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23 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Baer réunit une fabuleuse brochette de talents, mais plutôt que de célébrer une énième fois la bonne chair ou les bons mots de ses complices d'hier, il les observe avec une amertume et une cruauté inédites. Profond et triste, Adieu Paris est une élégie étonnante, inattendue et vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Nathalie Dupuis et Marion Ruggieri
Édouard Baer, fidèle à lui-même, livre une partition baroque, avec une ribambelle d'acteurs aux reparties ciselées.
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Un fllm en décalage avec l’air du temps qui ne manque pas de charrne.
Le Figaro
par Bertrand de Saint Vincent
On sort de cet Adieu Paris aussi désenchanté qu’enchanté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Portrait d'une génération qui disparaît, cadeau à une troupe d'acteurs déchaînés, le nouveau film d'Edouard Baer a la saveur d'un dernier verre avant la fermeture ou d'une fête qui s'évapore dans le petit matin.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Un numéro d'acteurs orchestré par Édouard Baer souvent réjouissant, notamment grâce à l'intervention parasite de Benoît Poelvoorde.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un hymne à un monde en voie d'extinction, aussi savoureux que cruel.
Positif
par Adrien Gombeaud
Adieu Paris est une comédie pleine de larmes. Autour de la table fusent les répliques hilarantes, les numéros de cabots irrésistibles. Baer paraît n’avoir fixé aucune limite à ses comédiens. [...] Cependant, par de brèves didascalies en coulisses, en cuisine ou en flash-back, l’auteur niche ses têtes de mort dans son tableau.
Transfuge
par Serge Kaganski
Une mélancomédie grinçante sur l’entre-soi des amitiés masculines qui tournent à l’aigre l’âge venant.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Le cinéma de Baer, inégal mais non sans charme, cultive un goût conjoint pour le fantasme et le rocambolesque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Sophie Grassin
Le film, salut au crépuscule de l’esprit, aux derniers tours de piste, peut donner le sentiment d’appuyer sur le frein. Mais tube de Charlebois ou plan muet (Depardieu), il y a la « Baer touch ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Un des ressorts de ce film, gag à répétition, est le ronchonnement des convives de ne pas trouver dans leur assiette les plats qu’ils attendaient. On est tenté de leur emboîter le pas, sans avoir envie de quitter la salle. On les regarde partir avec regret. Nous les avons tant aimés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est souvent drôle, parfois agaçant, et résolument mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
C’est souvent désopilant, grinçant, parfois agaçant. Mention spéciale à Bernard Le Coq en vieux chanteur dragueur, qui exprime le pathétique d’un homme qui vieillit à reculons. Et au mutique Jackie Berroyer. Quels soliloques attachants !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un huis clos où les discussions priment avec leur lot de cruauté et de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
On sourit, tout en se disant que Baer n’a pas encore réalisé le grand œuvre cassavetien, à la Husbands (déchaîné, ivre mort, affranchi de toutes les conventions), qu’il a sans doute en lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un huis clos mené tambour-battant par des hommes qui ont été les rois de la fête. On peut les trouver pathétiques, insupportables, ils le sont. Mais ils sont drôles, attachants...
Télé Loisirs
par Marc Arlin
Édouard Baer observe avec tendresse et ironie ces hommes qui ne sont plus en phase avec leur époque. Dommage que les dialogues ne fassent pas mouche.
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le pot-au-feu commandé résume le salmigondis de rancœurs et de vacheries attendues, mais Baer décentre opportunément l’action (...) le potentiel de bons mots se voit ainsi désamorcé à la faveur d’une force centrifuge qui détourne l’attention de la conversation.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le dispositif statique, bavard et vain, révèle ses limites et finit pour tourner à vide.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
L’approche pantouflarde a quelque chose de très libre et de charmant, comme son auteur, et quelques numéros font mouche (Baer et Poelvoorde), mais on se sent un peu le dindon de la farce : et si la prochaine fois, au lieu de faire semblant de faire un film, vous vous contentiez d’aller bouffer ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Bref, du rien, beaucoup de rien, voulu et assumé comme tel, monté en une chantilly qui ambitionne d’élever cette assemblée au rang de beautiful losers sans y parvenir tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Mathilde Blottière
Rance, ennuyeux, mal joué (seul Jackie Berroyer survole le naufrage, en créant un personnage poétique qui se retire du monde), Adieu Paris ressemble à ces agapes tristes et interminables qui s’achèvent dans les miettes et l’amertume. Ce gueuleton-là vous reste sur l’estomac.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
Baer réunit une fabuleuse brochette de talents, mais plutôt que de célébrer une énième fois la bonne chair ou les bons mots de ses complices d'hier, il les observe avec une amertume et une cruauté inédites. Profond et triste, Adieu Paris est une élégie étonnante, inattendue et vénéneuse.
