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    L'Homme de la cave
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    pietro bucca
    pietro bucca

    69 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2024
    Pourtant cela ne commençait assez bien, entre la très belle Berenice Bejo et une histoire sommes toutes, bien originale et attrayante. Malheureusement, on a très vite dévié dans le cliché, dans le tout pret, avec le sournois négationniste, le vilain pas beau, le fumier, ect...ect... Et ensuite ça n'a plus été question de voleur de cave parasite, mais du méchant nazi, ou on a plus eu le droit qu'a de la fausse morale, des dialogues ubuesques. Fort dommage.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    135 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 juillet 2024
    LE CAVE SE REBIFFE. Il est descendu à la cave sentir l'odeur du barbu. Comme un long trajet, son sang chargé d'anxiété compresse son sourire de dépressif. La porte entrouverte, les souvenirs remontent au sixième étage. Heureusement que le temps passe. Josef Fritzl a aimé.
    ADalton
    ADalton

    8 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juillet 2024
    Film lourd de sens sur l'histoire, la delation, la liberté de penser, et l'inversion victime bourreau. Formidablement joué et scenario sans faille. Jeremy Regnier genial et François Cluzet plus critique sur le discours officiel qu'avec la vaccination covid.
    dil mary
    dil mary

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    Très beau film pour toute la famille ... la.nature ,la vie, des acteurs vrais et sinceres .... bravo
    Jean-Marc Bégin
    Jean-Marc Bégin

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 septembre 2023
    J'aime bien François Cluzet mais là... Il a vieilli, a l'air d'un clochard...

    On s'attend à un film d'horreur genre Pacific Heights 1990 car eux aussi ont loués leur caves...

    Mais non. Et le personnage principal qui vend la cave alors qu'il est co-propriétaire de la maison avec son frère...

    Il ne lui en parle pas et ne lui verse pas la moitié des sous de la vente...
    DamienReloaded
    DamienReloaded

    30 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 septembre 2023
    Une histoire originale qui, sombre vite dans l'abracadabrant.
    En effet, progressivement, on peine à croire à cet "homme de la cave", terré et vivant comme un ermite.
    Plus inquiétant, la malveillance gagne les personnes principaux : le couple, le frère, les avocats, tous veulent faire payer le semi-clochard du sous sol : violence, coup-bas, stratagèmes douteux. Au final, le spectateur a presque plus d'empathie pour le personne qu'il devrait détester. Un comble !
    Pour ces raisons, le film est un "foirage" dont il ne reste qu'un début intéressant, et une photographie honnête.
    Joe Dredd
    Joe Dredd

    49 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 août 2023
    absolument ridicule et grotesque. tout est surjoué et repose sur un vrai n'importe quoi : un contrat de vente signé sur un bout de papier...
    Julie Sarah
    Julie Sarah

    1 abonné 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2023
    Film osé xD. Peut-être pour troller. Les parents m'ont laissée perplexe et ne sont pas des personnages appréciables. Je ne comprends pas non plus l'intention du film: quel personnages soutient-il, et quelle est la morale?
    Benjamin A
    Benjamin A

    39 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2023
    Dans les points positifs on notera un bon choix d'acteur (sauf peut-être pour la grand-mère et la fille) et les acteurs jouent bien. Peut-être également un thème peu souvent abordé.

    Pour les points négatifs, on assiste à une famille qui harcèle un nécessiteux sous prétexte qu'il soit totalement stupide.
    spoiler: Ca y va de se moquer de lui, de lui priver l'accès aux sanitaires, faire tomber un plateau de bouffe sur lui alors qu'il ne peut même pas se laver, le battre et l'enfumer.


