Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Ecran Large
par La rédaction
Le film est une des très rares opportunités de voir un exercice d'improvisation furibard prendre le contrôle du découpage, jusqu'à renouveler le programme habituel de la comédie française
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Emilio Meslet
Dans Oranges sanguines, le metteur en scène met directement le doigt, et le bras avec, dans les plaies d’une société malade. En résulte l’une des meilleures comédies françaises de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Un formidable jeu de massacre, aussi virtuose dans la forme que redoutable sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site LCI
20 Minutes
par Caroline Vié
Quel drôle film culotté qui mêle des personnages aussi divers qu’un politicien, un couple de danseurs de rock et une jeune fille innocente. A la fois comédie potache et sociale, film d’horreur, tragédie romantique et thriller politique, Oranges sanguines malmène joyeusement le public.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Chloé Ronchin
La première partie du film est une comédie, rythmée par des répliques jubilatoires, savoureuses, et crues. La seconde se révèle beaucoup plus inquiétante et trash. Politiquement incorrect, «Oranges sanguines» n’épargne rien ni personne.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Il fallait oser ce grand débordement, qui embarque des acteurs formidables qui n’ont pas peur d’être fous (Denis Podalydès, Blanche Gardin, Olivier Saladin, Fred Blin…) dans des situations absurdes, kafkaïennes, surréalistes.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Même si cela ne se voit pas de prime abord, ces personnages ont tous une part de folie, souvent douce et drôle, parfois dure et trash.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un brûlot comique, social et sociétal avec un régal en guest stars.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
C’est grinçant, râpeux, réjouissant, et ça ne ressemble à rien ni à personne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Le choix de cette structure éclatée et chorale constitue la plus belle réussite du film. Car plutôt que de varier paresseusement autour d'un thème, cet agencement permet au film de déployer toute sa force politique.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Il fallait oser, ces nouveaux monstres, cette satire féroce et terrifiante de la société. On est mal, mais les Français affreux, sales et méchants de cette folle histoire nous font rire (noir) autant que sacrément réfléchir.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Après Barbaque, la comédie saignante de Fabrice Eboué, l’humour noir français bouge encore. Viande ou fruit, peu importe le régime alimentaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une comédie sociale trash qui dégomme tout sur son passage, délicieusement irrévérencieuse et impitoyable pour régler ses comptes avec une époque qui broie les plus faibles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Gâché par un derniers tiers versant dans l’épate-bourgeois et la surenchère contre-productive, Oranges sanguines finit mal. Mais avant cela, on se sera régalé du tableau agressif, lucide et extrêmement drôle qu’il dresse de notre société en perdition.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film punk, un vrai.
Télérama
par La Rédaction
En grande partie inspirées par d’authentiques faits divers, ces tranches de vie déglinguées brossent un portrait au noir de la société française et des monstres qu’elle engendre. Des monstres qui doivent autant à Dino Risi qu’aux psychopathes du cinéma américain des années 1970 (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Renan Cros
Jean-Christophe Meurisse lâche les chiens avec une satire acide sur l’époque qui vire au film d’horreur tétanisant. Attention, ça secoue.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un portrait de la France saignant à souhait, souvent outrancier.
Le Parisien
par La Rédaction
« Oranges sanguines » déroute, dérange… Parfois drôle et toujours bien écrit, il nous fait rire avant de se teinter d’un goût particulièrement acide.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Christophe Lemaire
Un projet culotté, certes, et très éloigné d'une quelconque "chtituche touch" (contraction des Ch'tis et des Tuche) et qui, malgré ses nombreux défauts de rythme et de ton, laisse quand même un espoir : qu'on fasse plus de films autres... mais avec de vraies réussites dans le tas.
Première
par François Léger
Le risque, c’est évidemment de noyer le spectateur sous un déluge de malaise et de chaos, ce que Meurisse n’évite pas tout à fait, le miroir déformant flirtant parfois dangereusement avec le grotesque. Mais une fois toutes ses grenades soigneusement dégoupillées, il émeut quand on s’y attend le moins avec un plan final qui semblerait presque sorti d’un autre film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Intense. Clivant. Saisissant.
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
Le film veut encore faire partie du grand-art ou de la Culture, édulcore ses supposées transgressions en donnant aussi dans la pause mélancolique (en plaquant du Barbara), le message (embarrassante conclusion pseudo-féministe) ou la distanciation (effarant clin d’œil final à la caméra). Il ménage la chèvre du trash et le chou de ses prétentions, à l’image de son titre, chic et jusqu’au bout mystérieux.
Critikat.com
par Bastien Gens
Ne ressort de ce spectacle vaguement arty de trublions qu’une idée un peu rance de ce qu’est l’humour contestataire français : forcément potache, vulgaire et fier de l’être.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les références revendiquées (le pamphlet, le western, l’horreur) sont audacieuses mais l’esthétique du film le rapproche davantage d’une pochade outrancière et fielleuse pour public averti. D’autant plus dommage que le cinéaste a manifestement des choses à nous dire.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Les comédien·nes sont impeccables, frappant·es de précision dans leur manière de faire monter la moutarde, comme toujours chez Les Chiens de Navarre – mais quelque chose d’un peu artificiel, attendu et systémique commence pour la première fois à se faire sentir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Entre scènes prodigieuses (les délibérations d’un jury rock) et provoc fastoche (Blanche Gardin en énième caricature de son personnage), le film se perd parfois dans son propre postulat transgressif. Les limites d’un cinéma punk pourtant salvateur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ecran Large
Le film est une des très rares opportunités de voir un exercice d'improvisation furibard prendre le contrôle du découpage, jusqu'à renouveler le programme habituel de la comédie française
L'Humanité
Dans Oranges sanguines, le metteur en scène met directement le doigt, et le bras avec, dans les plaies d’une société malade. En résulte l’une des meilleures comédies françaises de ces dernières années.
