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    L'Homme de la cave
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    103 critiques spectateurs

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    ffred
    ffred

    1 720 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 octobre 2021
    Après quelques comédies populaires, douce-amères ou plus intellos, le réalisateur Philippe Le Guay s’essaie au thriller. Pas franchement avec réussite. Entre racisme, négationnisme et pouvoir des réseaux sociaux, il peine à nous intéresser au sujet, à nous faire attacher aux personnages et surtout à nous inquiéter. La mise en scène est mollassonne, le scénario pas assez mystérieux ni troublant donc. Le tout assez invraisemblable, de plus on ne comprend pas toujours la réaction des protagonistes et ça finit par tourner un peu en rond. Beau casting mais personne ne fait d’étincelles, Cluzet en faisant même parfois un peu trop. Cela se laisse cependant regarder mais on l’oublie très vite en sortant de la salle.
    Hi2816J.
    Hi2816J.

    8 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2021
    Ce film traitant du négationnisme est ridiculement raté, sans idée de mise en scène, un scénario dangereux (que j'espère pas fait exprès), des acteurs qui cabotinent, visuellement pas beau, beaucoup de moment très gênant, etc.... Bref j'ai pas assez de mots pour dire à quel point ce film est mauvais. Je préfère Venom 2, pour vous dire quoi.......
    selenie
    selenie

    6 314 abonnés 6 198 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Premier constat donc, effectivement, un vendeur ne s'intéresse jamais au caractère ou à l'intime de l'acheteur, on s'en moque puisqu'on veut surtout son chèque ! Cela a son importance... En effet, une fois vendu qu'il y mette des cartons ou qu'il y dorme qui cela gênerait-il vraiment si il n'y a pas de gênes et/ou de nuisances ?! Et donc par ricochet qui irait soudain faire des kilomètres pour enquêter sur un passé de l'acheteur ?! Ensuite il est question de croire au côté réellement vénéneux de ce négationniste. En effet, les plus influents sont aussi les plus médiatiques, dans le film au contraire. On a donc bien du mal à comprendre tout le pataquès pour finalement un marginal qui s'est trouvé une cave pour avoir un toit. On s'agace d'autant plus quand les membres de la famille propriétaire partent en vrille, pètent un câble ou deviennent hystérique dans un surjeu constant des acteurs par ailleurs. Tout sent l'esbroufe, tout semble forcé, tout semble trop artificiel, et finalement on n'y croit jamais. Dommage...
    Site : Selenie
    Philippe G.
    Philippe G.

    123 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Cluzet, acteur moyen, tente de ne pas surjouer, en vain. L'histoire (vraie) est mal traitée, notamment car elle tourne au vaudeville - problèmes de couple, etc. - alors que le sujet se situe ailleurs. Le côté téléfilm du samedi après midi est en outre gênant.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 302 abonnés 7 537 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Un couple de parisien décide de vendre leur cave dans l’immeuble où ils résident. L’acheteur donne confiance et le couple acte rapidement la vente, sans savoir qu’ils venaient de signer là le début d’un cauchemar qui va faire exploser leur vie de famille…

    Pour réaliser ce thriller, le réalisateur Philippe Le Guay s’est inspiré d’un fait réel survenu chez un couple d’amis proches. Après avoir remanié l’histoire d’origine pour en tirer ce film, on se retrouve en plein cœur d’une sordide histoire se jouant entre ce couple bien sous tous rapport et cet homme radié de l’Éducation nationale.

    Ce que l’on retiendra le plus ici, c’est le rôle à contre-emploi de François Cluzet, tout bonnement parfait en manipulateur pervers, qui, sous ses faux airs de voisins sympathique, cache en réalité, un antisémite doublé d’un négationniste. Le thriller prend alors une toute autre tournure, lorgnant vers le bras de fer juridique et psychologique lorsque le couple (juif) tente de tout faire pour se débarrasser de ce voisin encombrant.

    Pour le reste, hélas, le film s’avèrera assez mitigé par la suite. Entre une direction artistique qui fait défaut et une intrigue qui en fait des caisses (les infiltrations dans le plafond de la salle de bain ou encore les avocats successifs), le film avait le mérite de mettre en lumière les dérives du négationnisme et une jeunesse bien trop influençable.

