Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Sophie Joubert
(...) un superbe poème lyrique sur une nature vengeresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Nous ne sommes rien face à la nature, ce chef-d’œuvre nous le rappelle de la plus sidérante manière : dévastatrice et belle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Comme chez Lucrèce, c’est un poème que compose un assemblage, celui d’images glanées dans des fonds d’archives et sur internet, devenu une infinie vidéothèque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Le grand Pelechian est de retour dans les salles. La Nature vous entraînera dans un tsunami d’images, la catastrophe climatique montrée dans toute sa violence et sa beauté.
Critikat.com
par Corentin Lê
Pelechian sort du silence pour figurer, par le montage, une fracture dans l’ordre du monde, le deuil de l'harmonie et la victoire du chaos.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
C'est un film de guerre totale, à quoi l'accalmie qui lui succédera, avec son aube magnifique et ses pépiements d'oiseaux, pourrait figurer le début d'un monde débarrassé de notre encombrement.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Exercice brillant de montage par correspondances, La Nature est une expérience cinématographique hypnotisante, à la fois sublime et terrible.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Laura Tuillier
Travail de montage colossal, la Nature est aussi une entreprise plastique impressionnante qui confronte le grain numérique des images basses définitions arrachées in extremis à un réel féroce à l’organicité d’une matière déchaînée par les lois de la physique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Présenté en mai dernier à la Fondation Cartier, La Nature oscille entre élégie et requiem, alterne silence et musique symphonique (Beethoven, Chostakovitch, Mozart). Difficile de ne pas y voir la fin de notre monde, annoncée désormais sans cesse, mais ici concentrée en images comme jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par La Rédaction
Tout débute en l’air, face à la majesté des cimes enneigées, volontiers soulignée par du Beethoven : on est bien dans une célébration, dont l’objet serait cependant moins la beauté du naturel que celle du cliché géologico-touristique afférent – moins la nature que Dame Nature.
L'Humanité
(...) un superbe poème lyrique sur une nature vengeresse.
L'Obs
Nous ne sommes rien face à la nature, ce chef-d’œuvre nous le rappelle de la plus sidérante manière : dévastatrice et belle.
Les Inrockuptibles
Comme chez Lucrèce, c’est un poème que compose un assemblage, celui d’images glanées dans des fonds d’archives et sur internet, devenu une infinie vidéothèque.
Transfuge
Le grand Pelechian est de retour dans les salles. La Nature vous entraînera dans un tsunami d’images, la catastrophe climatique montrée dans toute sa violence et sa beauté.
Critikat.com
Pelechian sort du silence pour figurer, par le montage, une fracture dans l’ordre du monde, le deuil de l'harmonie et la victoire du chaos.
Le Monde
C'est un film de guerre totale, à quoi l'accalmie qui lui succédera, avec son aube magnifique et ses pépiements d'oiseaux, pourrait figurer le début d'un monde débarrassé de notre encombrement.
Les Fiches du Cinéma
Exercice brillant de montage par correspondances, La Nature est une expérience cinématographique hypnotisante, à la fois sublime et terrible.
Libération
Travail de montage colossal, la Nature est aussi une entreprise plastique impressionnante qui confronte le grain numérique des images basses définitions arrachées in extremis à un réel féroce à l’organicité d’une matière déchaînée par les lois de la physique.
Télérama
Présenté en mai dernier à la Fondation Cartier, La Nature oscille entre élégie et requiem, alterne silence et musique symphonique (Beethoven, Chostakovitch, Mozart). Difficile de ne pas y voir la fin de notre monde, annoncée désormais sans cesse, mais ici concentrée en images comme jamais.
Cahiers du Cinéma
Tout débute en l’air, face à la majesté des cimes enneigées, volontiers soulignée par du Beethoven : on est bien dans une célébration, dont l’objet serait cependant moins la beauté du naturel que celle du cliché géologico-touristique afférent – moins la nature que Dame Nature.