuls les douteux spectateurs aux 4 étoiles ont réussi à comprendre ce que je n'ai pu cerner : les effets spéciaux sont en plus d'être chiants mal foutus, les acteurs ont l'air d'être sous-payés, le scénario tient aisément sur le verso de la page que Kounen a laborieusement rempli pour Dobermann, il n'y a que les paysages (la seule chose qui n'a pas été créée pour le film) qui sont regardables. De plus, Cassel doublé en français par Cassel, ça nous donne une espèce de ventriloquie à hurler de rire ! C'est à se demander si la scène de fin est trouvable sur ecran-de-veille.com ou si j'ai loupé l'ouvreuse qui distribuait du space-cake avant la séance en chantant "Blueberry fields forever"...
Jan Kounen réussit l'incroyable : prendre l'un des personnages les plus riches de la BD actuelle, dans l'une des thématiques les plus universelles du monde (le western), et parvenir à réaliser un film que seulement 2 personnes dans le monde (y compris lui-même) pourront apprécier à sa juste valeur. Pourquoi avoir pris Blueberry pour y plaquer ses propres obsessions ? Pourquoi renier 30 ans d'histoires extraordinaires pour offrir au monde une pseudo-expérience chamanique sous acide ? Entre les images de synthèse qui envahissent l'écran en permanence, plombant un final déjà passablement indigeste, et les personnages errant comme des poulets décapités, ce film se place comme l'une de mes pires "expériences" de cinéma.
Il suffirait peut-être de juste changer le titre du film (et donc le nom du héros) pour que la plupart d'entre nous revoie leur note à la hausse, car ce film ne correspond en rien à l'esprit Blueberry. Dans un autre contexte, à voir, mais en adaptation libre de la BD. Ceux qui apprécient ce film sont ceux qui ne connaissent pas la BD et qui se retrouvent sans a priori sur le personnage Blueberry.