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Didier C
21 abonnés
33 critiques
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3,5
Publiée le 14 novembre 2022
Joli film qui a ce ”je ne sais quoi” qui donne envie d'être agréable, gentil et bienveillant... Et le casting français ne démérite pas, ce qui est notable dans un film anglo-saxon.
Film léger et agréable. Un peu "gnangnan" mais se laisse regarder. Les acteurs jouent bien, les robes sont magnifiques, de quoi remplir ses yeux de belles choses !
Le moins qu’on puisse en dire, c’est qu’on ne sait pas grand-chose sur Anthony Fabian – ni son âge, ni sa nationalité -, sinon que ce torrent d’eau de rose est son 1er film. Dans le Londres de l’après-guerre, Ada Harris gagne sa vie en faisant des ménages. Si elle mène une vie très solitaire depuis le décès de son mari Eddie, porté disparu au combat. Ada n’est pourtant pas du style à se plaindre, ni même s’appesantir sur son sort, et pourtant, elle qui se croyait les pieds bien ancrés dans la réalité, est tout à coup submergée par une vague de rêve et d’émerveillement quand elle découvre une magnifique robe signée DIOR, nonchalamment accrochée dans la chambre d’une de ses riches clientes. Elle se surprend alors à penser qu’une si belle œuvre d’art, si pure, si éthérée ne peut que changer la vie de quiconque la possède. 116 minutes – un peu longuettes parfois -, plus tard, on sort de là avec l’impression d’avoir vu un film comme on en fait plus, une histoire comme on ose plus en écrire, une mise en scène d’un classicisme à pleurer, le tout porté à bout de bras par un casting brillant mais qui peine à s’en sortir indemne. En bref, une fable gentiment socialiste où une femme de ménage au grand cœur investit la très chic maison Dior. Cette comédie ne se contente pas d’être surannée, mais elle est truffée d’invraisemblances. Entre la grève des éboueurs parisiens, - ah la manif famélique ! – le Paris fantasmé, les monuments éclairés la nuit en 1957 (???), la bluette mièvrissime entre les deux timides de l’histoire, la robe sur mesure pour une petite femme qui, va s’adapter à ravir sur femme plus grande et à l’opulente poitrine… il y en a tellement que je ne peux tous les raconter… Alors on nous fait le coup du voyage initiatique pour cette veuve qui, certes, sait ce qu’elle veut mais navigue dans un monde trop déconnecté du réel, peuplé de personnages trop caricaturaux pour qu’on puisse s’intéresser à ce conte de fées une seule seconde. A part quelques apparitions anecdotiques sur les écrans de cinéma, Lesley Manville est avant tout une actrice de séries télé. Elle tient donc là son 1er grand rôle qu’elle assume avec beaucoup d’assurance et d’humour… et il en fallait pour se sortir de ce guêpier. Elle est entourée par un casting luxueux avec Isabelle Huppert, Lambert Wilson, Alba Baptista, Lucas Bravo, Jason Isaacs, Guilaine Londez, Ellen Thomas,…Eh oui, il y a du monde et du beau monde. Cette distribution très française se justifie quand on sait que le titre original est Mrs. Harris Goes to Paris. Ce film inutile est adapté d’un des 4 romans qui racontent les aventures de cette Mrs Harris… Pourvu que personne n’ait l’idée saugrenue d’adapter les 3 autres… Une avalanche de clichés, une intrigue cousue de fil blanc – forcément, chez Dior -, un film inoffensif qui ferait passer une sitcom décérébrée pour un scénario des Frères Dardenne. A pleurer !
Film style téléfilm , mielleux , musique avec violon , plutôt féminin avec une histoire de mode et de robe , tous les ingrédients pour faire un navet. J'ai honte et je ne comprends pas pourquoi mais j'ai bien aimé.
Gentil film sous forme de conte qui dans ces Es temps difficiles fait plaisir
Ceux qui veulent avoir un scénario réaliste s abstenir ,ceux qui aime bien l eau de rose c est parfait Les acteurs sont bien dans leurs rôles Il y a un parfum sympa année 60 .Dior un artiste .........h
Film très plaisant à visionner. Malgré un côté un peu mièvre, cliché, stéréotypé et très carte postale, on suit avec délectation le désir absolu de cette modeste et généreuse femme pour obtenir une robe Dior. C'est une belle surprise. A noter quelques plans de mise en perspective et effets de profondeurs plutôt bien trouvés
Quand j’ai vu la bande annonce, je me suis dite « ça parle de Dior, année 50, Film anglais = humour anglais » c’est un film pour remonter le moral (vu la période que l’on vit) parfait pour une soirée d’automne. Comme dire : vs allez nager dans les clichés quI sentent bons la France :ordures pas ramassées, la cheffe d’atelier marâtre, etc. Du Paris pure sirop kitch. sans parler d’un bonne couche de politiquement correcte minoritaire. Bref welcome dans un film au saveur d’un loukoum rose, niais à souhait. Même les acteurs n’arrivent pas à y croire. Dommage
C'est un petit bijou cinematographique! De la finesse et de la délicatesse tant dans le jeu des acteurs que dans le scénario.On se laisse porter par l'histoire et on découvre le milieu de la haute couture à travers la maison Dior des années 50. C'est une friandise qu'un tel film.
On ne fait pas un bon film avec de bons sentiments dégoulinants !
Et pourtant l'actrice principale ne démérite pas, malgré quelques gestes et mimiques répétitives. D'ailleurs, elle me fait penser un peu à Catherine Frot dans Odette tout le monde, mais sans le petit grain de folie qui la caractérise.
Le naufrage total de ce piètre téléfilm sirupeux, est plutôt dans la mièvrerie du scenario, dans les clichés sur Paris et surtout dans le jeu des acteurs Français qui n'y croient pas une seconde.
On sent que pour Isabelle Huppert et Lambert Wilson on est proche du calvaire !
Résultat, un film que l'on peut ne pas aller voir !
Quelle élégance !! Voici un scénario très clair, magnifiquement mis en images dans une chaleureuse ambiance des année 60'. Et puis, quel casting !! D'excellentes prestations dans les rôles du Marquis de Chassagne ( Lambert Wilson ) complètement dans son élément, ou Claudine Colbert N°2 de la maison DIOR ( Isabelle Huppert ) affreusement méchante, mais avant tout surtout de Ara Harris ( Lesley Manville ) admirable femme de ménage - en attente du retour improbable de son mari la moitié du film - fascinée par les jolies robes de cette Haute couture. Cette femme, rusée, intelligente, également douce et douée, démontre une phénoménale capacité à s'adapter à ce milieu précieux Parisien, et en tout cas, à ne pas s'en laissé promettre par ce mélange de "Cruella" et de Miranda dans "Le diable s'habille en Prada"... qui me fait penser par certains côtés à Catherine Frot....Un film à l'eau de rose, oui, caricatural, oui, qui fait du bien, tant par la beauté des décors, des robes, des dialogues notamment dans l'alternance Française et Britannique....que par les beautés naturelles pétillantes. Et puis, Cerise on the Cake.... terminer sur une valse dans cette sublime robe rouge "tentation"......!!**