Voir Idriss Elba dans ce genre de film qui part plus pour être un film de seconde zone qu'un film de genre ou un blockbuster...donc , partant de ce principe, j'avais un peu peur du résultat. Dans son ensemble le film tiens la route, cela part tranquillement (enfin le massacre d'un groupe de lion passé...) avec plein de beau paysage!!! Puis une fois l'action lancé on accorde le droit au scène improbable avec ce lion capable de piège et autre astuce pour zigouiller un max de personnes, passons les branlos qui sont incapable de toucher le lion avec des fusils mitrailleurs and co. Le film à une certaine tension qui fait qu'on tiens en haleine mais le gros MAIS euh le scène de fin??? Oh c'est pas Heimdall mais un docteur contre un molosse de 1 tonne et de près de 2m!!!!! Alors il égorge, lacère des types armé et lui ben il lui chope la guibole mais cha va je marche , il le chope à l'épaule avec des traces de griffures ben ouais ok de temps en temps je fais genre que cela pique et le summum le combat contre le fauve armé d'un couteau...mon dieu le lion le balance, l'écrase, le mord, le griffe mais en vie en attendant l'arrivé de....vous verrez mais franchement tellement énorme que cela gâche le film et pas qu'un peu...dommage... NOTE : 5.5/10
Bonne idée de depart avec du dépaysement géographique et le fait de se faire pourchasser par un lion. Après , c’est un peu repetitif et la derniers attaque du lion pas trop credible.
Jamais je n’ai eu l’occasion de rester autant sur ma faim devant le générique d’un film … Aucun rebondissements particuliers, une trame médiocre et monotone. Dommage
Absolument nul aucun intérêt ne dépensez pas votre argent Scenario zéro dialogues zéro avec les "restez dans la voiture " puis les "sortez "Je ne trouve plus mes mots tellement il en vaut pas la peine Passez votre chemin si vous comptiez y aller Scenario inexistant, dialogues à la hauteur d'un enfant de 4 ans, histoire impossible le père tombe sur un lion qui vient de massacrer tout un village et à plusieurs reprises, il laisse seules ses deux filles et plus impensable encore, il arrive dans une maison où il peut se protéger lui et ses filles, mais non, là, il trouve pas mieux que d'ouvrir toutes les portes et fenêtres comme s'il voulait que le lion n'ait pas de difficulté à y entrer A un autre moment, malgré la peur qu'elles ont eu, elles aussi se séparent, et même en pleine nuit la plus grande part sauver le tonton. Et la bataille de la fin avec le lion INVRAISSEMBLABLE Faut il encore en rajouter , à part de dire que tous les acteurs jouent très très mal. Tout y est incompréhensible, on a même failli quitter la salle à plusieurs reprises et seule la fraicheur de la clim nous y a retenu
Une sous intrigue de drame familial bâclé, des facilités scénaristiques, des incohérences, une fin prévisible, des dialogues assez pauvre dans l'ensemble, des interactions mal gérées. Si quelques éléments de tenions qui fonctionnent un peu et Idris Elba n'étaient pas là, ce film serait juste mauvais.