    Les personnages sont hystériques et cruels. spoiler: Je ne sais pas si c'est voulu mais le méchant de l'histoire devient la victime du début à la fin :-/
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    207 abonnés 1 915 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2023
    Le seul rescapé de cette fable maladroite sur l'antisémitisme est François Cluzet. Son personnage de vieux négationniste pervers, interprété avec brio, aurait pu donner naissance à un film mystérieux et inquiétant. Mais l'accumulation d'invraisemblances grossières, des scènes familiales du niveau de téléfilms, voire de sitcom, et surtout un discours si appuyé qu'il en devient contre-productif aboutissent à un triste navet. Comment traiter la question de l'antisémitisme et des camps de la mort sans jamais aborder celle du fascisme et du contexte social, économique et politique qui a conduit les psychopathes nazis au pouvoir et qui pourrait demain aboutir à des régimes du même ordre dans divers pays, en utilisant probablement d'autres catégories de la population comme boucs émissaires ?
    Flokossama
    Flokossama

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2022
    J'ai trouvé cette comédie vraiment intéressante car si on s'attache aux détails, il y a beaucoup de subtilités.
    Le jeu des acteurs est bon sans être génial, certes mais ... c'est bien réalisé 👏
    Je recommande comme l'autre Dinde(présentatrice de C à vous) que ce film soit montré à nos chères têtes blondes ou crépus,le plus rapidement possible 😌
    Car à ce moment là, si ils ne sont pas encore complètement lobotomisés par la doxa dominante, ils comprendront très vite ce qu'on veut leur fourrer dans le crâne. Je n'en dirai pas plus pour que mon commentaire ne soit pas cencuré mais je me demande jusqu'à quel point le Goyim peut être con. 🤣
    PS/ La "pourriture" interprêté par François Cluzet est inspiré du révisionniste et non du négationniste( mais ceci n'est qu'un détail de l'histoire) Vincent Reynouard et aussi des frères Verbeke.
    Bon visionnage
    Ti Nou
    Ti Nou

    506 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2022
    "L’homme de la cave" est tellement maladroit dans sa façon d’aborder son sujet qu’il en vient presque à atteindre la morale inverse de celle qu’il veut faire passer. L’odieux négationniste, dont la situation précaire ne semble poser de problème à personne, en deviendrait presque sympathique face à un couple bourgeois horripilant.
    Noémi Ferauge
    Noémi Ferauge

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2022
    Dommage.Le synopsis de départ était pourtant prometteur! Des acteurs bons, certains plans aussi. Mais l'escalade de l'angoisse est très mal amenée. On assiste à de trop nombreux excès d'énervements injustifiés ou impromptus qui nous sortent de l'histoire.
    Celine L.
    Celine L.

    6 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Un très beau film sur un sujet sensible. Des acteurs fabuleux, j aurais mis 5 etoiles si la fin n avait pas été si brusque... on attend mieux pour la fin !
    JB46.
    JB46.

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2022
    Une idée très peu crédible (un nazi à la cave) traitée de façon encore moins crédible.

    Synopsis détaillé : une famille (très) aisée vit dans un magnifique appart d’au moins 200m2 en plein cœur de Paris. Assez grand pour avoir un piano à queue en plein salon, et malgré tout, encore plein de place. Il est architecte et ça marche bien pour lui. Tant mieux (pour une fois ce n’est pas un prof-écrivain en mal d’inspiration…). Mais on apprendra que ce n’est pas cela qui a payé l’appartement : la "garçonnière" appartenait à ses grands-parents juifs, avait été pris par l’Etat français pendant la guerre dans le cadre de l’aryanisation, mais récupéré par la famille en 1945. Personne ne contestera que ce soit un épisode sinistre de notre histoire. Mais c’est un traumatisme en soit pour l’architecte occupant et héritier de l’appartement, né visiblement dans les années 80 - admettons.

    Le frère de l’architecte étant moins talentueux, il manque de liquidités (d’argent quoi). L’archi, pour se fournir en dites liquidités et aider le frangin, décide de vendre la cave, à 10.000 euros (une affaire). Un homme élégant (Francois Cluzet) achète, et paye en signant l’acte de vente dans un café, avant même de passer chez le notaire.

    Un peu pressé, l’acheteur va rapidement s’installer dans la cave, avant même d’officialiser le tout chez le notaire. C’est très ennuyeux : il avait acheté la cave pour y mettre des affaires, et non pour y loger comme un rat. On lui demande de sortir mais rien n’y fait, c’est « sa » cave et c’est tout. Na !

