Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Vivant, prenant, débordant d'énergie et en même temps très contrôlé, ce premier film de Jean-Claude Flamand Barny révèle un beau talent. Si le scénario est un peu chargé, la mise en scène passe avec une sûreté très élégante des scènes d'action rapides à la chronique sociale et au portrait intime.
Télérama
par Pierre Murat
On va de scènes chaleureuses (entre potes enfantins et amusés) en épisodes convenus (...). L'énergie vient de la visible sincérité du réalisateur et de ses interprètes : les musiciens Admiral T et D. Daly, et Jocelyne Béroard, épatante dans le rôle de la mère lucide et désarmée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Africultures.com
par Olivier Barlet
Le documentaire laisse volontiers la place à une fiction traversée par la tendresse, la solidarité et les tensions du groupe. Comme dans "La Haine", le film mythique de son coproducteur et ami, Mathieu Kassovitz, la logique de ghetto est chroniquée avec la volonté de rendre ces ados à fleur de peau plus humains que les airs qu'ils ne se donnent. Il manque pourtant ici la poésie qui permettrait de rendre plus présentes ces tranches de vie.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Pas étonnant (...) de voir le réalisateur de la Haine impliqué dans le film, ici co-producteur et grand frère spirituel. Nèg Maron n'est d'ailleurs que ça : un film de petit frère, une suite logique qui ronronne tranquille, à la fraîche, comme une affaire de famille. Ce qui donne au film une dimension aussi étriquée qu'attachante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinéastes
par Brewster Mc Cloud
Il n'y a pas qu'a Harlem ou Compton qu'on peut faire des Ghetto-fiction, aux Antilles aussi. Et plutôt pas mal. Les deux rappers métis vedettes du film connaissent mieux que quiconque le problème mais leur bonne foi n'en fait pas des acteurs pour autant. Dommage pour le dernier tiers du film qui intègre un beau climat de thriller tragique. Allez, on parie que sous peu, Hollywood en fera un remake à Haïti avec Wyclef Jean et Sean Paul ?
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film mêle hédonisme et tragédie, en adoptant un style visuel parfois proche du clip. Mais on est gêné par une certaine hétérogénéité du casting et les faiblesses d'un scénario qui connaît de nombreuses baisses de régime. Un film généreux, contemporain, auquel il manque une épine dorsale.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) la vertu première de Nèg maron est de faire naître d'autres images antillaises (...) La mise en scène hachée en plans très courts tente de pallier le manque d'énergie dramatique du scénario et les approximations de comédiens pour la plupart débutants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Sébastien Catroux
Loin des clichés plages-rhum-cocotiers, ce film donne une vision peu commune des tropiques : l'action pourrait se dérouler dans n'importe quelle banlieue où règne le désoeuvrement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Stéphanie Binet
(...) malgré la justesse de son regard, à trop vouloir en dire, Flamand Barny donne peu d'épaisseur à l'histoire et à ses dialogues pourtant enrichis par le créole. Sans doute les défauts d'un premier film.
MCinéma.com
par Franz Miceli
Si l'histoire, dans sa première partie, s'attarde à bon escient sur le laisser-aller d'une jeunesse empreinte de désillusions, elle bascule après trois quarts d'heure dans la médiocrité jusqu'à ne plus être qu'un simple ersatz de sitcom. (...) Le film accumule les clichés et transforme l'intime en vulgaire pathos bon marché. Au final, on ressort avec la désagréable impression d'avoir frôlé le vrai bon film. Dommage !
Ouest France
par La Rédaction
Un schéma archi-classique, sauf qu'il cherche ici un nouveau souffle dans un cadre inédit. Mais la mise en scène, par un ancien compagnon de cinéma de Kassovitz, manque de vigueur, dans la nonchalance de considérations générales et généreuses.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Christophe Narbonne
Le résultat est plus naïf et brouillon qu'inspiré, mais traversé néanmoins de moments forts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Miguelito
Nég'maron montre, avec une conviction autant humaine que politique, la dérive de deux jeunes, Josua et Silex. Le film opte alors pour une photo réaliste, des dialogues en créole et une atmosphère de faits-divers, manquant souvent de style et donc, d'impact.
La critique complète est disponible sur le site Score
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur fond de polar, le cinéaste brasse des thèmes trop génériques pour être convaincants malgré une sincérité avérée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Charlotte Lipinska
Le scénario ne brille pas par son originalité. Mais ce premier film produit par Mathieu Kassovitz vaut pour la description pertinente d'une jeunesse déboussolée. (...) Une toile de fond sociale rarement traitée au cinéma, qui nous fait d'autant plus regretter les faiblesses de rythme du film.
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
par Grégory Valens
Des petits malfrats aux Antilles : ça roule à fond la caisse, ça s'insulte et se tabasse, ça vit de petits larcins, ça drague sec... Comme dans le 93, me direz-vous ? Ben voilà, c'est ça : comme dans le 93 ! Alors pourquoi diable aller filmer aux Antilles cette histoire entre petits voyous qui tourne au vinaigre. (...) un navet indigent.
