Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Culturopoing.com
par Noëlle Gires & Olivier Rossignot
"Decision to leave" abasourdit d’abord, perd son spectateur dans une incroyable densité formelle et narrative, puis le laisse terrassé par un sentiment de désolation. Tout commence sur une montagne et s’achève en-dessous du niveau de la mer: la trajectoire descendante est celle d’un sublime désastre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Faux polar, vraie histoire d'amour et bouleversante radiographie des sentiments humains, Decision to Leave nous prouve une bonne fois pour toutes que Park Chan-wook est encore au sommet de son art et qu'il n'est pas près de redescendre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le Coréen Park Chan-wook revisite le mythe de la femme fatale et livre une œuvre vénéneuse qui porte la sophistication à un haut niveau d’élégance. Prix mérité de la mise en scène au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Mad Movies
par Vincent Malausa
En substituant à l'art hautement raffiné de la vengeance de sa trilogie ultraviolente celui tout aussi sophistiqué de la séduction, l'auteur livre en quelque sorte une version plus adulte, plus sensuelle et plus intériorisée de ce genre matriciel qu'il a jadis poussé dans ses derniers retranchements de fureur et d'explosivité.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les images de ce film restent longtemps en tête et, plus le temps passe, plus le parfum de ce Decision To Leave est entêtant.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
L'incroyable créativité [de Park Chan-wook] se retrouve encore dans ce film : une idée de cinéma par plan et cette volonté de faire du spectateur un acteur, presque un décideur de l'intrigue.
Positif
par Hubert Niogret
Park Chan-wook, dans le style extraordinaire qui est le sien, s’attache cette fois à des émotions individuelles et à la relation entre deux êtres comme il ne l’a fait dans aucun autre de ses films, tout en gardant cette vision fragmentée d’un réel qui n’est pas univoque.
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ce nouveau long métrage, son onzième, fait fatalement penser à « Vertigo ». Comme dans le chef-d’œuvre d’Alfred Hitchcock, un enquêteur s’éprend de la femme qu’il est censé surveiller. Et les personnages semblent sans cesse jouer un rôle, bâtir leur propre fiction pour manipuler, comprendre, séduire. C’est la définition même du cinéma.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Une œuvre saisie par la grâce.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Park Chan-wook orchestre un jeu de chat et de souris à l’érotisme délicat.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Le réalisateur de Stoker et de Mademoiselle a reçu au Festival de Cannes 2022 le Prix de la mise en scène pour Decision to Leave : le cinéaste sud-coréen signe une romance vertigineuse au cœur d’un thriller sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Mois violent que les précédents film de l’auteur d’Oldboy, Decision to Leave donne au polar des accents de mélodrame (…) Le film fait alors davantage que dépeindre un homme pris au piège de son désir: il exprime la puissance d’attraction de deux êtres qui reconnaissent leur parenté en dépit de vents contraires.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Park Chan-wook signe avec "Decision to Leave" un de ses films les plus complexes à apprivoiser, les moins immédiatement aimables, ne cherchant jamais vraiment l’efficacité mais intimant constamment à son spectateur de regarder intensément. Le voyage n’a rien d’évident. Et c’est peut-être ce qui le rend encore plus palpitant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une histoire classique sur le fond, mais traitée avec style et sur un ton doux-amer moderne.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Une brillante variation sur le film de détective.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) tout l’intérêt de ce « Basic Instinct » platonique – où partager un baume à lèvres incarne le summum de la tension sexuelle – est de travestir un fantasme de love story en puzzle ludique pour spectateurs en manque de purs défis de cinéma. « Decision to Leave » en est un, prix de la mise en scène mérité au Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Quel est le spectateur qui n’avouerait pas qu’il se délecte à se laisser égarer, quand ce qui lui est offert est un délice d’habileté narrative et visuelle ? On est perdu et on en redemande, ballotté, en équilibre instable sur le bord de la falaise de l’imaginaire, mais fasciné par la virtuosité de ce maître du ballet des ombres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Park Chan-Wook détaille la passion d’un policier pour la principale suspecte impliquée dans son enquête. Et signe un thriller urbain plein de style.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B.
En dépit d’un rythme un peu languissant, on est happé par ce récit élégant, subtil et sans compromis, qui traduit bien le refus de son sulfureux auteur de rester dans les rails.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Polar et mélo se rencontrent dans ce nouveau film au charme maniériste qui, toutes choses égales par ailleurs, semble accommoder Vertigo (Sueurs froides, 1958), d’Alfred Hitchcock, précis de psychanalyse sous couverture de polar, à la suavité électrisante d’In the Mood for Love (2000), de Wong Kar-wai.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Impossible de ne pas succomber à cette échappée belle de deux heures dix-huit minutes.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Sur un canevas d'enquête criminelle, le metteur en scène d'« Old Boy » se lance dans un exercice de style impressionnant. Prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, « Decision to Leave » est un film retors et virtuose, une histoire de mort et d'amour qui finit.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Emily Barnett
L'un des polars les plus décoiffants de l'été.
