Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Positif
par Jean-Philippe Domecq
D’une maîtrise absolue, L’Homme de la cave flirte par moments avec un fantastique polanskien et propose une réflexion troublante sur le négationnisme, très rarement mis en scène au cinéma.
20 Minutes
par Caroline Vié
Servi par une distribution impeccable, L’Homme de la cave a l’intelligence de ne jamais être caricatural.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Jérôme Garcin
POUR : La manière dont, dans ce film malsain tiré d’une histoire vraie, François Cluzet endosse le manteau douteux de ce personnage détestable est à la fois saisissante et déconcertante. Avec lui, l’abjection a une voix onctueuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film important sur notre époque et ses déraisons.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film d'intérêt public sur le négationnisme.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Si le scénario avance en professant un didactisme un peu scolaire, ménageant un final explosif trop démonstratif (mais sacrément libérateur), L’Homme de la cave démonte avec une acuité mordante les mécanismes nauséabonds du révisionnisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Assez scolaire dans sa narration comme dans ses objectifs, le film vaut pour ce qu'il charrie de l'air du temps : négationnisme et complotisme décomplexés, conséquences sur une jeunesse influençable et un entourage friable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Derrière le drame, une variation vénéneuse sur le mal.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’intention de rappeler qu’il ne faut jamais oublier l’Histoire est louable et le suspense bien mené. Dommage que le film force le trait.
Télérama
par Guillemette Odicino
Et François Cluzet, lui-même, en rajoute dans l’ignominie mielleuse, tête baissée et rage rentrée jusqu’à l’explosion finale — un révisionniste, hélas, n’a pas forcément l’allure d’un taré pitoyable. Il n’empêche : Philippe Le Guay signe, ici, un film utile, miroir inversé et noir du merveilleux roman d’Émile Ajar-Romain Gary La Vie devant soi (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un point de départ intéressant, mais qui dérape un peu ridiculement à la fin, et qui souligne trop scolairement son passionnant propos.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
L'Homme de la cave aurait pu se muer en traversée symboliste d'un champ de forces politico-pulsionnel; il opte pour une issue plus consensuelle, ne sachant se résoudre à quitter le territoire du discours.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le réalisateur s’est appuyé sur l’expérience d’amis pour réaliser un thriller au propos et aux effets trop appuyés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Plus encore, un problème de timing tenaille le film. (...) On a le sentiment que le cinéaste a trop tardé pour réaliser son allégorie.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un thriller poussif et forcé, dont le résultat n’est pas à la hauteur des ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Malheureusement, le film ne sait pas trop sur quel pied danser, hésite entre les genres et tombe parfois dans la caricature. Forcément intéressant mais inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
par Nicolas Schaller
CONTRE : L'Homme de la cave manque d’esprit et de méchanceté, confit dans sa médiocrité de thriller téléfilmé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Les ficelles employées, épaisses comme des câbles, rendent l’ensemble absolument irréaliste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le scénario déraille très vite, enchaînant les invraisemblances et jouant sur la bêtise soudaine de ses personnages pour développer des péripéties idiotes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Le film se fracasse sur sa propension à surligner tout et à ne jamais transcender un sujet par-delà ses louables intentions.
Première
par Thierry Chèze
Mais l’aspect monocolore de ses personnages, l’absence de toute ambiguïté ne permettent jamais au film de décoller. Le premier degré scolaire ne sied pas à de tels sujets.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
D’une maîtrise absolue, L’Homme de la cave flirte par moments avec un fantastique polanskien et propose une réflexion troublante sur le négationnisme, très rarement mis en scène au cinéma.
20 Minutes
Servi par une distribution impeccable, L’Homme de la cave a l’intelligence de ne jamais être caricatural.
L'Obs
POUR : La manière dont, dans ce film malsain tiré d’une histoire vraie, François Cluzet endosse le manteau douteux de ce personnage détestable est à la fois saisissante et déconcertante. Avec lui, l’abjection a une voix onctueuse.
Les Echos
Un film important sur notre époque et ses déraisons.
Marianne
Un film d'intérêt public sur le négationnisme.
Le Figaro
Si le scénario avance en professant un didactisme un peu scolaire, ménageant un final explosif trop démonstratif (mais sacrément libérateur), L’Homme de la cave démonte avec une acuité mordante les mécanismes nauséabonds du révisionnisme.
Le Journal du Dimanche
Assez scolaire dans sa narration comme dans ses objectifs, le film vaut pour ce qu'il charrie de l'air du temps : négationnisme et complotisme décomplexés, conséquences sur une jeunesse influençable et un entourage friable.
Marie Claire
Derrière le drame, une variation vénéneuse sur le mal.
Télé 7 Jours
L’intention de rappeler qu’il ne faut jamais oublier l’Histoire est louable et le suspense bien mené. Dommage que le film force le trait.
Télérama
Et François Cluzet, lui-même, en rajoute dans l’ignominie mielleuse, tête baissée et rage rentrée jusqu’à l’explosion finale — un révisionniste, hélas, n’a pas forcément l’allure d’un taré pitoyable. Il n’empêche : Philippe Le Guay signe, ici, un film utile, miroir inversé et noir du merveilleux roman d’Émile Ajar-Romain Gary La Vie devant soi (...).
Voici
Un point de départ intéressant, mais qui dérape un peu ridiculement à la fin, et qui souligne trop scolairement son passionnant propos.
Cahiers du Cinéma
L'Homme de la cave aurait pu se muer en traversée symboliste d'un champ de forces politico-pulsionnel; il opte pour une issue plus consensuelle, ne sachant se résoudre à quitter le territoire du discours.
La Croix
Le réalisateur s’est appuyé sur l’expérience d’amis pour réaliser un thriller au propos et aux effets trop appuyés.
Le Monde
Plus encore, un problème de timing tenaille le film. (...) On a le sentiment que le cinéaste a trop tardé pour réaliser son allégorie.
Les Fiches du Cinéma
Un thriller poussif et forcé, dont le résultat n’est pas à la hauteur des ambitions.
Paris Match
Malheureusement, le film ne sait pas trop sur quel pied danser, hésite entre les genres et tombe parfois dans la caricature. Forcément intéressant mais inabouti.
L'Obs
CONTRE : L'Homme de la cave manque d’esprit et de méchanceté, confit dans sa médiocrité de thriller téléfilmé.
Le Parisien
Les ficelles employées, épaisses comme des câbles, rendent l’ensemble absolument irréaliste.
Les Inrockuptibles
Le scénario déraille très vite, enchaînant les invraisemblances et jouant sur la bêtise soudaine de ses personnages pour développer des péripéties idiotes.
Ouest France
Le film se fracasse sur sa propension à surligner tout et à ne jamais transcender un sujet par-delà ses louables intentions.
Première
Mais l’aspect monocolore de ses personnages, l’absence de toute ambiguïté ne permettent jamais au film de décoller. Le premier degré scolaire ne sied pas à de tels sujets.