AlloCiné
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Votre avis sur Adieu Paris ?
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Je suis allé voir ce film malgré les critiques négatives, et nous en sommes ressortis contents avec ma compagne !
C'est un beau film sur la vieillesse, l'amitié, l'humanité, les déboires de chacun, et les vacheries qu'on s'infligent les uns-les-autres.
Tous les acteurs sont excellents, et on passe un bon moment.
C'est un beau film sur la vieillesse, l'amitié, l'humanité, les déboires de chacun, et les vacheries qu'on s'infligent les uns-les-autres.
Tous les acteurs sont excellents, et on passe un bon moment.
Vide, creux, insondable ... un abîme. Un bon conseil : fuire ce film totalement désarticulé, aux dialogues d'une banalité affligeante au sein d'un pseudo repas dont le menu se révèle fort indigeste.
Séduits par la bande annonce, nous avons vécu une grande déception : un thème vaste et séduisant, de bons acteurs mais des longueurs... La sauce ne prend pas. Une mention spéciale pour B Poolvorde interprète de Charlebois !!!
Même le second degré brille par son absence.
Même le second degré brille par son absence.
Film très ennuyeux , qui ne sert a rien à part regarder des hommes boire et crier pendant 2h ... très déçu de ce film d'Édouard Baer qui finalement n'apparait que 5min pendant le film !
Difficile a décrire et a noter. C'est certainement écrit en partie mais en partie improvisé , parfois amusant , parfois sans grand intérêt , certains personnage bien définis , d'autres non. Bien joué dans l'ensemble mais frustrant car tant de bon comédiens pour au final au film pas abouti.
Tous les ingrédients y étaient pour que ce film soit une réussite : le talent de tous ces grands acteurs réunis autour d’une table qui n’était pas ronde pour des personnages qui n’étaient pas chevaleresques.
Ce repas entre artistes grimés de nostalgie, de peur de vieillir frisant la neurasthénie, de colère contre la fatalité inexorable du temps qui passe, me reste un peu sur l’estomac.
J’ai bien cherché l’humour décalé que j’attendais de Edouard Baer qui sait d’habitude nous surprendre, nous faire sourire en gardant cette élégance « so British ». Je me suis ennuyée et pire je me suis assoupie un peu, réveillée par la musique tonitruante du pianiste qui avait tout comme nous, envie de partir…
J’avais l’impression que chaque comédien avait un rôle qui lui collait à la peau, à l’idée que l’on se fait de chacun d’eux dans la vie ou dans leur parcours cinématographique.
La vieillesse est grand naufrage avait dit le Général de Gaulle, c’est un peu l’impression que j’ai eue en regardant ce film.
Les grands « toqués » et étoilés ratent parfois leur recette alors que tout y était. La sauce ne prend pas toujours. Un peu déçue, mais je reviendrai pour une nouvelle réalisation.
Une pensée pour Jean-François Stevenin qui a joué l’un de ses derniers rôles dans ce film, avant de nous quitter en juillet 2021.
Ce repas entre artistes grimés de nostalgie, de peur de vieillir frisant la neurasthénie, de colère contre la fatalité inexorable du temps qui passe, me reste un peu sur l’estomac.
J’ai bien cherché l’humour décalé que j’attendais de Edouard Baer qui sait d’habitude nous surprendre, nous faire sourire en gardant cette élégance « so British ». Je me suis ennuyée et pire je me suis assoupie un peu, réveillée par la musique tonitruante du pianiste qui avait tout comme nous, envie de partir…
J’avais l’impression que chaque comédien avait un rôle qui lui collait à la peau, à l’idée que l’on se fait de chacun d’eux dans la vie ou dans leur parcours cinématographique.
La vieillesse est grand naufrage avait dit le Général de Gaulle, c’est un peu l’impression que j’ai eue en regardant ce film.
Les grands « toqués » et étoilés ratent parfois leur recette alors que tout y était. La sauce ne prend pas toujours. Un peu déçue, mais je reviendrai pour une nouvelle réalisation.
Une pensée pour Jean-François Stevenin qui a joué l’un de ses derniers rôles dans ce film, avant de nous quitter en juillet 2021.
"Si les abattoirs étaient vitres, il y aurait plus de végétariens"
C'est pour ce genre d'humour, un peu beauf mais qu'on apprécie fortement, qu'on signe en allant voir Adieu Paris.
