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Gerard Menvussa
2 critiques
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0,5
Publiée le 19 septembre 2022
Je n'arrive pas à comprendre les critiques dithyrambiques. Ce film est plat, mal tourné, mal scénarisé, mal joué et pourtant j'adore Idris Elba... beaucoup trop tiré par les cheveux. Je ne suis pas difficile et bon public mais la.... Une vraie daube Ne dépensez pas 1 cents pour voir.
Décevant .... Un soi-disant remake du film "l'ombre et la proie" ??? Il n'arrive même pas à l'orteil ... ! Film d'auteur ou film d'action ?! Soporifique et dialogues nuls, scénario incohérent. Reproches en cascades des enfants au père, spectre de la mère (qu'est-ce que cela vient faire dans le scénario ? Ça n'apporte RIEN). Deux filles inconscientes du danger, qui n'écoutent pas leur père, se mettant en danger chaque fois... Que dire de l'intelligence des personnages ?! Faire 5 mètres et planter la seule voiture des environs, et demander s'il y a du Wifi et un téléphone ?! Quoi ?!! N'importe quoi... Quant à Martin... Personnage déprimant ! Seuls les décors réels sont appréciables, ainsi que les effets spéciaux sur les lions (à la rigueur...). Nous n'arrivons pas à nous plonger une seule seconde dans le film...
Nul pour résumer. "OK, OK, OK", comme disaient sans cesse tous les personnages dans la version originale...
Bon. J’avais bien kiffé la bande annonce mais une fois au ciné, ben il était pas terrible. Beast, c’est du copié collé sur les autres films du genre. Souffrant d’une durée de seulement 90 min, d’un scénario d’une mauvaise qualité et d’aucune surprise, eh ben oui on peut dire que j’ai été déçu. Les acteurs ne sont pas très convaincants (Malheureusement pour Idris Elba !), les effets spéciaux bo-bof et la scène de fin est juste nulle spoiler: (Elba qui fait du corps à corps avec le lion, déchiquetage du mauvais lion par des gentils lions et sauvetage de dernière minute) . Les filles du protagoniste sont juste des GROS BOULETS, et je pense que le film aurait déjà été un peu mieux sans elles. De plus, je tiens à dire qu’il doit y avoir au total que 2 ou 3 décors de tout le film.
Ce dent de la mer en Afrique ne m’a pas convaincu, et je suis donc quand même pas mal déçu. Croyez moi, la bande annonce est meilleure.
L’histoire est trop predictible et après 2 Secondes d’écoute la suite deviens de plus en plus claire. Il manque de vie dans le jeux d’acteur aussi qui nous rappelle que le film est un film.
Encore un film loupé.ça commençait bien pourtant. Ce film ressemble à " l'ombre et la proie " sauf que là c'est pour la version ado. Pour ce faire, les 2 ados super agaçant du héros. En plus, le passé douloureux de ce père plombe aussi le film. Il fallait simplement faire un film efficace genre " les dents de la savane " mais non. Le réalisateur s'est perdu dans le sentimentalisme là où il fallait du réalisme. Dommage qu'il ait gâchait le film. ça ne volait pas très haut mais au moins, l'on y aurait cru et aurions pu passer un bon moment très divertissant. Les ados sont encore plus énervants que ceux de "Jurassic Park ". Y en a marre de tous ces cinéastes et producteurs qui font des films pour uniquement des ados. Pauvre cinéma.
Pas mal du tout pour ce genre de film, bien mieux que le dernier shark Bay qui paraît bidon à côté. Les lions numériques sont de qualités. Trois étoiles et demie.
Voici le pitch : Retour aux sources : un afro-américain revient sur les terres de son épouse, en Afrique du Sud, pour un safari, afin de resserrer les liens avec ses filles. A la fin... Beast use de l'inusable thème du super prédateur survivant à tout, traquant celui qui usuellement le chasse. Requin (s), anaconda, grizzly, piranhas ou encore... dinosaures, zombies et j'en passe et des meilleurs : on en a vu tant d'autres, loin d'être tous bons d'ailleurs (très loin...), mais ici le mécanisme est strictement le même et le thème de fond pas assez puissant pour élever le scénario, le film. Mais du coup l originalité peut être mis de côté, mais cela passe comme divertissement de soirée mais ne pas s attendre à être surpris. Rien de neuf, maid Ici et là on reconnaîtra quelques séquences encodées (voiture en panne, excès ridicule d'imprudence, une voiture en bascule, un personnage qui se sacrifie...etc) et, objectivement j'attendais d'un tel film, en 2022, qu'il sorte de ses gonds et nous fasse bondir, fort de symboles dont l'absence ici tue le sujet mais malheureusement non c est pas le cas mais je m en doutais un peu, sinon on aurait eu plus de retour bouche a oreille. Kormakur privilégie une réalisation portée par des plans longs afin de nous faire vivre intensément l'action ; ainsi que d'effets particulièrement efficaces. Il faut bien dire que le combat final en jette, même si l'on revoit aisément Leonardo et son ours... Sympa pour une fois, ou les amateurs du style.
