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Votre avis sur Les Femmes du square ?
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À voir et revoir. Très touchant film avec une pointe d humour bien illustrée.
Bravo à toute l'équipe et au talent de Eye Haïdara , Ahmed Sylla, Léa Drucker, Vidal Arzoni, Élodie Navarre , Bwanga Pilipili , Jisca Kalvanda( Fan PSG) et tout le reste....
Bravo au réalisateur et son équipe.
Bravo à toute l'équipe et au talent de Eye Haïdara , Ahmed Sylla, Léa Drucker, Vidal Arzoni, Élodie Navarre , Bwanga Pilipili , Jisca Kalvanda( Fan PSG) et tout le reste....
Bravo au réalisateur et son équipe.
Un petit film qui fait bien passer le temps, sans être marquant on passe un plutôt bon moment. Eye Haïdara joue assez bien, elle apporte beaucoup de fraîcheur dans cette petite comédie sans prétention. Un peu trop attendu et manquant de piquant toutefois.
Une comédie sympathique dont Eye Haïdara est le véritable moteur, la comédienne faisant preuve d'un abattage réjouissant. Le petit Vidal Arzoni tient également parfaitement son rôle et la musique, très juste, illustre bien les scènes les plus décisives. En revanche, malgré le tempérament de son héroïne, le film manque de force dans ses enjeux plus dramatiques, la faute à une écriture un peu paresseuse lorsqu'il s'agit de se faire l'écho de certaines revendications. Au final, on passe un bon moment mais pas inoubliable. Reste en tout cas à suivre Eye Haïdara qui crève décidément l'écran à chaque scène.
Alain D.
Coécrite et parfaitement mise en scène par Julien Rambaldi, cette Comédie sociale nous propose un joli scénario, une histoire émouvante au ton grave, dénonçant l'injustice envers des sans papiers Ivoiriennes défendues par Angèle.
Angèle : jeune femme féministe un peu "Border Line", devient une nounou d'enfer chez une bobo à Paris. Un joli rôle, parfaitement assuré par Eye Haïdara.
Le film nous offre des scènes truculentes et de bons moments d'émotion ; la connivence entre sa nounou et le jeune Arthur véritablement craquant, nous procure des scènes fortes.
Angèle : jeune femme féministe un peu "Border Line", devient une nounou d'enfer chez une bobo à Paris. Un joli rôle, parfaitement assuré par Eye Haïdara.
Le film nous offre des scènes truculentes et de bons moments d'émotion ; la connivence entre sa nounou et le jeune Arthur véritablement craquant, nous procure des scènes fortes.
Film bon enfant qui rend à dénoncer les conditions des auxiliaires d'enfants. Prévisible et peu crédible, il a l'avantage de se regarder facilement. L'actrice principale est la seule vraie bonne surprise
Très bon film, a voir, plein de caractère, simple, intéressant , drôle sans exagérer. Touchant , Bon acteurs,
Une vraie pastille de fraîcheur ce film ! C'est bien construit, très bien joué, bien cadré bien monté. Que demander de plus ? Bref, un feel good movie sans chichi durant lequel on passe un bon moment.
Un film vraiment charmant qui tient beaucoup à l’abattage d’Eye Aidara irrésistible en Erin Brockovich du square d’Anvers. Ahmed Sylla dans un emploi qu’on en lui connaissait pas est formidable.
"Les Femmes du square", comédie sociale française écrite et réalisée par Julien Rambaldi, sorti en 2022.
Julien Rambaldi est aussi le réalisateur de 'Bienvenue à Marly-Gomont' en 2016. C'est aussi le compagnon de l'actrice Léa Drucker. Un très bon film avec la talentueuse Eye Haïdara découverte du grand public dans " Le sens de la fête" en 2017. Avec aussi Ahmed Sylla, le jeune acteur Vidal Arzoni que, j'espère, nous reverrons, Bwanga Pilipili, Jisca Kalvanda et Marc Zinga.Un film bien réalisé. Une très belle comédie sociale, drôle et touchante, qui met en lumière le travail des l'auxiliaires parentales, qui sont aussi femmes de ménages, cuisinières à domicile et bonnes à tout faire au sein des foyers de CSP+ parisiens. Souvent précaires, exploitées, étrangères sans papiers ce film aura le mérite de rendre visibles ces invisibles.
