Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Le film, fin et délicat, ne juge pas, il montre la réalité. Crue et implacable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
À travers le destin du bien nommé Moïse, le film plonge dans la vie d’une certaine jeunesse de Mayotte, entre drogue et pauvreté. Jouant des contrastes lors de scènes nocturnes intenses, l’auteur dévoile l’envers du paradis. Quand luxuriance rime avec violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Tropique de la violence a l'immense mérite d'être la première production française tournée à Mayotte-même, de montrer la richesse culturelle et esthétique de l'île et de poser, un peu malgré lui, le problème de l'uniformité des représentations dans la production hexagonale.
Télérama
par Marie Sauvion
Reste la forme, hélas démonstrative et maladroite, d’où émergent malgré tout un personnage, Bruce, et son interprète, Fazal Bacar-Moilim, terrifiant et pathétique en ado criminel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Sophie Grassin
Malgré sa visée politique et des scènes marquantes, ce thriller se laisse dévorer par ses faiblesses : trop peu d’introspection et de densité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Manuel Schapira adapte le roman de Nathacha Appanah sans parvenir comme elle à restituer l’île de Mayotte dans sa complexité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Fort de son approche documentaire (ses jeunes acteurs sont issus des bidonvilles de Mayotte), mais sans grande ambition formelle, comme empêché par son sujet, ce premier film français ne parvient pas à se hisser à la hauteur des modèles du genre, type La cité de Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce premier long métrage, non exempt d'un certaine candeur dans la conduite du récit, ne rend pas justice à la formidable énergie positive qui se dégage de ce territoire.
Première
par Thierry Chèze
L’écriture des personnages, trop réduits à des archétypes, manque de profondeur, et il manque surtout à réalisation un souffle façon La Cité de Dieu qui apporte au film une plus- value par rapport au roman.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par A.H.
Ce roman qui décrit la violence d'une jeunesse délaissée sur l'île de Mayotte est retranscrit sans finesse, par un réalisateur qui a découvert ce département français lors du tournage. Ce manque de connaissance du terrain se fait sentir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
Le film, fin et délicat, ne juge pas, il montre la réalité. Crue et implacable.
Les Fiches du Cinéma
À travers le destin du bien nommé Moïse, le film plonge dans la vie d’une certaine jeunesse de Mayotte, entre drogue et pauvreté. Jouant des contrastes lors de scènes nocturnes intenses, l’auteur dévoile l’envers du paradis. Quand luxuriance rime avec violence.
CinemaTeaser
Tropique de la violence a l'immense mérite d'être la première production française tournée à Mayotte-même, de montrer la richesse culturelle et esthétique de l'île et de poser, un peu malgré lui, le problème de l'uniformité des représentations dans la production hexagonale.
Télérama
Reste la forme, hélas démonstrative et maladroite, d’où émergent malgré tout un personnage, Bruce, et son interprète, Fazal Bacar-Moilim, terrifiant et pathétique en ado criminel.
L'Obs
Malgré sa visée politique et des scènes marquantes, ce thriller se laisse dévorer par ses faiblesses : trop peu d’introspection et de densité.
La Croix
Manuel Schapira adapte le roman de Nathacha Appanah sans parvenir comme elle à restituer l’île de Mayotte dans sa complexité.
Le Journal du Dimanche
Fort de son approche documentaire (ses jeunes acteurs sont issus des bidonvilles de Mayotte), mais sans grande ambition formelle, comme empêché par son sujet, ce premier film français ne parvient pas à se hisser à la hauteur des modèles du genre, type La cité de Dieu.
Le Monde
Ce premier long métrage, non exempt d'un certaine candeur dans la conduite du récit, ne rend pas justice à la formidable énergie positive qui se dégage de ce territoire.
Première
L’écriture des personnages, trop réduits à des archétypes, manque de profondeur, et il manque surtout à réalisation un souffle façon La Cité de Dieu qui apporte au film une plus- value par rapport au roman.
Le Figaro
Ce roman qui décrit la violence d'une jeunesse délaissée sur l'île de Mayotte est retranscrit sans finesse, par un réalisateur qui a découvert ce département français lors du tournage. Ce manque de connaissance du terrain se fait sentir.