Elle
Édouard Baer, fidèle à lui-même, livre une partition baroque, avec une ribambelle d'acteurs aux reparties ciselées.
L'Humanité
Un fllm en décalage avec l’air du temps qui ne manque pas de charrne.
Le Figaro
On sort de cet Adieu Paris aussi désenchanté qu’enchanté.
Les Echos
Portrait d'une génération qui disparaît, cadeau à une troupe d'acteurs déchaînés, le nouveau film d'Edouard Baer a la saveur d'un dernier verre avant la fermeture ou d'une fête qui s'évapore dans le petit matin.
Marie Claire
Un numéro d'acteurs orchestré par Édouard Baer souvent réjouissant, notamment grâce à l'intervention parasite de Benoît Poelvoorde.
Ouest France
Un hymne à un monde en voie d'extinction, aussi savoureux que cruel.
Positif
Adieu Paris est une comédie pleine de larmes. Autour de la table fusent les répliques hilarantes, les numéros de cabots irrésistibles. Baer paraît n’avoir fixé aucune limite à ses comédiens. [...] Cependant, par de brèves didascalies en coulisses, en cuisine ou en flash-back, l’auteur niche ses têtes de mort dans son tableau.
Transfuge
Une mélancomédie grinçante sur l’entre-soi des amitiés masculines qui tournent à l’aigre l’âge venant.
Critikat.com
Le cinéma de Baer, inégal mais non sans charme, cultive un goût conjoint pour le fantasme et le rocambolesque.
L'Obs
Le film, salut au crépuscule de l’esprit, aux derniers tours de piste, peut donner le sentiment d’appuyer sur le frein. Mais tube de Charlebois ou plan muet (Depardieu), il y a la « Baer touch ».
La Croix
Un des ressorts de ce film, gag à répétition, est le ronchonnement des convives de ne pas trouver dans leur assiette les plats qu’ils attendaient. On est tenté de leur emboîter le pas, sans avoir envie de quitter la salle. On les regarde partir avec regret. Nous les avons tant aimés.
La Voix du Nord
C’est souvent drôle, parfois agaçant, et résolument mélancolique.
Le Parisien
C’est souvent désopilant, grinçant, parfois agaçant. Mention spéciale à Bernard Le Coq en vieux chanteur dragueur, qui exprime le pathétique d’un homme qui vieillit à reculons. Et au mutique Jackie Berroyer. Quels soliloques attachants !
Les Fiches du Cinéma
Un huis clos où les discussions priment avec leur lot de cruauté et de tendresse.
Première
On sourit, tout en se disant que Baer n’a pas encore réalisé le grand œuvre cassavetien, à la Husbands (déchaîné, ivre mort, affranchi de toutes les conventions), qu’il a sans doute en lui.
Sud Ouest
Un huis clos mené tambour-battant par des hommes qui ont été les rois de la fête. On peut les trouver pathétiques, insupportables, ils le sont. Mais ils sont drôles, attachants...
Télé Loisirs
Édouard Baer observe avec tendresse et ironie ces hommes qui ne sont plus en phase avec leur époque. Dommage que les dialogues ne fassent pas mouche.
Cahiers du Cinéma
Le pot-au-feu commandé résume le salmigondis de rancœurs et de vacheries attendues, mais Baer décentre opportunément l’action (...) le potentiel de bons mots se voit ainsi désamorcé à la faveur d’une force centrifuge qui détourne l’attention de la conversation.
Le Journal du Dimanche
Le dispositif statique, bavard et vain, révèle ses limites et finit pour tourner à vide.
Les Inrockuptibles
L’approche pantouflarde a quelque chose de très libre et de charmant, comme son auteur, et quelques numéros font mouche (Baer et Poelvoorde), mais on se sent un peu le dindon de la farce : et si la prochaine fois, au lieu de faire semblant de faire un film, vous vous contentiez d’aller bouffer ?
Libération
Bref, du rien, beaucoup de rien, voulu et assumé comme tel, monté en une chantilly qui ambitionne d’élever cette assemblée au rang de beautiful losers sans y parvenir tout à fait.
Télérama
Rance, ennuyeux, mal joué (seul Jackie Berroyer survole le naufrage, en créant un personnage poétique qui se retire du monde), Adieu Paris ressemble à ces agapes tristes et interminables qui s’achèvent dans les miettes et l’amertume. Ce gueuleton-là vous reste sur l’estomac.