    Au final, L'Homme de la cave (2021) s’avère bien trop scolaire (et aux effets trop appuyés) pour pleinement satisfaire, reste au final l’excellente interprétation de Cluzet qui à elle seule, mérite le détour.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    montecristo59
    montecristo59

    40 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2021
    Bon. Les ficelles sont un peu grosses mais il paraît que le scénar est tiré d'une histoire vécue. On va donc accepter cette histoire d'un négationniste qui achète à un juif parisien sa cave et s'y installe. Après tout, ce brave homme n'a pas l'air inquiétant. Marginal, un peu cabossé peut-être, mais Simon a bon coeur et pas de méfiance à-priori pour ses semblables. Et bien sûr, tout se délite pour Simon et sa famille, des juifs intégrés depuis plusieurs générations qui ont d'ailleurs perdu des leurs sous Pétain, famille sur laquelle le prédateur a jeté son dévolu. Les incidents se multiplient, l'araignée tisse sa toile et réussit même à engluer sa fille, la tension monte, l'impasse se profile et après l'affrontement final, on ne sait pas trop si pour pour le gogo Simon c'est la fin des ennuis...
    Bien servi par une bonne bande son de Bruno Coulais, le malaise monte gentiment jusqu'à une ambiance un peu oppressante. On apprécie au passage la prestation de Cluzet, dans un rôle à contre emploi de parfait vicelard bien glauque...
    J.Régnier tient bien sa place, B.Béjo, J.Zaccai et V.Eber sont de bons faire-valoirs, on ne s'ennuie pas, on accroche. Mais on n'en n'est pas non plus rendu à se ronger les ongles nerveusement, ou à s'accrocher au siège.... Et au total, on se demande si le révisionnisme était plus pour P. Le Guay que le prétexte à construire un petit suspense original, si son film était un acte militant, s'il a voulu nous réveiller en nous faisant vivre un peu la toxicité des négationnistes tapis dans l'ombre (auquel cas son film est un peu inabouti). Bref on ne sait pas trop sur quel pied danser.
    Allez, sans être le thriller de l'année, ma foi ça se laisse voir. Et par les temps qui courent, c'est un (trop?) petit coup de klaxon qui peut servir...
    RENEE D.
    RENEE D.

    18 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Je crois que j'aime tous les films de Philippe Le Guay. J'avais adoré 'Pas son genre'. Avec L'HOMME DE LA CAVE, j'ai passé un bon moment. Le scénario est original et tous les acteurs sont bons. Que demande le peuple ? c'est le meilleur film que j'ai vu depuis un certain temps. On reste accroché à son fauteuil en se demandant ce qui va se passer ensuite ..... Très bon signe ! Disons que j'ai 'marché' et peu de films en ce moment donnent cette impression.
    Annie Lucie L
    Annie Lucie L

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2021
    Sujet interessant
    mais passages "melo" désagréables et bien sûr donc une fin attendue:larmes et embrassades
    Kiberen
    Kiberen

    23 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Pile dans la moyenne, entre le pire et le meilleur, c'est le consensus sur lequel tout le monde s'accorde pour juger "L'homme de la Cave" de Phillipe le Guay, réalisateur dont je suis très sensible à son travail. "Les Femmes du 6e Étage", "Alceste à Bicyclette", "Normandie Nue", il y a toujours un bon fond dans chacun de ses films et une étude de l'image qui sans être révolutionnaire est toujours agréable à découvrir.

    Ici, c'est sur un terrain inhabituel que Le Guay s'aventure, celui de la peur et de l'angoisse. Et pourtant, avec cette lutte entre un homme d'origine juive et un négationniste insistant, difficile de ne pas retrouver le thème de l'opposition cher au réalisateur : l'opposition entre la bourgeoisie et les femmes du 6ème, entre la nudité et la ruralité, Le Guay prend un plaisir à faire cogner les éléments qui s'opposent jusqu'à tout faire exploser durant le final, pour le meilleur ou le pire.

    Ici, le genre se prête proprement à cet exercice, tant le personnage de François Cluzet cherche à faire imploser Jérémie Rénier tout du long, car c'est de la peur et de la colère dont il se nourrit. Le film fonctionne sur un slow burn qui prend bien son temps, installe doucement ses éléments, notamment concernant divers set-up pay-off pas tous satisfaisants et d'autres plus subtils. Ce slow burn sera aussi très travaillé avec le personnage de la fille de Jeremie Rénier, rappelant Juliette Lewis dans "Cape Fear" de Scorcese. 

    A noter également comme toujours chez le Guay un travail de la photographie très beau tout en étant très simple : beaucoup de scènes en caméra épaule avec une faible profondeur de champ, la lumière de la cave blanche / grisâtre qui marque nos esprits, un étalonnage jouant sur les noirs profonds pour mieux faire ressortir les couleurs, c'est sûrement un de ses films les plus propre visuellement.

    Le reste, ce qui ne va pas, c'est finalement son sujet et la façon dont il le traite. Le Guay fait des films avec cœur et parfois une candeur, mais jamais dans le mauvais sens du terme. Ici, son style pour faire avancer le récit et diriger les acteurs ne prend pas toujours, notamment concernant François Cluzet qui peut se révéler glaçant par instant, mais peut également nous faire apparaître un léger sourire voir un rire par moment. 

