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Papoudézil
2 critiques
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0,5
Publiée le 5 février 2022
J’ai quitté la salle au milieu de ce navet … Remboursez!!! dialogues plats se voulant prétentieux, situation d’entre-soi pédante sans aucun intérêt ……… comme j’ai perdu quelques euros, fait un aller retour INUTILE , je ne souhaite pas consacrer une minute de plus à ce Grrrrrrrrrr … à éviter voire fuir ! ! !
Dommage, une bonne idée, une bonne brochette d'acteurs.... A peine pour un dimanche soir sur petit écran et encore... Mention spéciale tout de même à M. Benoît Poelvoorde, qui relève le film et fait qu'on reste jusqu'à la fin....
film alimentaire ??? On s'ennuie, il ne se passe rien, c'est long, c'est long... la belle brochette d'acteurs attirera le badeau mais le bouche à oreille va sûrement enterrer ce nanar... cette vieillesse méchante, aigrie, surjouée n'a aucun intérêt On aimerait rester au bar avec Poelvoorde et s'enfuir rapidement de ce film totalement râté !
Un film où la laideur de l'image la dispute à celles des comédiens, dont l'ego et le nombrilisme sont effarants. Epuisant, bavard, et pas drôle. On a connu Edouard Baer beaucoup plus inspiré, et surtout beaucoup plus poète!
On commence le film on est tout excité devant le casting et puis l'idée du repas dans un bistrot. Bon au bout d'une demi-heure on doit s'avouer qu'on se fait quand-même franchement chier. Mais ou est Édouard Baer ? Ah il arrive ! Ca y est on va passer un bon moment. Ah bah... Quoi il se barre vraiment la!? Au bout de 5 minutes !? On passe le reste des deux heures du film à s'ennuyer ferme, et à bader en ayant peur de vieillir. On dirait que c'est que de l'impro, ya rien.
Ce serait un film new yorkais avec quelques personnages connus on ferait a ce film un meilleur accueil. On magnifie les personnages vieillissants et veules à souhait, mais il a une belle construction théâtrale entre celui qui essaie et le groupe qui récite sa partition par coeur. Tout cela servit par des talents cabots comme jamais. La vieillesse est un naufrage, la c'est un joyeux Titanic.
Un bon moment de loufoquerie avec des personnages tous bien campes et sans leçon de vie, c'est léger et pétillant, ça fait du bien et ça m'a fait beaucoup rire.
Je crois que c’est le premier film d’Edouard Baer réalisateur que je vois. Le bouche à oreille était très mauvais mais le beau casting m’a décidé, et puis je voulais me rendre compte par moi-même (vive les cartes illimitées !). Casting à majorité masculine, car on dirait bien que les rôles féminins (Léa Drucker, Isabelle Nanty et Ludivine Sagnier) ont été rajoutés pour que Baer ne soit pas taxer de sexiste ou de misogynie. Sans vouloir aller dans ce sens, ces personnages ne servent à rien (sauf peu être celui de la serveuse) et d’ailleurs interviennent très peu. Pour le reste, on va dire qu’il n’y a pas de scénario, juste une série de conversations, de scènes de picole et de bouffe, quelques belles tirades, des références artistiques, et des comédiens en roue libre. Pas de direction d’acteur donc, ni de réelle mise en scène non plus. Mais il y a quelque chose de touchant qui ressort de tout cela, de la mélancolie, de la nostalgie, entre les ravages de la vieillesse et de la maladie, sans oublier l’amitié et ses aléas. Baer porte un regard plein de tendresse, d’admiration et de bienveillance sur ses personnages et ses acteurs, le tout mêlé à beaucoup d’humour. Au final, un peu brouillon, voir bordélique, et sans doute agaçant pour certains, mais un beau film, aussi drôle que triste, sur le temps qui passe. Beaucoup aimé.
Si l'action est autant dépouillée, c'est pour mieux nous laisser le temps de nous évader. Nous évader, oui, prendre du recul sur nos expériences : qui sommes nous avec nos amis ? Les conservons-nous par intérêt ou pas pur affection.. Ces questionnements classiques certes, mais souvent oubliés et émergent des quelques longueurs du film. Prendre le temps de déguster le jeu de ces acteurs aux talents diverses, que l'on sent libres et vrais, exaltés par la touche poétique d'Edouard Baer. Laisser le temps au temps donc. Ne pas le brusquer, sentir en nous ce qui nous anime, comprendre nos désirs au-delà des artifices et accepter nos artifices comme une part de notre désir. Ce film est une bouffée d'air, nous laisse dans la tête les notes de ce piano qui entre noir et blanc nous aide à retrouver en nous notre voix la plus intime.
Archinul, pathétique, acteurs vieillissants au crépuscule de leur art, incompréhensible, du Edouard Baer tout craché ! Que sont-ils allés faire dans cette galère ??
Cette réalisation ne vaut que par les grosses pointures mises à contribution. Mais ça ne prend pas trop parce qu’on ne cerne pas très bien un fil conducteur autre que des querelles et autres récriminations entre les protagonistes sans qu’on ne sache trop pourquoi d’ailleurs et dont le « plus fort en gueule » (Pierre Arditi ici) ne fait le plus souvent que brailler. La vieillesse qui se lasse de l’amitié ? Un peu court et en tout cas assez impénétrable même si les joutes verbales, prises isolément, ont ici ou là quelque chose de plaisant. Quand on voit les notes des spectateurs étalées à l'extrême comme elle le sont ici, c'est qu'il y a un problème. Le fond aurait pu y être mais la forme (théâtrale) ne lui convient pas ou n'est pas alimentée comme il aurait convenu.
Le pot-au-feu devenu daube et ce film correspond bien à cela. Un casting composé uniquement d'hommes, des vieux-beaux, qui s'aiment s'admirent se complimentent s'insurgent s'insultent aucun sens! Ce film ne raconte rien pas de scénario Quelques dialogues qui font sourire mais l'ensemble est d'un ennui profond Comment Édouard Baer en est-il arrivé là ? On finit par s'endormir et heureuse que le film soit enfin terminé