Un long-métrage en huis clos dans un restaurant, entre légendes mais grand chose à se mettre sous la dent. Le film parlera aux fans / nostalgiques de ses acteurs français.
François Damiens et Benoît Poelvoorde me font délirer avec leur humour ! Jackie Berroyer est excellent dans son rôle.
En revanche, peu voir pas de moments marquants, comblés de plusieurs faux raccords un peu grossiers.
C'est pour ce genre d'humour, un peu beauf mais qu'on apprécie fortement, qu'on signe en allant voir Adieu Paris.
Un long-métrage en huis clos dans un restaurant, entre légendes mais grand chose à se mettre sous la dent. Le film parlera aux fans / nostalgiques de ses acteurs français.
François Damiens et Benoît Poelvoorde me font délirer avec leur humour ! Jackie Berroyer est excellent dans son rôle.
En revanche, peu voir pas de moments marquants, comblés de plusieurs faux raccords un peu grossiers.
Nullissime, je me suis ennuyée et Poelworde en surjouant est grotesque. Même pas drôle, je m'attendais à un film sympa et j'ai vraiment été déçue.
Comment ne pas être hébété quand se lance le générique ? C'est seulement par respect pour le travail de l'équipe du film que je ne suis pas parti avant la fin ! I
Il n'y a pas de rythme, pas d'histoire, on ne comprend pas qui est ce personnage asiatique, c'est lourd, c'est non-mixte, on étouffe dans la closerie, de l'air !!
Très très déçu par Baer, le prochain je peut être que mieux !
Il n'y a pas de rythme, pas d'histoire, on ne comprend pas qui est ce personnage asiatique, c'est lourd, c'est non-mixte, on étouffe dans la closerie, de l'air !!
Très très déçu par Baer, le prochain je peut être que mieux !
Edouard Bear est un gage de qualité quant à un humour intelligent et souvent grinçant.
Que dire de ce ADIEU PARIS ? Bravo M. Bear, film réussi.
Une distribution de haute voltige dans laquelle les comédiens sont tous épatants voire attendrissants selon leur registre : drôle, grincheux, poète, tendre, agressif...
De la subtilité, de la délicatesse, de l'intelligence qui nous font réfléchir au temps qui s'égrène inéluctablement et ce qu’on en fait.
Que dire de ce ADIEU PARIS ? Bravo M. Bear, film réussi.
Une distribution de haute voltige dans laquelle les comédiens sont tous épatants voire attendrissants selon leur registre : drôle, grincheux, poète, tendre, agressif...
De la subtilité, de la délicatesse, de l'intelligence qui nous font réfléchir au temps qui s'égrène inéluctablement et ce qu’on en fait.
Déconcertant. Une kyrielle de très bons acteurs. Pas de scénario précis ? Une réflexion sur l'âge, l'amitié et le vieillissement ? la vanité ? la tendresse. On ne saurait pas raconter ce film mais il se.vit bien.
NUL ! Très déçue de ce film d'Edouard Baer !
Cet arrivée de vieux acteurs, dont il est mal amené s'ils sont leurs propres personnages ou s'ils en jouent d'autres, pas de fond à l'histoire, pas drôle, mal tourné, on ne comprend pas l'utilité du rôle de Benoît Poelvoorde.
1h30 d'ennui sur un mauvais fond de bruit de bistrot et de la mauvaise élocution des acteurs.
Un bordel où on a pas envie d'être !
Cet arrivée de vieux acteurs, dont il est mal amené s'ils sont leurs propres personnages ou s'ils en jouent d'autres, pas de fond à l'histoire, pas drôle, mal tourné, on ne comprend pas l'utilité du rôle de Benoît Poelvoorde.
1h30 d'ennui sur un mauvais fond de bruit de bistrot et de la mauvaise élocution des acteurs.
Un bordel où on a pas envie d'être !
Avec des acteurs à très forte personnalité, forcément ça explose assez souvent ! La scène finale de Benoît Poelvoorde en chanteur populaire est une vraie surprise.
C’est le quatrième long métrage d’Edouard Baer mais cette fois, il n’aura pas le rôle principal. Il a écrit le scénario avec Marcia Romano (L'Evénement).
L’histoire de ce film est assez banale. Elle est loin d’avoir le panache d'Ouvert La Nuit. Il y a cet homme qui veut à tout prix participer à un dîner. Rien de bien excitant au programme. Finalement, on va avoir un presque huis clos sur des hommes expérimentés échangeant sur la vie. L’habituel grain de folie manque grandement. Il est fort dommage de ne pas retrouver cela, car c’est pourtant ce qui amène à regarder une de ses réalisations.
