Le concept est plutôt intéressant mais malheureusement la réalisation molassone pêche !! Sans parler de l'intépréation !! Hormis Daniel Auteuil qui sait jouer, le reste ne vaut pas grand chose !! Djamel debouzze n'a jamais été un comédien !! Et le jeune est insupportable et pas que à cause de son rôle de petit con !!
"Le nouveau jouet" est le remake du film de Francis Veber de 1979. Jamel Debbouze remplace Pierre Richard dans le rôle principal du Jouet et Daniel Auteuil remplace Michel Bouquet. L'histoire est modernisée et se veut plus sociale. Au début, on se dit que Jamel va faire du Jamel et on se retrouver devant un one man show. Et ben non au fil des minutes, ils rentrent bien dans le rôle et les interactions avec l'enfant sont réussis. Un bon moment au final malgré un scénario limité.
On va pas se mentir, c'est pas ma comédie la plus fine de tous les temps. On est pas dans du Francis Weber mais hormis le casting et les décors on a plus l'impression d'être dans un téléfilm! Après quand on aime Jamel on ne passe pas un mauvais moment, mais on sait qu'avec plus de soin on pouvait en tirer mieux que ça.
Avec ce titre de Nouveau jouet, on associe évidemment le film à son prédécesseur interprété par Pierre Richard. Les critiques sont donc nombreuses pour juger moins bon que l'original le remake qui nous est proposé. Si on regarde ce film indépendamment, on constate que l'ensemble des acteurs sont plutôt touchants dans leurs rôles, que la cité n'est pas encore une fois diabolisée même si elle reste idéalisée, et surtout qu'on rigole à plusieurs farces. Bien sur, tout est très stéréotypé entre les distants riches et les pauvres communautaires mais cela reste une gentille comédie sociale qui permet de réunir à l'écran un duo improbable Auteil-Debouze.
Reprise du film de Francis Veber paru en 1976, Le Nouveau Jouet est une bonne surprise réalisée par James Huth. L'histoire nous fait suivre Sami, un banlieusard vivant de petits boulots et dont la femme doit accoucher prochainement, qui va être choisi par le fils d'un riche homme d'affaires afin de devenir son jouet contre rémunération. Seulement, ce jeune garçon est véritablement détestable depuis qu'il a perdu sa mère un an auparavant, ce qui va s'avérer un véritable supplice pour son nouvel objet vivant. Ce scénario reprend donc les grandes lignes de la version originelle et respecte son esprit quant au thème principal traité, tout en y apportant des nouveautés plus ou moins appréciables. En effet, le récit est bien modernisé avec l'aspect technologique et culturel actuel, en plus d'aborder des problèmes sociétaux. Cependant, on peut lui reprocher sa vision idéalisé de la banlieue un peu trop belle pour être vraie. Mais cela n'entache en rien cette intrigue agréable pendant environ une heure et quarante-cinq minutes. Une durée tout de même un peu trop longue, qui aurait gagnée à être réduite d'un quart d'heure. En effet, on sent quelques redondances dans certaines situations mais cela n'est pas plus dérangeant que ça. Surtout que les péripéties sont sympathiques et procurent étonnamment pas mal d'émotions. Beaucoup de scènes sont drôles et surtout le film sait aussi se montrer touchant à plusieurs reprises. Le ton est donc parfaitement équilibré. Tout cela est rendu possible grâce à des personnages attachants, interprétés par une distribution de qualité. L'alchimie entre Jamel Debbouze et Simon Faliu fonctionne à merveille et Daniel Auteuil campe très bien son rôle. Les personnages secondaires sont un peu moins convaincants, notamment la relation entre Sami et sa compagne jouée par Alice Belaïdi. Les nombreux habitants de leur cité sont eux plus ou moins utiles. Malgré cela, les échanges entre tous ces individus fonctionnent bien, notamment à la faveur de dialogues tantôt amusants, tantôt émouvants. Sur la forme, la réalisation de James Huth s'en sort très bien. Sa mise en scène tente des choses et comporte quelques idées. De plus, elle évolue dans de beaux environnements variés. Ce visuel soigné est accompagné par une b.o. aux compositions correctes mais n'ayant aucun impact sur les images. Reste une jolie fin, venant clore cette lutte des classes. Au final, Le Nouveau Jouet est un long-métrage familial honorable faisant passer un bon moment, n'ayant pas à rougir de la comparaison avec son ainé.
Un remake modernisé avec humour. Les acteurs sont plutôt agréables dans le film mais il faut être honnête, en soi... c'est un nanar. Le scénario est assez débile et prévisible. Les bons sentiments surpassent les luttes de classe et les intérêts économiques. Alors le cgtiste crie "vive le patron" et le patron rouvre une usine parce qu'il a un cœur. Bref... ça ne va pas bien loin mais c'est une comédie légère. Pour la nuance et la subtilité, on repassera.
Moins horrible que ce que je pensais ! Le personnage de Djamel est tout aussi agaçant qu’attachant. Le jeu d’acteur de Daniel Auteuil, toujours aussi linéaire que dans ses autres films. L’histoire est par moments tirée par les cheveux, on devine la fin dès les 10 premières minutes du film, aucune surprise mais ça reste regardable. On voudrait rire plus ! 2,6/5
L'enfant unique d'un milliardaire décide d'acheter un homme comme jouet. La transposition du film original de Veber dans une dans une cité et un chateau digne de Versailles entraîne une opposition encore plus flagrante, mais un peu moins subtile. Jamel et Auteuil sont formidables, le ou les messages sous-jacents font toujours mouche. Bonne comédie.
Une comédie qui, d'une manière un peu gros sabots, pose quelques questions de société. D'un côté le monde du capitalisme foisonnant et la vie des ultra-riches (l'argent rend t-il si heureux ?), et de l'autre les classes très populaires vivant dans les cités. Que se passe t-il lorsque ces deux mondes se rencontrent ? C'est Jamel Debbouze qui s'y colle. Malgré tous ses efforts, et sur une tonalité humoristique, parviendra t-il à concilier ces deux mondes que tout oppose ? Cette version revisitée prête à sourire de temps à autre, sans être transcendantale.
Depuis "Le Jouet" avec Pierre Richard les capitalistes se sont beaucoup enrichis. C'est bien ce que montre ce film. Mais ils n'ont toujours pas résolu leurs problèmes affectifs qui s'exprime dans l'adage "L'argent ne fait pas le bonheur". Daniel Auteuil et surtout Djamel Debbouze le mettent magnifiquement en scène.
Un remake du film de 1976 avec Pierre Richard avec des scènes identiques mais un contexte et une intentionnalité un peu différents. Il y a de la comédie et quelques blagues comme Debbouze sait le faire mais cela s'arrête là, dans cette version au contraire d'une véritable critique sociale on a une mise en valeur assez absurde dudit jouet. Dans des milieux violents et dans le fond dramatiques par bien des côtés celui-ci tel un gagnant au loto retourne tout le monde avec un peu de psychologie positive et tous finissent par lui manger dans la main. Au final c'est fort peu réaliste et ne vaut pas le film antérieur.
Meme si J. Debouzze est touchant dans ce film, il ne rivalise absolument pas avec l attachant Pierre Richard dans le film “le jouet” dont ce “nouveau jouet” en est une assez pâle copie…
La photographie est assez soignée mais que c est stéréotypé et à l excès !! Quelle horreur !
Et la mise en opposition de la très haute bourgeoisie avec la “cité”, ça gonfle aussi quelque peu…
Donc en France soit on vit dans la cité soit on est bourgeois?!… ça en devient lourd