Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Un champ, un arbre en son milieu, des oiseaux qui se posent sur des fils électriques et la brume qui se dissipe à mesure que le jour se lève : une telle ouverture ne pose pas comme programme une posture contemplative ou une ode à la nature, mais l’affirmation qu’au cinéma comme Metz l’a dit pour la littérature « ce peu de choses, c’est tout un livre » - l’intime et l’immense.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un beau film grave. Une élégie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film laisse les mots de Metz retourner aux choses, aux matières, aux impressions lumineuses dont ils sont sortis.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Avec L’Homme qui penche, film-poème à fêlure de peau, Marie-Violaine et Olivier Dury donnent à entendre, mais aussi à voir, quelques-uns des poèmes de Thierry Metz, poète essentiel disparu, trop tôt, à la charnière de deux siècles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
La radicalité de ce dispositif peut déranger nos esprits habitués à recevoir de l’information sur tout, tout de suite. Mais un vide se crée où l’on peut, peu à peu, ressentir la présence d’un homme très attachant dont ces images habitées font résonner le secret. Et après le avoir vues, on veut le lire, continuer l’échange.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Un champ, un arbre en son milieu, des oiseaux qui se posent sur des fils électriques et la brume qui se dissipe à mesure que le jour se lève : une telle ouverture ne pose pas comme programme une posture contemplative ou une ode à la nature, mais l’affirmation qu’au cinéma comme Metz l’a dit pour la littérature « ce peu de choses, c’est tout un livre » - l’intime et l’immense.
L'Obs
Un beau film grave. Une élégie.
Le Monde
Le film laisse les mots de Metz retourner aux choses, aux matières, aux impressions lumineuses dont ils sont sortis.
Les Fiches du Cinéma
Avec L’Homme qui penche, film-poème à fêlure de peau, Marie-Violaine et Olivier Dury donnent à entendre, mais aussi à voir, quelques-uns des poèmes de Thierry Metz, poète essentiel disparu, trop tôt, à la charnière de deux siècles.
Télérama
La radicalité de ce dispositif peut déranger nos esprits habitués à recevoir de l’information sur tout, tout de suite. Mais un vide se crée où l’on peut, peu à peu, ressentir la présence d’un homme très attachant dont ces images habitées font résonner le secret. Et après le avoir vues, on veut le lire, continuer l’échange.