Pourtant, malgré tout, l’espoir est présent au début. Le personnage de Benoît Poelvoorde met l’ambiance. Sa manière de rentrer les deux pieds dans le plat met du piment. Son acharnement et sa filouterie pour assister à ce dîner font bien rigoler. Ses blagues sont maladroites et ça fait son charme. Il y a donc de quoi être confiant avec cet homme haut en couleur. Malheureusement, rapidement, il va être relégué au second plan. La baisse en régime commence.
À partir de là, Adieu Paris va prendre un ton beaucoup trop sérieux. La transition est brutale entre les rires et la mine basse. Concrètement, on s’ennuie sec dans cette seconde partie. L’histoire étant totalement vide, ce ne sont pas les mots échangés qui vont donner de l’animation. Ceux-ci sont sans aucun intérêt ni sens profond. On nous bassine de flashback inutile comme pour faire croire que le récit à un sens.
Cette comédie veut beaucoup trop se reposer sur le casting. Il est vrai que celui-ci est assez impressionnant. On compte des noms ronflants comme Pierre Arditi, Jackie Berroyer, François Damiens, Gérard Depardieu, Bernard Le Coq et Daniel Prévost. À part deux ou trois, le reste ne va pas être brillant. C’est dommage, car avec ces têtes d’affiche, on en attendait forcément mieux. Le problème est que personne ne prend le lead, attendant que les autres le fassent. Résultat, le navire n’a aucun capitaine. Il est surtout regrettable que Benoît Poelvoorde ait été mis en retrait, car concrètement sa présence à l’écran symbolise les seuls moments de bonheur d'Adieu Paris.
L’histoire de ce film est assez banale. Elle est loin d’avoir le panache d'Ouvert La Nuit. Il y a cet homme qui veut à tout prix participer à un dîner. Rien de bien excitant au programme. Finalement, on va avoir un presque huis clos sur des hommes expérimentés échangeant sur la vie. L’habituel grain de folie manque grandement. Il est fort dommage de ne pas retrouver cela, car c’est pourtant ce qui amène à regarder une de ses réalisations.
Pourtant, malgré tout, l’espoir est présent au début. Le personnage de Benoît Poelvoorde met l’ambiance. Sa manière de rentrer les deux pieds dans le plat met du piment. Son acharnement et sa filouterie pour assister à ce dîner font bien rigoler. Ses blagues sont maladroites et ça fait son charme. Il y a donc de quoi être confiant avec cet homme haut en couleur. Malheureusement, rapidement, il va être relégué au second plan. La baisse en régime commence.
À partir de là, Adieu Paris va prendre un ton beaucoup trop sérieux. La transition est brutale entre les rires et la mine basse. Concrètement, on s’ennuie sec dans cette seconde partie. L’histoire étant totalement vide, ce ne sont pas les mots échangés qui vont donner de l’animation. Ceux-ci sont sans aucun intérêt ni sens profond. On nous bassine de flashback inutile comme pour faire croire que le récit à un sens.
Cette comédie veut beaucoup trop se reposer sur le casting. Il est vrai que celui-ci est assez impressionnant. On compte des noms ronflants comme Pierre Arditi, Jackie Berroyer, François Damiens, Gérard Depardieu, Bernard Le Coq et Daniel Prévost. À part deux ou trois, le reste ne va pas être brillant. C’est dommage, car avec ces têtes d’affiche, on en attendait forcément mieux. Le problème est que personne ne prend le lead, attendant que les autres le fassent. Résultat, le navire n’a aucun capitaine. Il est surtout regrettable que Benoît Poelvoorde ait été mis en retrait, car concrètement sa présence à l’écran symbolise les seuls moments de bonheur d'Adieu Paris.
J'aime beaucoup Édouard Baer, son intelligence, sa poésie et sa folie douce. J'aime ses 3 précédents films, imparfaits, bancals, mais traversés par des fulgurances et un joli sens de l'humour absurde. Mais pas celui-ci. Qui tourne à vide, qui cabotine avec aigreur sur le thème du c'était mieux avant. Avec des dialogues qu'on attendait plus réussis vu la qualité du casting. Oui la vieillesse est un naufrage, on le sait tous, et je ne suis personne pour interdire à Édouard de réaliser un film mélancolique, mais je suis déçu. A la prochaine, l'ami.
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