Un film porté par l'énergique Eye Haïdara. Des personnages attachants pour cette comédie sociale, romantique et aussi dramatique. Avec aussi un très beau générique de fin.
Julien Rambaldi est aussi le réalisateur de 'Bienvenue à Marly-Gomont' en 2016. C'est aussi le compagnon de l'actrice Léa Drucker. Un très bon film avec la talentueuse Eye Haïdara découverte du grand public dans " Le sens de la fête" en 2017. Avec aussi Ahmed Sylla, le jeune acteur Vidal Arzoni que, j'espère, nous reverrons, Bwanga Pilipili, Jisca Kalvanda et Marc Zinga.Un film bien réalisé. Une très belle comédie sociale, drôle et touchante, qui met en lumière le travail des l'auxiliaires parentales, qui sont aussi femmes de ménages, cuisinières à domicile et bonnes à tout faire au sein des foyers de CSP+ parisiens. Souvent précaires, exploitées, étrangères sans papiers ce film aura le mérite de rendre visibles ces invisibles.
Un film porté par l'énergique Eye Haïdara. Des personnages attachants pour cette comédie sociale, romantique et aussi dramatique. Avec aussi un très beau générique de fin.
J'ai adoré !! Il y a des scènes vraiment très drôles !! Très bien joué et le garçon (je croyais que c'était une fille à cause de ses cheveux un peu long pour un garçon) joue très bien. Une comédie française agréable à regarder !!
Jorik V
Une preuve qui rassure avec ce charmant film en tous points : la comédie française n’est pas totalement morte et plusieurs films à l’humour varié nous le prouvent (« Un homme heureux » pour le plus franchouillard et « Alibi.com 2 », pour les adeptes de ce type d’humour, sont de bons exemples). Tout n’est donc pas complètement formaté pour un prime-time sur une grande chaîne, ni rempli d’un humour générique ou alors déjà-vu, lourd et prévisible. Bien sûr, « Les femmes du square » coche certaines cases du cahier des charges de toute comédie populaire mais dans le bon sens du terme, comme l’inévitable moment de trahison puis réconciliation ou celui DU moment comique du film que l’on verra forcément toujours en extrait ou dans la bande-annonce. Ici c’est quand le personnage principal se fait passer pour une avocate la première fois par exemple. Des passages obligés acceptables et même très réussies pour ce qui est du second et qui n’entravent aucunement la réussite de l’ensemble.
L’atout maître de ce quatrième long-métrage de Julien Rambaldi (le sympathique « Bienvenue à Marly-Gomont) est sans conteste son casting principal. Révélée dans « Le Sens de la fête » du duo Toledano-Nakache, Eye Haïdara est un tourbillon de charisme et d’énergie qui déborde de l’écran et distille sa force au sein de tout le long-métrage. Elle possède un abattage comique certain, tout comme un mélange de séduction et de malice qui correspond aussi à la partie romantique du film mais également un côté combatif indéniable et inné qui colle parfaitement à son aspect social. Car, en effet, « Les femmes du square » est aussi une œuvre sociale qui contient donc un fond engagé. Ici il est question de toutes ces nounous invisibles, souvent issues de l’immigration, qui s’occupent des enfants de la bourgeoisie (aussi invisibles que les héroïnes du maître-étalon français de ce type de long-métrages, « Les Invisibles »). Et ce sous-texte social n’est pas un prétexte, il est admirablement traité entre tendresse et bons sentiments (peut-être un chouia trop certes) mais surtout une bonne dose d’humour.
