Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Positif
par Denitza Bantcheva
Le scénario du film est d’une ingéniosité remarquable, jointe à une exploration des paramètres du cinéma (le potentiel conjoint ou séparé de l’image et du son) unique en son genre.
Bande à part
par Hélène Robert
Grâce à un usage singulier et captivant de la bande sonore, En décalage se démarque des autres films indépendants traitant du handicap.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Les codes du film fantastique peuvent se loger dans les endroits les plus inattendus du cinéma européen, preuve en est : En Décalage.
Elle
par Françoise Delbecq
Juanjo Giménez Peña signe là sans effets spéciaux le portrait d'une femme en déséquilibre [...]. Le fantastique au quotidien... un film qui va faire du bruit.
Femme Actuelle
par La rédaction
Une idée vraiment originale.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À partir d’une maladie réelle, un premier film tirant vers le fantastique avec intelligence et originalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
En décalage produit un premier émerveillement quand il saisit, dès les premières secondes, la beauté documentée d’un métier “de l’ombre”, rendu ici à son caractère spectral et magique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Entêtant et persistant, c’est le récit remarquable d’une femme «désynchrone».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thierry Chèze
Un travail impressionnant sur le son et une comédienne hors pair, dont le visage et la capacité à exprimer à travers lui mille et un sentiments contradictoires forcent l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’audace d’En décalage consiste à assumer cet artifice narratif en identifiant la perception du personnage et du spectateur, qui pendant la moitié du métrage regarde un film, donc, décalé.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Marta Nieto, remarquée dans Madre de Rodrigo Sorogoyen, compose avec nuance les vacillements d’une femme froide et décalée [...]. Une mise en scène sobre et un sens du cadre certain achèvent de donner son élégance au film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cet ovni captivant, qui n’est pas sans évoquer Berberian Sound Studio de Peter Strickland, jouit d’un extraordinaire travail sur le son, forcément. Et de la performance sensible de l’actrice espagnole Marta Nieto.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Emaillé de trouvailles, En décalage met le doigt sur une brèche profonde du dispositif cinématographique, mais finit par la replâtrer de conventions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Laurent Duroche
Si vous parvenez à passer outre ce sous-texte un peu fatigant, En décalage a donc quelques belles choses à offrir, d’autant que le film est porté par la performance habitée de Marta Nieto.
Première
par Thierry Chèze
Un portrait de femme enfermée dans son mal-être, aussi réussi dans sa forme (la manière dont Juanjo Giménez Pena traduit cet handicap en termes de sons et de situations inventives – notamment une scène d’un romanesque échevelé mettant en scène l’homme qui l’aime) que dans le récit déployé autour des causes de cette panne des sensations auditives.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par François Forestier
Le concept initial s’étire, l’intérêt s’émousse, la réflexion stagne. Reste la découverte trouble de l’univers sonore, souvent ignorée par le cinéma, marquant l’originalité d’une œuvre intéressante, mais inaboutie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jérémie Couston
Hormis une ou deux jolies illustrations du potentiel érotique et voyeuriste de cette désynchronisation dans la bande-son, le film se dilue dans une très banale quête d’identité d’une héroïne dépressive et condamnée à subir son handicap.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Le scénario du film est d’une ingéniosité remarquable, jointe à une exploration des paramètres du cinéma (le potentiel conjoint ou séparé de l’image et du son) unique en son genre.
Bande à part
Grâce à un usage singulier et captivant de la bande sonore, En décalage se démarque des autres films indépendants traitant du handicap.
CinemaTeaser
Les codes du film fantastique peuvent se loger dans les endroits les plus inattendus du cinéma européen, preuve en est : En Décalage.
Elle
Juanjo Giménez Peña signe là sans effets spéciaux le portrait d'une femme en déséquilibre [...]. Le fantastique au quotidien... un film qui va faire du bruit.
Femme Actuelle
Une idée vraiment originale.
Les Fiches du Cinéma
À partir d’une maladie réelle, un premier film tirant vers le fantastique avec intelligence et originalité.
Les Inrockuptibles
En décalage produit un premier émerveillement quand il saisit, dès les premières secondes, la beauté documentée d’un métier “de l’ombre”, rendu ici à son caractère spectral et magique.
Libération
Entêtant et persistant, c’est le récit remarquable d’une femme «désynchrone».
Ouest France
Un travail impressionnant sur le son et une comédienne hors pair, dont le visage et la capacité à exprimer à travers lui mille et un sentiments contradictoires forcent l’admiration.
Cahiers du Cinéma
L’audace d’En décalage consiste à assumer cet artifice narratif en identifiant la perception du personnage et du spectateur, qui pendant la moitié du métrage regarde un film, donc, décalé.
La Croix
Marta Nieto, remarquée dans Madre de Rodrigo Sorogoyen, compose avec nuance les vacillements d’une femme froide et décalée [...]. Une mise en scène sobre et un sens du cadre certain achèvent de donner son élégance au film.
Le Journal du Dimanche
Cet ovni captivant, qui n’est pas sans évoquer Berberian Sound Studio de Peter Strickland, jouit d’un extraordinaire travail sur le son, forcément. Et de la performance sensible de l’actrice espagnole Marta Nieto.
Le Monde
Emaillé de trouvailles, En décalage met le doigt sur une brèche profonde du dispositif cinématographique, mais finit par la replâtrer de conventions.
Mad Movies
Si vous parvenez à passer outre ce sous-texte un peu fatigant, En décalage a donc quelques belles choses à offrir, d’autant que le film est porté par la performance habitée de Marta Nieto.
Première
Un portrait de femme enfermée dans son mal-être, aussi réussi dans sa forme (la manière dont Juanjo Giménez Pena traduit cet handicap en termes de sons et de situations inventives – notamment une scène d’un romanesque échevelé mettant en scène l’homme qui l’aime) que dans le récit déployé autour des causes de cette panne des sensations auditives.
L'Obs
Le concept initial s’étire, l’intérêt s’émousse, la réflexion stagne. Reste la découverte trouble de l’univers sonore, souvent ignorée par le cinéma, marquant l’originalité d’une œuvre intéressante, mais inaboutie.
Télérama
Hormis une ou deux jolies illustrations du potentiel érotique et voyeuriste de cette désynchronisation dans la bande-son, le film se dilue dans une très banale quête d’identité d’une héroïne dépressive et condamnée à subir son handicap.