    La faiblesse majeure du film tient au fait qu’être un descendant d’un descendant de victime des nazis est ici présenté comme l’équivalent d’un stress post traumatique extraordinairement frais. Je ne discute pas de la souffrance des individus et encore moins de la sincérité de cette souffrance, je dis simplement que cette question est en soit importante et devrait faire l’objet d’une réflexion, alors que le film la présente comme une réalité indiscutable. spoiler: En effet, suspicieux, l’archi (vendeur de la cave) mène sa petite enquête sur cet encombrant acheteur et découvre que c’est un prof qui s’est fait virer de je ne sais quel lycée pour… propos révisionnistes. Horreur ! Comme un coup de tonnerre dans le ciel de Pologne! Notre valeureux architecte fonce chez le notaire (il devait enfin y finaliser les papiers, mais il est à la bourre car il enquêtait justement sur l’homme de la cave, vous suivez ?), en sueur, le souffle court, la lippe supérieure prise de mouvements nerveux, la voix grave. Hors de question de vendre à cette raclure (là, les insultes fusent, c’est open bar). Ensuite, je vous la fais courte : le prof révisionniste (Cluzet) ne veut pas rendre l’argent et veut garder la cave pour y vivre car il est rejeté de partout (ce qui est normal, me direz-vous, il l’a un peu cherché quand même, on ne va pas le plaindre), ce qu’il peut faire puisque même si notre notaire n’a pas finalisé les papiers de la vente immobilière, il a tout de même un contrat de vente signé. Re -Na !


    Le reste du film est peu crédible : on a beaucoup de mal à s’apitoyer devant une famille vivant dans un appartement qui vaut visiblement plusieurs millions d’euros, parce qu’un demi-SDF (même s’il est néo-nazi) vit comme un rat dans la cave de l’immeuble. En effet, le film décrit alors spoiler: la lutte de cette courageuse famille depuis son appartement de 200m2 devenu un ghetto de Varsovie symbolique, contre le mal nazi tapi dans la cave (devenue symbole du nid d’aigle, logiquement, enfin je crois). La pression est énorme, notre archi perd ses nerfs. Sa femme, dans un tel moment d’insupportable effroi, décide de partir, la famille explose. Elle exploserait à moins : comment ne pas penser, dans le salon, la salle à manger, le bureau, la bibliothèque, la cuisine, ou l’une des 4 chambres, à l’horreur des camps, à la guerre, à la promiscuité, aux privations, quand un prof d’histoire SDF et révisionniste vit à la cave 5 étages plus bas ?


    L’auteur doit s’imaginer courageux, presque lanceur d’alerte. Il ose en effet dévoiler les arguments des révisionnistes, même si les esprits faibles peuvent s’y embourber (merci de nous éclairer ainsi, on est un peu bête et on aurait pu tomber dans le piège). En effet, spoiler: Cluzet parle à la fille de l’architecte (une crétine de millénial passant son temps à râler et à croire qu’elle a tout compris à la vie et que tout lui est dû) en rappelant simplement qu’on « a le droit de se poser des questions », et qu’on ne devrait pas être discriminé pour « se poser simplement des questions ». La jeune crétine tombe dans le panneau, et en effet, va exprimer une fois devant son père l’idée que l’on ne devrait pas « être puni pour simplement s’être posé des questions ». Là, paroxysme du drame familial, litres de pleurs, hurlements de désespoirs comme le cinéma Français sait si bien faire. Le drame total, absolu, c’est trop. Heureusement, devant la douleur de son père (né vraisemblablement dans les années Mitterrand, mais ne cherchez pas), la jeune nigaude va comprendre toute l’horreur des raisonnements révisionnistes, et le père, fou de rage (juste et saine colère) que le nazi ait pu adresser la parole à sa fille, part à la cave lui péter la gueule (ce qui est le symbole de la libération d’Auschwitz, les critiques les plus fines l’auront compris).
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