Le thème d’un animal meurtrier n’est pas nouveau et la liste de films qui y ont recours est longue : « Les dents de la mer » (1975) de Steven Spielberg, « Razorback » (1984) de l’Australien Russel Mulcahy dont le cochon ensauvagé était réalisé en animatronique (animation par télécommande ou câbles) ou « En eaux troubles » (2018) de Jon Turteltaub pour n’en citer que trois. Ici, il s’agit d’un lion tueur (et non mangeur) d’hommes, suite au massacre de ses congénères par des braconniers en Afrique du Sud. Le cahier des charges du genre est bien rempli par le réalisateur : superbes effets spéciaux (lion numérisé faisant illusion), intrigue à rebondissements et se greffant sur une histoire familiale convenue [père médecin (Idris ELBA), veuf, qui emmène ses 2 filles adolescentes, Norah et Meredith, dans une réserve où a vécu, plus jeune, leur mère (décédée d’un cancer). Le film est mieux qu’une série B (à part les dialogues, écoutés en version française) car le réalisateur islandais y a mis sa touche : nombreuses scènes filmées en plan-séquence à l’aide probablement d’une Steadicam, apportant fluidité et proximité avec les acteurs, des clins d’œil à Steven Spielberg et « Jurassik Park », notamment dans la scène où le lion s’en prend à la voiture où sont enfermés le père, ses 2 filles et Martin [Sharlto COPLEY qui s’était fait connaitre dans « District 9 » (2009) de Neill Blomkamp], directeur de la réserve et qui avait présenté sa future femme au Dr Samuels. La scène finale de combat entre Idris Elba et le lion n’est pas sans rappeler celle de Leonard di Caprio avec un ours dans « The revenant » (2015) d’Alejandro Gonzáles Iñárritu. Sans oublier la volonté de survivre, déjà présente dans 2 films du réalisateur, « Survivre » (2012) sur un marin pêcheur après un naufrage au large de l’Islande et « Everest » (2015), concernant la lutte d’alpinistes lors de tempêtes de neige dans l’Himalaya. Signalons enfin la qualité de la photographie due à Philippe ROUSSELOT, à la filmographie longue comme le bras (depuis 1970) et ayant reçu 3 Césars [« Diva » (1982) de Jean-Jacques Beineix, « Thérèse » (1987) d’Alain Cavalier et « La reine Margot » (1995) de Patrice Chéreau] et 1 Oscar [« Et au milieu coule une rivière » (1995) de Robert Redford].
Une série B qui s'assume. C'est tendu, gore, invraisemblable et dans des décors superbes. Bien sûr un lion qui ne semble rien voir ni sentir ce n'est pas crédible, mais on s'en fiche et on vit le film avec grand plaisir. Elba apporte un plus non négligeable à l'ensemble.
Je vais vous donner un truc pour ne pas vous ennuyer pendant la projection de ce film ou l'on n'est pas face à des ficelles mais à des madriers en baobab !! Essayez de compter le nombre de fois ou les filles disent "Papa !!!" comme des c***nes Entre 50 et 100 fois , bref ça occupe pendant ce navet ... Sinon plus téléphoné tu meurs , à la 1ère minute on connait le film et sa fin ; fin qui d'ailleurs est pathétique :spoiler: Idriss qui combat le lion (qui a dézingué 40 braconniers en 2 coups de papates )
Et bien lui , à mains nues , en recevant des coups de griffes et de dents , s'en sort avec avec 3 égratignures et sans membres arrachés alors qu'un lion de cette taille coupe un gnou en 2 d'un un seul coup de dent !!! PITOYABLE !!!
Fuyez cette daube et allez revoir "L'ombre et la Proie " ; ça c'était un film sur des BEAST !!!
Ce "survival" exotique n'a rien de révolutionnaire, certes, mais il se distingue par son savoir-faire incontestable et son casting tout à fait convaincant. Les paysages, superbes et habilement exploités, valent le détour à eux seuls !
Même si dès les premières scènes on pense savoir déjà la fin on peut saluer au moins le fait qu on ne s ennuie pas une seconde. Plutôt bien réalisé ce film rempli son contrat nous divertir .
Franchement un début calme mais une histoire captivante et pleine de rebondissements si vous cherchez un film intéressant à regarder en famille je vous le conseille
Une note générale plutôt étonnante pour un film surprise. En allant voir ce long métrage de Baltasar Kormákur, je ne m'attendais à un film moyen, voir même insipide, à la vue des avis. Et pourtant, Beast tient en haleine, au point parfois de vous couper la respiration tant les scènes de combat avec l'animal sont réalistes et effrayantes.