Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Audrey Lamy brille dans la nouvelle comédie sociale feel-good de Louis-Julien Petit, réalisateur des Invisibles, populaire et jamais misérabiliste, qui évoque le cinéma du duo Olivier Nakache-Éric Toledano.
« Faire du cinéma est un début, souligne le réalisateur. On essaye également d’apporter une aide plus concrète. » Cette initiative rend sa Brigade encore plus sympathique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Audrey Lamy mobilise son énergie de petit soldat de l’égalité, authentique et droite. La comédie sociale lui va formidablement bien, son humour et son autodérision arment un militantisme souriant.
Audrey Lamy mobilise son énergie de petit soldat de l’égalité, authentique et droite. La comédie sociale lui va formidablement bien, son humour et son autodérision arment un militantisme souriant.
Aux côtés de jeunes migrants au naturel formidable et de François Cluzet en directeur du centre, Audrey Lamy, récompensée du prix de la meilleure actrice au Festival de l’Alpe d’Huez, nous régale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sans doute que l’ensemble est prévisible. (...) Mais nous sommes ici dans la grande tradition d’un cinéma social et humaniste assez salutaire, auquel Audrey Lamy insuffle ce qu’il faut d’empathie et d’énergie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le cinéaste des « Invisibles » met en scène une cuisinière qui rêve d'ouvrir son propre restaurant, mais est embarquée dans une tout autre aventure… Malgré ses maladresses, « La Brigade », dans le registre si souvent mal fréquenté de la comédie populaire, se distingue néanmoins par son originalité et par ses ambitions.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Malgré un scénario qui use parfois trop du cocktail rires et larmes, le film est riche d'un propos sensible sur les réfugiés et illustre encore une fois la palette comique et dramatique de l'étonnante Audrey Lamy.
Après deux comédies sociales[...], Louis-Julien Petit est un peu moins convaincant avec ce troisième film, tout aussi généreux dans son propos (l’intégration, la transmission, la réussite), avec toujours le souci de « faire vrai » (présence de migrants non professionnels dans la brigade) mais aussi très prévisible, angélique et cousu de fil blanc.
Le premier quart d’heure est mis en scène, le reste, phagocyté par l’ambition louable de Louis-Julien Petit (« les Invisibles ») de mettre en avant la nature formidable des gamins (Yannick Kalombo, Alpha Barry), issus d’un vrai centre d’accueil, au détriment de la tenue de son film, aux airs de sous-Nakache et Toledano.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Après Discount et Les Invisibles, Louis-Julien Petit creuse le même sillon solidaire en abordant, sans misérabilisme, la tragédie des réfugiés. Malgré des maladresses, on ne peut que saluer la beauté du geste.
Audrey Lamy met beaucoup d'énergie dans ce mix entre comédie et pamphlet social. De quoi compenser une fin en forme de critique du petit écran, qui tombe à plat.
Ouest France
Audrey Lamy brille dans la nouvelle comédie sociale feel-good de Louis-Julien Petit, réalisateur des Invisibles, populaire et jamais misérabiliste, qui évoque le cinéma du duo Olivier Nakache-Éric Toledano.
20 Minutes
« Faire du cinéma est un début, souligne le réalisateur. On essaye également d’apporter une aide plus concrète. » Cette initiative rend sa Brigade encore plus sympathique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Audrey Lamy mobilise son énergie de petit soldat de l’égalité, authentique et droite. La comédie sociale lui va formidablement bien, son humour et son autodérision arment un militantisme souriant.
Le Dauphiné Libéré
Audrey Lamy mobilise son énergie de petit soldat de l’égalité, authentique et droite. La comédie sociale lui va formidablement bien, son humour et son autodérision arment un militantisme souriant.
Le Parisien
Mais ce film ne manque pas de cœur et, entre deux vannes, certaines séquences visent juste et débordent, elles, d’émotions.
Voici
Un sujet chamallow générateur d'émotions à gros bouillon. Mais le réalisateur réussit une comédie sociale chorale pétillante et attachante.
La Croix
Aux côtés de jeunes migrants au naturel formidable et de François Cluzet en directeur du centre, Audrey Lamy, récompensée du prix de la meilleure actrice au Festival de l’Alpe d’Huez, nous régale.
La Voix du Nord
Sans doute que l’ensemble est prévisible. (...) Mais nous sommes ici dans la grande tradition d’un cinéma social et humaniste assez salutaire, auquel Audrey Lamy insuffle ce qu’il faut d’empathie et d’énergie.
Le Journal du Dimanche
C’est prévisible, parfois naïf, mais cette comédie engagée séduit avec ses jeunes acteurs improvisés et une Audrey Lamy combattante.
Les Echos
Le cinéaste des « Invisibles » met en scène une cuisinière qui rêve d'ouvrir son propre restaurant, mais est embarquée dans une tout autre aventure… Malgré ses maladresses, « La Brigade », dans le registre si souvent mal fréquenté de la comédie populaire, se distingue néanmoins par son originalité et par ses ambitions.
Paris Match
Malgré un scénario qui use parfois trop du cocktail rires et larmes, le film est riche d'un propos sensible sur les réfugiés et illustre encore une fois la palette comique et dramatique de l'étonnante Audrey Lamy.
Positif
Après deux comédies sociales[...], Louis-Julien Petit est un peu moins convaincant avec ce troisième film, tout aussi généreux dans son propos (l’intégration, la transmission, la réussite), avec toujours le souci de « faire vrai » (présence de migrants non professionnels dans la brigade) mais aussi très prévisible, angélique et cousu de fil blanc.
Première
Un vrai bon moment de cinéma feel-good, populaire sans être vulgaire, et que Toledano et Nakache ne renieraient pas.
L'Obs
Le premier quart d’heure est mis en scène, le reste, phagocyté par l’ambition louable de Louis-Julien Petit (« les Invisibles ») de mettre en avant la nature formidable des gamins (Yannick Kalombo, Alpha Barry), issus d’un vrai centre d’accueil, au détriment de la tenue de son film, aux airs de sous-Nakache et Toledano.
Le Monde
Ce feel good movie joue sur les codes de Top Chef et autres concours de cuisine télévisés et s'appauvrit dans les rouages de cette recette à succès.
Sud Ouest
Voilà une histoire roborative, cousue de fil blanc sans doute, mais suffisamment habile pour faire sourire sans être tarte.
Télé 7 Jours
Après Discount et Les Invisibles, Louis-Julien Petit creuse le même sillon solidaire en abordant, sans misérabilisme, la tragédie des réfugiés. Malgré des maladresses, on ne peut que saluer la beauté du geste.
Télé Loisirs
Audrey Lamy met beaucoup d'énergie dans ce mix entre comédie et pamphlet social. De quoi compenser une fin en forme de critique du petit écran, qui tombe à plat.
Les Inrockuptibles
On ne s’attendait certes pas à trouver ça délicieux, mais pas non plus à un tel haut-le-cœur.