On apprécie justement que cet humour soit crédible et fin, loin des gags forcés propres à de nombreuses comédies à la mode. Il provient davantage des dialogues bien écrits et de situations réalistes que de moments lourds et presque exagérés où le rire est presque commandé. On sourit plus qu’on ne rit, peut-être, mais on sourit de bon cœur et souvent. L’absence de manichéisme est également louable puisque tous les bourgeois ne sont pas des profiteurs (le personnage de la toujours très juste Léa Drucker le prouve). Quant au jeune Vidal Arzoni il impressionne dans la peau du gamin à garder, fûté et mature, qui permet de relancer « Les femmes du square » vers la fin après un petit ventre mou. C’est la scène de l’anniversaire qui est un régal de comédie et de malice et fait bien se terminer un film qui commençait un peu à patiner niveau rythme et le fait ainsi se terminer de la plus belle des manières. Un feel-good movie drôle, juste, fin et qui fait du bien.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
L’atout maître de ce quatrième long-métrage de Julien Rambaldi (le sympathique « Bienvenue à Marly-Gomont) est sans conteste son casting principal. Révélée dans « Le Sens de la fête » du duo Toledano-Nakache, Eye Haïdara est un tourbillon de charisme et d’énergie qui déborde de l’écran et distille sa force au sein de tout le long-métrage. Elle possède un abattage comique certain, tout comme un mélange de séduction et de malice qui correspond aussi à la partie romantique du film mais également un côté combatif indéniable et inné qui colle parfaitement à son aspect social. Car, en effet, « Les femmes du square » est aussi une œuvre sociale qui contient donc un fond engagé. Ici il est question de toutes ces nounous invisibles, souvent issues de l’immigration, qui s’occupent des enfants de la bourgeoisie (aussi invisibles que les héroïnes du maître-étalon français de ce type de long-métrages, « Les Invisibles »). Et ce sous-texte social n’est pas un prétexte, il est admirablement traité entre tendresse et bons sentiments (peut-être un chouia trop certes) mais surtout une bonne dose d’humour.
On apprécie justement que cet humour soit crédible et fin, loin des gags forcés propres à de nombreuses comédies à la mode. Il provient davantage des dialogues bien écrits et de situations réalistes que de moments lourds et presque exagérés où le rire est presque commandé. On sourit plus qu’on ne rit, peut-être, mais on sourit de bon cœur et souvent. L’absence de manichéisme est également louable puisque tous les bourgeois ne sont pas des profiteurs (le personnage de la toujours très juste Léa Drucker le prouve). Quant au jeune Vidal Arzoni il impressionne dans la peau du gamin à garder, fûté et mature, qui permet de relancer « Les femmes du square » vers la fin après un petit ventre mou. C’est la scène de l’anniversaire qui est un régal de comédie et de malice et fait bien se terminer un film qui commençait un peu à patiner niveau rythme et le fait ainsi se terminer de la plus belle des manières. Un feel-good movie drôle, juste, fin et qui fait du bien.
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Un beau film tendre et drôle à la fois sur un sujet dont on devrait parler plus: l'exploitation des nounous étrangères par une frange aisée de la population française. Belle énergie et justesse de tous les comédiens.
Difficile d’adhérer à cette comédie légère qui fait l’éloge des nounous sans papiers exploitées. L'histoire est franchement tirée par les cheveux et semble improbable, les héros modernes (avocats qui retourne sa veste pour défendre les sans papiers, une nourrice astucieuse et aimée malgré son attitude de racaille des cités) ne sont pas crédible à l’écran, la bonne cause n'excuse pas tout. Le personnage principale, la grande gueule plutôt vilaine, agace, irrite et devient une tête à claque à force de n'entendre qu'elle, pourquoi avoir choisi cette actrice (qui joue assez bien il faut le dire) ? Seuls la maman et le petit garçon de cette histoire arrivent à diffuser des émotions et élèvent un peu le film. Une petite comédie pas drôle sur fond de misère sociale qui n'arrive pas à décoller à cause d'actions manquants de finesse.
Frédéric M.
Film moyen qui repose sur l'actrice principale. L'intrigue est cousue de fils blancs, tout se devine à l'avance car beaucoup de clichés et tout se voit dans l 'essentiel dans la bande annonce. On sourie plus qu'on rie. Cela reste malgré tout un bon moment. Peut etre une suite pour faire évoluer certains personnages serait pertinent ..
Cette comédie sociale met en lumière les nounous des beaux quartiers, souvent invisibilisées. Heureusement, la grandiose Eye Haïdara est là pour les défendre, aidée par Ahmed Sylla. Un film tendre et utile.
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