La critique complète est disponible sur le site Positif
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Vivant, prenant, débordant d'énergie et en même temps très contrôlé, ce premier film de Jean-Claude Flamand Barny révèle un beau talent. Si le scénario est un peu chargé, la mise en scène passe avec une sûreté très élégante des scènes d'action rapides à la chronique sociale et au portrait intime.
Télérama
On va de scènes chaleureuses (entre potes enfantins et amusés) en épisodes convenus (...). L'énergie vient de la visible sincérité du réalisateur et de ses interprètes : les musiciens Admiral T et D. Daly, et Jocelyne Béroard, épatante dans le rôle de la mère lucide et désarmée.
Africultures.com
Le documentaire laisse volontiers la place à une fiction traversée par la tendresse, la solidarité et les tensions du groupe. Comme dans "La Haine", le film mythique de son coproducteur et ami, Mathieu Kassovitz, la logique de ghetto est chroniquée avec la volonté de rendre ces ados à fleur de peau plus humains que les airs qu'ils ne se donnent. Il manque pourtant ici la poésie qui permettrait de rendre plus présentes ces tranches de vie.
Chronic'art.com
Pas étonnant (...) de voir le réalisateur de la Haine impliqué dans le film, ici co-producteur et grand frère spirituel. Nèg Maron n'est d'ailleurs que ça : un film de petit frère, une suite logique qui ronronne tranquille, à la fraîche, comme une affaire de famille. Ce qui donne au film une dimension aussi étriquée qu'attachante.
Cinéastes
Il n'y a pas qu'a Harlem ou Compton qu'on peut faire des Ghetto-fiction, aux Antilles aussi. Et plutôt pas mal. Les deux rappers métis vedettes du film connaissent mieux que quiconque le problème mais leur bonne foi n'en fait pas des acteurs pour autant. Dommage pour le dernier tiers du film qui intègre un beau climat de thriller tragique. Allez, on parie que sous peu, Hollywood en fera un remake à Haïti avec Wyclef Jean et Sean Paul ?
L'Humanité
Le film mêle hédonisme et tragédie, en adoptant un style visuel parfois proche du clip. Mais on est gêné par une certaine hétérogénéité du casting et les faiblesses d'un scénario qui connaît de nombreuses baisses de régime. Un film généreux, contemporain, auquel il manque une épine dorsale.
Le Monde
(...) la vertu première de Nèg maron est de faire naître d'autres images antillaises (...) La mise en scène hachée en plans très courts tente de pallier le manque d'énergie dramatique du scénario et les approximations de comédiens pour la plupart débutants.
Le Parisien
Loin des clichés plages-rhum-cocotiers, ce film donne une vision peu commune des tropiques : l'action pourrait se dérouler dans n'importe quelle banlieue où règne le désoeuvrement.
Libération
(...) malgré la justesse de son regard, à trop vouloir en dire, Flamand Barny donne peu d'épaisseur à l'histoire et à ses dialogues pourtant enrichis par le créole. Sans doute les défauts d'un premier film.
MCinéma.com
Si l'histoire, dans sa première partie, s'attarde à bon escient sur le laisser-aller d'une jeunesse empreinte de désillusions, elle bascule après trois quarts d'heure dans la médiocrité jusqu'à ne plus être qu'un simple ersatz de sitcom. (...) Le film accumule les clichés et transforme l'intime en vulgaire pathos bon marché. Au final, on ressort avec la désagréable impression d'avoir frôlé le vrai bon film. Dommage !
Ouest France
Un schéma archi-classique, sauf qu'il cherche ici un nouveau souffle dans un cadre inédit. Mais la mise en scène, par un ancien compagnon de cinéma de Kassovitz, manque de vigueur, dans la nonchalance de considérations générales et généreuses.
Première
Le résultat est plus naïf et brouillon qu'inspiré, mais traversé néanmoins de moments forts.
Score
Nég'maron montre, avec une conviction autant humaine que politique, la dérive de deux jeunes, Josua et Silex. Le film opte alors pour une photo réaliste, des dialogues en créole et une atmosphère de faits-divers, manquant souvent de style et donc, d'impact.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Sur fond de polar, le cinéaste brasse des thèmes trop génériques pour être convaincants malgré une sincérité avérée.
Zurban
Le scénario ne brille pas par son originalité. Mais ce premier film produit par Mathieu Kassovitz vaut pour la description pertinente d'une jeunesse déboussolée. (...) Une toile de fond sociale rarement traitée au cinéma, qui nous fait d'autant plus regretter les faiblesses de rythme du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Positif
Des petits malfrats aux Antilles : ça roule à fond la caisse, ça s'insulte et se tabasse, ça vit de petits larcins, ça drague sec... Comme dans le 93, me direz-vous ? Ben voilà, c'est ça : comme dans le 93 ! Alors pourquoi diable aller filmer aux Antilles cette histoire entre petits voyous qui tourne au vinaigre. (...) un navet indigent.