LCI
Un formidable jeu de massacre, aussi virtuose dans la forme que redoutable sur le fond.
20 Minutes
Quel drôle film culotté qui mêle des personnages aussi divers qu’un politicien, un couple de danseurs de rock et une jeune fille innocente. A la fois comédie potache et sociale, film d’horreur, tragédie romantique et thriller politique, Oranges sanguines malmène joyeusement le public.
CNews
La première partie du film est une comédie, rythmée par des répliques jubilatoires, savoureuses, et crues. La seconde se révèle beaucoup plus inquiétante et trash. Politiquement incorrect, «Oranges sanguines» n’épargne rien ni personne.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Il fallait oser ce grand débordement, qui embarque des acteurs formidables qui n’ont pas peur d’être fous (Denis Podalydès, Blanche Gardin, Olivier Saladin, Fred Blin…) dans des situations absurdes, kafkaïennes, surréalistes.
Femme Actuelle
Même si cela ne se voit pas de prime abord, ces personnages ont tous une part de folie, souvent douce et drôle, parfois dure et trash.
Franceinfo Culture
Un brûlot comique, social et sociétal avec un régal en guest stars.
L'Obs
C’est grinçant, râpeux, réjouissant, et ça ne ressemble à rien ni à personne.
La Septième Obsession
Le choix de cette structure éclatée et chorale constitue la plus belle réussite du film. Car plutôt que de varier paresseusement autour d'un thème, cet agencement permet au film de déployer toute sa force politique.
Le Dauphiné Libéré
Il fallait oser, ces nouveaux monstres, cette satire féroce et terrifiante de la société. On est mal, mais les Français affreux, sales et méchants de cette folle histoire nous font rire (noir) autant que sacrément réfléchir.
Le Figaro
Après Barbaque, la comédie saignante de Fabrice Eboué, l’humour noir français bouge encore. Viande ou fruit, peu importe le régime alimentaire.
Le Journal du Dimanche
Une comédie sociale trash qui dégomme tout sur son passage, délicieusement irrévérencieuse et impitoyable pour régler ses comptes avec une époque qui broie les plus faibles.
Les Fiches du Cinéma
Gâché par un derniers tiers versant dans l’épate-bourgeois et la surenchère contre-productive, Oranges sanguines finit mal. Mais avant cela, on se sera régalé du tableau agressif, lucide et extrêmement drôle qu’il dresse de notre société en perdition.
Ouest France
Un film punk, un vrai.
Télérama
En grande partie inspirées par d’authentiques faits divers, ces tranches de vie déglinguées brossent un portrait au noir de la société française et des monstres qu’elle engendre. Des monstres qui doivent autant à Dino Risi qu’aux psychopathes du cinéma américain des années 1970 (...).
CinemaTeaser
Jean-Christophe Meurisse lâche les chiens avec une satire acide sur l’époque qui vire au film d’horreur tétanisant. Attention, ça secoue.
Le Monde
Un portrait de la France saignant à souhait, souvent outrancier.
Le Parisien
« Oranges sanguines » déroute, dérange… Parfois drôle et toujours bien écrit, il nous fait rire avant de se teinter d’un goût particulièrement acide.
Mad Movies
Un projet culotté, certes, et très éloigné d'une quelconque "chtituche touch" (contraction des Ch'tis et des Tuche) et qui, malgré ses nombreux défauts de rythme et de ton, laisse quand même un espoir : qu'on fasse plus de films autres... mais avec de vraies réussites dans le tas.
Première
Le risque, c’est évidemment de noyer le spectateur sous un déluge de malaise et de chaos, ce que Meurisse n’évite pas tout à fait, le miroir déformant flirtant parfois dangereusement avec le grotesque. Mais une fois toutes ses grenades soigneusement dégoupillées, il émeut quand on s’y attend le moins avec un plan final qui semblerait presque sorti d’un autre film.
Rolling Stone
Intense. Clivant. Saisissant.
Cahiers du Cinéma
Le film veut encore faire partie du grand-art ou de la Culture, édulcore ses supposées transgressions en donnant aussi dans la pause mélancolique (en plaquant du Barbara), le message (embarrassante conclusion pseudo-féministe) ou la distanciation (effarant clin d’œil final à la caméra). Il ménage la chèvre du trash et le chou de ses prétentions, à l’image de son titre, chic et jusqu’au bout mystérieux.
Critikat.com
Ne ressort de ce spectacle vaguement arty de trublions qu’une idée un peu rance de ce qu’est l’humour contestataire français : forcément potache, vulgaire et fier de l’être.
La Voix du Nord
Les références revendiquées (le pamphlet, le western, l’horreur) sont audacieuses mais l’esthétique du film le rapproche davantage d’une pochade outrancière et fielleuse pour public averti. D’autant plus dommage que le cinéaste a manifestement des choses à nous dire.
Les Inrockuptibles
Les comédien·nes sont impeccables, frappant·es de précision dans leur manière de faire monter la moutarde, comme toujours chez Les Chiens de Navarre – mais quelque chose d’un peu artificiel, attendu et systémique commence pour la première fois à se faire sentir.
Paris Match
Entre scènes prodigieuses (les délibérations d’un jury rock) et provoc fastoche (Blanche Gardin en énième caricature de son personnage), le film se perd parfois dans son propre postulat transgressif. Les limites d’un cinéma punk pourtant salvateur.