    Son thème n'est jamais inintéressant, mais le film semble pousser le curseur parfois un poil trop loin et manque alors beaucoup trop de subtilité. On valse ainsi tout le long du film, on est dedans puis on est dehors, mais jamais on se pose de manière fixe.

    La mise en pratique n'est pas toujours réussie, et certains personnages appuient le propos à coup de "on ne peut plus rien dire" avec la force d'une voiture bélier, mais difficile de ne pas voir ce que Le Guay a voulu nous raconter : comment le négationnisme divise même les gens les plus soudés, comment la haine peut nous consumer, comment jouer sur les mots peut nous faire poser les mauvaises questions, et comment se poser les mauvaises questions est le premier signe d'une carapace de vérité qui s'effrite. Ni bon ni mauvais, pile dans la moyenne.
    LE PASSIONNÉ
    LE PASSIONNÉ

    23 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    la première partie est jouissive mais la seconde est trop brouillonne. quand à la fin c'est comme la fin d'un épisode. on nous laisse avec trop de choses inexpliquées. cela m'a laissé dubitatif. il ya trop d'éléments qui n'aboutissent à rien finalement. en gros ce film nous font juste réfléchir sur le sujet. à voir pour se poser des questions...
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    135 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Film pas tout à fait abouti mais qui montre parfaitement comment on s'englue parfois dans des situations inextricables , qui nous amènent à nous mettre dans notre tort. François clusez excelle dans ce rôle d'homme ordinaire qui distille insidieusement ces idées immondes et se sert de la démocratie et de la liberté de paroles pour propager l'immonde. Il est parfait.
    Olivier Gallais
    Olivier Gallais

    44 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Rien à retenir de ce film, dommage car j'aime bien les films de ce réalisateur et les acteurs sont bons. Quel gâchis !!!
    lionelb30
    lionelb30

    445 abonnés 2 601 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Bon suspens , bien joué voir très bien pour certains acteurs. Sans être violent , a part une scène , le cote psychologique prend le dessus et le suspens tient jusqu'au bout. Bon film en général , petit bémol quand même sur la fin.
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    163 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2023
    François Cluzet est assez génial dans la fourberie ignoble et Jérémie Renier bon en victime. Dommage que L'Homme de la cave surprenne peu: l'ado manipulée par le négationniste, les tensions familiales ou l'explosion de violence mais sa noirceur dans ce combat sans fin contre la haine remue et émeut.
    Yves G.
    Yves G.

    1 488 abonnés 3 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Samuel Sandberg (Jérémie Rénier) vend la cave familiale de son appartement parisien. M. Fonzic (François Cluzet) s’en porte acquéreur : se présentant comme un ancien professeur d’histoire, il affirme vouloir y entreposer les affaires de sa mère récemment décédée alors qu’il y élit bientôt domicile. Alarmé par son comportement suspect, Samuel découvre vite la vérité : M. Fonzic a été renvoyé de l’Education nationale pour négationnisme et vit à la rue. Mais, il est trop tard pour annuler la vente.

    Après les riantes locataires des combles – "Les Femmes du sixième étage" – Philippe Le Guay plonge dans les souterrains d’un immeuble pour compléter son portrait microcosmique, façon Pérec, de la vie parisienne. Alors que l’action des "Femmes…" se déroulait dans les années soixante, "L’Homme de la cave" est contemporain et traite de front le négationnisme et son inévitable corollaire, le complotisme. Excellemment interprété par le toujours excellent François Cluzet, M. Fonzic, le cheveu gras, le pardessus fatigué, répète le mantra de tous les négationnistes et autres covido-sceptiques : « penser par soi-même », « interroger les vérités officielles » « se poser les bonnes questions »….

    M. Fonzic s’immisce dans la vie des époux Sandberg et rend leur vie impossible. Se sentant le seul responsable de cette présence encombrante, Samuel prend tout sur lui, contacte sans succès une succession d’avocats tandis que sa femme, Hélène (Bérénice Béjo), plonge dans le passé refoulé de sa belle-famille. David (Jonathan Zaccaï), le frère de Samuel, propose son aide sans succès. Les relations avec la copropriété se tendent. Le charme doucereux de M. Fonzic menace de contaminer Justine, la fille de Samuel et d’Hélène. On aura vite compris la métaphore, pas toujours légère : le négationnisme est un cancer qui sape nos fondations et met à mal le lien social.

    "L’Homme de la cave" est un "feel-bad movie". C’est un film qui rend mal à l’aise, qui distille tout du long des ondes négatives. C’est un film déplaisant qui n’a pas vocation de plaire. Pas évident d’attirer les spectateurs qui, à tort ou à raison, lui préfèreront des films plus souriants – et il n’en manque pas ces temps ci sur les écrans. D’autant que sa conclusion est bâclée et ratée : les trois co-scénaristes ne savaient manifestement pas comment le terminer et ont choisi l’option la plus paresseuse.
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