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Intéressant sans être toujours percutant, un portrait finalement insaisissable d’une femme qui est à la fois la metteuse en scène et l’interprète de sa propre vie.
Un portrait au vitriol qui rebute et impressionne. La Verónica est de la même veine que ces films trop prémédités qui veillent à ne rien laisser hors de leur portée, au dispositif tranchant et autarcique conçu pour faire plier le monde sous leur poigne, le manœuvrer selon un principe d’atrophie, du «mal en pis».
La critique complète est disponible sur le site Libération
Leonardo Medel s’en tire ici non sans superbe en tirant le portrait d’une Victoria Beckham chilienne, femme de footballeur prête à tout pour recruter le million d’abonnés qui lui manquent sur son compte Instagram pour décrocher un juteux contrat d’égérie pour une marque de cosmétiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Glaçant et vénéneux.
Les Echos
Un film troublant qui, malgré ses longueurs, s'impose comme l'une des bonnes surprises de l'été.
Ouest France
Le portrait satirique en diable d'une Victoria Beckham chilienne, mis en scène avec ingéniosité.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur chilien joue la carte du thriller pour dénoncer les excès d’Instagram et leurs répercussions sur les mentalités.
Les Fiches du Cinéma
Intéressant sans être toujours percutant, un portrait finalement insaisissable d’une femme qui est à la fois la metteuse en scène et l’interprète de sa propre vie.
Libération
Un portrait au vitriol qui rebute et impressionne. La Verónica est de la même veine que ces films trop prémédités qui veillent à ne rien laisser hors de leur portée, au dispositif tranchant et autarcique conçu pour faire plier le monde sous leur poigne, le manœuvrer selon un principe d’atrophie, du «mal en pis».
Première
Leonardo Medel s’en tire ici non sans superbe en tirant le portrait d’une Victoria Beckham chilienne, femme de footballeur prête à tout pour recruter le million d’abonnés qui lui manquent sur son compte Instagram pour décrocher un juteux contrat d’égérie pour une marque de cosmétiques.
Critikat.com
Cadrée de face, Verónica est la marionnette d’un film qui se joue en réalité dans son dos.
Les Inrockuptibles
De cette mosaïque d’états border, le film de Leonardo Medel ne tire pourtant qu’une sensation d’uniformité et d’irréalité assez déconcertante.