Première
par Guillaume Bonnet
Entre le film noir, Hitchcock et le film d’amour, Park Chan-wook choisit de ne surtout pas choisir, et de tout faire à la fois, conscient qu’il s’agit au fond d’une seule et même chose. On parie qu’Hitchcock lui aurait donné sa bénédiction.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
C’est peut-être la réelle intrigue de Decision to leave. Non pas élucider un crime mais un sentiment. C’est toute la beauté discrète de cette œuvre de Park Chan-Wook, aux antipodes de Mademoiselle ou de Old Boy.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télé Loisirs
par C.B.
Ce film unique en son genre, véritable grand huit visuel, a décroché un prix de la mise en scène à Cannes fort mérité. Le scénario n'est pas simple mais la réalisation et le montage sont époustouflants.
Télérama
par Louis Guichard
Le Coréen Park Chan-wook se renouvelle avec cette passionnante variation autour du Vertigo de Hitchcock.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
L'histoire, éthérée et étirée, d'un amour impossible aux faux airs de tragédie, superbement mise en scène par le réalisateur coréen - d'habitude plus violent - d'Old Boy, Stoker et Mademoiselle.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’intrigue est en soit assez simple mais Park-Chan Wook expose son récit tel un puzzle ; les séquences se succèdent sans réel lien et en usant de temporalités différentes. Si la sollicitation du public pour remonter le fil peut être un atout, il se résume ici à un exercice de style, certes esthétique mais qui n’émeut guère.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
D’un romantisme sulfureux, ce drame policier aux accents hitchcockiens commence par intriguer, mais se perd dans les circonvolutions d’une narration trop alambiquée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Park Chan-wook problématise son propre formalisme et sa propre virtuosité dans ce thriller sentimental dont la complexité formelle est le contrepoids voire l’ennemi de la simplicité des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Tout n’est pas à jeter dans ce film surchargé et tout particulièrement pas son scénario retors coécrit par le cinéaste et Jung Seo-kyoung.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Marin Gérard
En dépit de sa générosité formelle, qui ne se focalise malheureusement que sur des trouvailles déconnectées les unes des autres, Decision to Leave reste un film verrouillé et à la limite de la frigidité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
Mais pour cette fois, la forme, aussi somptueuse soit-elle, ça ne suffit pas : l’intrigue à tiroirs est tellement télescopée qu’avec un peu d’attention on en comprend les ficelles et le dénouement au bout de vingt minutes – il reste alors deux heures à tirer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Culturopoing.com
"Decision to leave" abasourdit d’abord, perd son spectateur dans une incroyable densité formelle et narrative, puis le laisse terrassé par un sentiment de désolation. Tout commence sur une montagne et s’achève en-dessous du niveau de la mer: la trajectoire descendante est celle d’un sublime désastre.
Ecran Large
Faux polar, vraie histoire d'amour et bouleversante radiographie des sentiments humains, Decision to Leave nous prouve une bonne fois pour toutes que Park Chan-wook est encore au sommet de son art et qu'il n'est pas près de redescendre.
La Voix du Nord
Le Coréen Park Chan-wook revisite le mythe de la femme fatale et livre une œuvre vénéneuse qui porte la sophistication à un haut niveau d’élégance. Prix mérité de la mise en scène au Festival de Cannes.
Mad Movies
En substituant à l'art hautement raffiné de la vengeance de sa trilogie ultraviolente celui tout aussi sophistiqué de la séduction, l'auteur livre en quelque sorte une version plus adulte, plus sensuelle et plus intériorisée de ce genre matriciel qu'il a jadis poussé dans ses derniers retranchements de fureur et d'explosivité.
Ouest France
Les images de ce film restent longtemps en tête et, plus le temps passe, plus le parfum de ce Decision To Leave est entêtant.
Paris Match
L'incroyable créativité [de Park Chan-wook] se retrouve encore dans ce film : une idée de cinéma par plan et cette volonté de faire du spectateur un acteur, presque un décideur de l'intrigue.
Positif
Park Chan-wook, dans le style extraordinaire qui est le sien, s’attache cette fois à des émotions individuelles et à la relation entre deux êtres comme il ne l’a fait dans aucun autre de ses films, tout en gardant cette vision fragmentée d’un réel qui n’est pas univoque.
Sud Ouest
Ce nouveau long métrage, son onzième, fait fatalement penser à « Vertigo ». Comme dans le chef-d’œuvre d’Alfred Hitchcock, un enquêteur s’éprend de la femme qu’il est censé surveiller. Et les personnages semblent sans cesse jouer un rôle, bâtir leur propre fiction pour manipuler, comprendre, séduire. C’est la définition même du cinéma.
aVoir-aLire.com
Une œuvre saisie par la grâce.
20 Minutes
Park Chan-wook orchestre un jeu de chat et de souris à l’érotisme délicat.
Bande à part
Le réalisateur de Stoker et de Mademoiselle a reçu au Festival de Cannes 2022 le Prix de la mise en scène pour Decision to Leave : le cinéaste sud-coréen signe une romance vertigineuse au cœur d’un thriller sophistiqué.
