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titusdu59
71 abonnés
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1,0
Publiée le 2 juillet 2011
À la rigueur, la première heure et demie est regardable. C'est ultra-chiant, lourd, tellement mal joué que ça endevient presque pathétique, ça accumule pas mal de bouffonneries de mise en scène, mais bon, malgré le ton très atypique pour un western, bizarrement ça reste regardable. Et puis là, pour les vingt minutes de fin, Jan Kounen, comme tout bon drogué qui s'assume, sert des images inexplicables, dégoutantes, répugnantes, et qui ne veulent rien dire... Si au moins elle avaient été belles! Mais non, bien au contraire elle constituent tout ce qu'il y a de plus laid, de plus con, de plus affreux. En bref, une immonde connerie, à réserver aux imbéciles impuissants pseudo-pensants, ça leur foutra la trique.
Attention ceci est un message à caractère informatif de grande importance, Blueberry est un film qui ne peut être étiqueté : ce n'est ni un ratage total, ni un nanar, ni un film poétique c' est juste un truc vide de sens qui réussi à plonger de cinéphile dans un état d'aphasie total. je l'ai vu sain de corps et d'esprit et je n'en suis pas sortit indemne en effet ce petit gout de merde persiste de longue heure après le visionnage. Référence culte d'un cinéma français en ruine à voir de toute urgence.
Le meilleur de Kounen. Atmosphérique, poétique, un vol d'oiseau sur l'immensité du monde. Poésie des sens, du détail, et pas seulement. D'un coup d'un seul, c'est un genre que l'on transforme pour l'emmener vers là où erre une beauté sans pareil. Quelle aventure.
J'ai vu ce film à sa sortie au cinéma et je ne l'ai pas revu depuis. Cependant je me rappelle avoir été grandement déçu de cette adaptation même si l'image m'avait semblée pas si mauvaise que ça. faudrait que je le revoie un de ces jours...
S’il est vrai que le récit n’est pas d’une grande fidélité par rapport à la BD, cette adaptation s’impose tout de même comme étant un grand moment de cinéma, à condition de pouvoir le vivre comme une véritable expérience cinématographique – à ce titre, les dernières minutes du film sont à visionner comme un trip bien déroutant et dont on a du mal à ressortir indemne. La réalisation de Jan Kounen est par ailleurs vraiment admirable, Vincent Cassel est tellement extra dans le rôle principal que l’on se demande quel acteur aurait pût le remplacer, tandis que la photographie et les paysages sont juste sublime. Bref, on se retrouve devant un véritable OFNI qui laisse des traces dans l’esprit du spectateur pendant et après son visionnage.
THE CELL. Mais qu'a fumé Jan Kounen? Son délire chamanique et visuel est à la longue gonflant et lassant. Et comme le dit si bien le Nouvel Observateur, on connaissait le wester spaguetti, voici maintenant le wester nouille.
Ce film est une bouse incompréhensible, décousue, sans queue ni tête. Même les décors ont été si mal filmés qu'il n'en ressort rien. Le pire étant probablement les images psychédéliques de synthèse dont le film nous abreuve à plusieurs reprises pendant plusieurs minutes, comme pour essayer de nous hypnotiser et nous convaincre que non, nous ne sommes pas en train de regarder le gros navet qu'il est.
Une des plus grosses daubes que j'ai jamais vu ! Je me suis vraiment forcé à le regarder. Peut-être que la BD est bien mais le film lui est vraiment vraiment nul !
Comme il est indiqué dans le générique (la seule chose réussie dans le film soit dit en passant) c'est librement adapté de la BD, il aurait du être précisé que seul le nom de Blueberry est le point commun entre la BD et ce minable western, lamentable et pathétique que je n'ai visionné jusqu'au bout d'ailleurs. Kounen devrait avoir honte de massacrer une si formidable BD. Dans le registre western psychédélique je vous conseille l'excellent El Topo de Jodorowsky.
Le film aurait pu être excellent, mais il s'avère médiocre au final. Le réalisateur rentre trop dans ses trips si bien que la dernière moitié de ce Blueberry s'avère carrément insupportable et complétement ratée !
Vincent Cassel dans toute sa splendeur, nul de chez nul dans une super bousasse. Mais que faisaint là les talentueux Karyo et Lewis. Des dettes à payer?
Un film expérimental au casting prestigieux qui finit par se perdre dans sa propre expérience. Dommage car de nombreuses idées méritaient d'être mieux exploitées.
A croire que la Coke ne réussit pas à tous les réalisateurs.. Ce film n'a ni queue ni tête et part dans des délires psychédéliques absolument hors sujet.. Bref, un gâchis qui deviendra j'en suis sur un cas d'école.
Je viens de perdre deux heures de ma vie. Il n'y a rien d'autre à dire, pour ce film dont la bande annonce dissimule bien les trésors d'ennui qu'il reserve même aux plus chevronés des spectateurs. Scénario inexistant et scènes convenus. Le côté chamanique est ennuyant à en mourir. Les effets spéciaux dignes d'un écran de veille windows. Prestation des acteurs digne d'Ab production. Et dire qu'il a fallu 6 ans pour en arriver là...
Ce western halluciné aux incroyables images n'est certainement pas un western traditionnel comme les affectionnent les cinéastes américains, ni une plate adaptation d'un classique de la B.D. Ici, les duels sont avant tout spirituels. Les visions provoquées par les plantes évoquent parfois le peintre Giger, créateur du monstre d'Alien. Des chamans ont eux-même supervisé les images, afin que celles-ci soient le plus fidèles possibles aux altérations de la conscience. Ceux qui aiment le cinéma libre de Jan Kounen devraient lire son livre "Carnets de voyages intérieurs" (préfacé par Jodorowsky), sur ses expériences avec l'ayahuasca, une liane sacrée utilisée par les indiens. Plutôt que d'hallucinations, il faudrait parler de science des rêves, de voyage dans l'inconscient et dans la mémoire cellulaire. Tout comme Kubrick a été influencé par le L.S.D pour le final de 2001, l'ayahuasca a guidé Kounen pour ce film. Jan Kounen est dorénavant un cinéaste-chaman qui nous ouvre des portails perceptifs.