Cahiers du Cinéma
Mois violent que les précédents film de l’auteur d’Oldboy, Decision to Leave donne au polar des accents de mélodrame (…) Le film fait alors davantage que dépeindre un homme pris au piège de son désir: il exprime la puissance d’attraction de deux êtres qui reconnaissent leur parenté en dépit de vents contraires.
CinemaTeaser
Park Chan-wook signe avec "Decision to Leave" un de ses films les plus complexes à apprivoiser, les moins immédiatement aimables, ne cherchant jamais vraiment l’efficacité mais intimant constamment à son spectateur de regarder intensément. Le voyage n’a rien d’évident. Et c’est peut-être ce qui le rend encore plus palpitant.
Femme Actuelle
Une histoire classique sur le fond, mais traitée avec style et sur un ton doux-amer moderne.
L'Humanité
Une brillante variation sur le film de détective.
L'Obs
(...) tout l’intérêt de ce « Basic Instinct » platonique – où partager un baume à lèvres incarne le summum de la tension sexuelle – est de travestir un fantasme de love story en puzzle ludique pour spectateurs en manque de purs défis de cinéma. « Decision to Leave » en est un, prix de la mise en scène mérité au Festival de Cannes.
La Croix
Quel est le spectateur qui n’avouerait pas qu’il se délecte à se laisser égarer, quand ce qui lui est offert est un délice d’habileté narrative et visuelle ? On est perdu et on en redemande, ballotté, en équilibre instable sur le bord de la falaise de l’imaginaire, mais fasciné par la virtuosité de ce maître du ballet des ombres.
Le Figaro
Park Chan-Wook détaille la passion d’un policier pour la principale suspecte impliquée dans son enquête. Et signe un thriller urbain plein de style.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un rythme un peu languissant, on est happé par ce récit élégant, subtil et sans compromis, qui traduit bien le refus de son sulfureux auteur de rester dans les rails.
Le Monde
Polar et mélo se rencontrent dans ce nouveau film au charme maniériste qui, toutes choses égales par ailleurs, semble accommoder Vertigo (Sueurs froides, 1958), d’Alfred Hitchcock, précis de psychanalyse sous couverture de polar, à la suavité électrisante d’In the Mood for Love (2000), de Wong Kar-wai.
Le Point
Impossible de ne pas succomber à cette échappée belle de deux heures dix-huit minutes.
Les Echos
Sur un canevas d'enquête criminelle, le metteur en scène d'« Old Boy » se lance dans un exercice de style impressionnant. Prix de la mise en scène au dernier Festival de Cannes, « Decision to Leave » est un film retors et virtuose, une histoire de mort et d'amour qui finit.
Marie Claire
L'un des polars les plus décoiffants de l'été.
Première
Entre le film noir, Hitchcock et le film d’amour, Park Chan-wook choisit de ne surtout pas choisir, et de tout faire à la fois, conscient qu’il s’agit au fond d’une seule et même chose. On parie qu’Hitchcock lui aurait donné sa bénédiction.
Transfuge
C’est peut-être la réelle intrigue de Decision to leave. Non pas élucider un crime mais un sentiment. C’est toute la beauté discrète de cette œuvre de Park Chan-Wook, aux antipodes de Mademoiselle ou de Old Boy.
Télé Loisirs
Ce film unique en son genre, véritable grand huit visuel, a décroché un prix de la mise en scène à Cannes fort mérité. Le scénario n'est pas simple mais la réalisation et le montage sont époustouflants.
Télérama
Le Coréen Park Chan-wook se renouvelle avec cette passionnante variation autour du Vertigo de Hitchcock.
Voici
L'histoire, éthérée et étirée, d'un amour impossible aux faux airs de tragédie, superbement mise en scène par le réalisateur coréen - d'habitude plus violent - d'Old Boy, Stoker et Mademoiselle.
Franceinfo Culture
L’intrigue est en soit assez simple mais Park-Chan Wook expose son récit tel un puzzle ; les séquences se succèdent sans réel lien et en usant de temporalités différentes. Si la sollicitation du public pour remonter le fil peut être un atout, il se résume ici à un exercice de style, certes esthétique mais qui n’émeut guère.
Les Fiches du Cinéma
D’un romantisme sulfureux, ce drame policier aux accents hitchcockiens commence par intriguer, mais se perd dans les circonvolutions d’une narration trop alambiquée.
Les Inrockuptibles
Park Chan-wook problématise son propre formalisme et sa propre virtuosité dans ce thriller sentimental dont la complexité formelle est le contrepoids voire l’ennemi de la simplicité des sentiments.
Libération
Tout n’est pas à jeter dans ce film surchargé et tout particulièrement pas son scénario retors coécrit par le cinéaste et Jung Seo-kyoung.
Critikat.com
En dépit de sa générosité formelle, qui ne se focalise malheureusement que sur des trouvailles déconnectées les unes des autres, Decision to Leave reste un film verrouillé et à la limite de la frigidité.
Le Parisien
Mais pour cette fois, la forme, aussi somptueuse soit-elle, ça ne suffit pas : l’intrigue à tiroirs est tellement télescopée qu’avec un peu d’attention on en comprend les ficelles et le dénouement au bout de vingt minutes – il reste alors deux heures à tirer.