Un médecin retourne sur les terres de son enfance (l'Afrique du Sud) avec ses deux filles adolescentes. Il y retrouve un vieil ami qui s'occupe d'une réserve naturelle. Lors d'une balade en jeep, les choses vont se compliquer quand un lion isolé à cause du braconnage décide de s'en prendre à leur petit groupe... Ce survival dans la savane est assez basique dans son scénario, mais diablement efficace à l'écran ! Idris Elba est remarquable dans le rôle de ce papa tentant de sauver sa famille et son ami des griffes de ce prédateur devenu incontrôlable. Beaucoup de scènes sont filmées en caméra subjective (je ne suis pas trop fan de ce procédé parfois visuellement nauséeux), mais le rendu est ici très immersif et plutôt bon, les moments avec ce félin agressif sont d'une intensité à couper le souffle ! Si vous avez aimé l'angoisse des "Dents de la mer", vous prendrez surement du plaisir dans ces "Dents de la Terre" ! Puissant et incisif ! Site CINEMADOURG.free.fr
Les hasards du calendrier... je retrouvais ce soir le "Colosse" d'hier : Idris Elba......pour un film... Bof ( non pour caricaturer son titre)... Scénario bien maigre, le réalisateur s'est beaucoup reposé sur les scènes animales, certes intéressantes et bien filmées, avec une sortie de route qui va pratiquement occuper tout l'espace... J'ai été particulièrement gêné par les intonations et dialogues avec les deux filles (Norah et Meredith) "à claquer".....! A réserver à un jeune public, qui ne tiquera pas sur les nombreuses incohérences - principalement liées aux comportements de ces "chipies" ... Belle photographie, son médiocre, l'ensemble demeure très mitigé mais je serai indulgent pour ces beaux félins !!**
Alors dans ce film les lions sélectionnent leurs victimes : les méchants braconniers sont lacérés, étripés et bouffés tout crus, quand les gentils gardiens sont plus ou moins épargnés. Tout un programme…sans surprise. Mais bon…À noter le belle performance de la toute jeune actrice Leah Jeffries.
Un petit film qui se regarde pas si mal, assez bien tourné les scènes de combats entre l'animal et les acteurs sont très réalistes ! Sans avoir une intrigue énorme, ni un scénario très recherché, c'est plutôt plat au contraire..
Seules les images des paysages sont à retenir de ce film. Incohérence du scénario, c'est très mal joué. Je n'ai pas reconnu Idris Elba que j'adore normalement.
De "Survivre" à "À la Dérive" en passant par "Everest", l'islandais Baltasar Kormákur semble construire une bonne partie de sa filmographie autour de la notion de survie, plaçant toujours ses héros dans la solitude d'une épreuve où les caprices de Mère Nature font le plus souvent office d'exutoire à leurs propres blessures intimes. Et c'est donc sans surprise que "Beast", nouvelle variation de l'obsession du cinéaste en mode survival animalier, prend évidemment ses racines sur un postulat similaire, plaçant cette fois la reconstruction d'une famille déchirée par un deuil au cœur d'une confrontation avec un lion rendu lui-même ivre de douleur et de rage par l'ignominie des hommes.
Après une exposition dissimulant à peine sa volonté d'aller à la plus rapide présentation du chagrin qui anime ce pèlerinage sud-africain de ce père et ses deux filles sur les traces de leur épouse/mère disparue, "Beast" en restera forcément à quelque chose de très sommaire du côté de l'évolution relationnelle de ses protagonistes dans l'adversité (l'inévitable temps mort où chacun exprime sa rancœur à l'autre malgré l'omniprésence du danger sera bien sûr de la partie) mais, en dépit de leurs raccourcis rudimentaires, ces développements sauront toucher au plus simple pour créer un minimum d'empathie vis-à-vis de ces personnages très vite menacés par les crocs du fauve (avoir les épaules solides d'un Idris Elba et d'un Sharlto Copley dans l'équation est aussi un support indéniable), voire même parfois en faire ressortir un ou deux moments étonnamment bien pensés (la divagation onirique d'un père brisé par le chaos de la situation par exemple).
Passons donc sur la rédemption attendue de ce paternel obligé de se dépasser à tous les niveaux face à une créature ayant basculé du côté obscur, sur l'opposition basique de reproches de ses filles à son égard ou sur les agissements un brin aléatoire de ces dernières devant le danger (les coups de génie courageux se disputent à la bêtise irrationnelle) et intéressons-nous surtout à ce qui réussit le mieux à ce "Beast" : les attaques de sa grosse bêbête à crinière ! Prenant le parti pris du plan-séquence dès que le roi de la jungle enragé se met à rôder autour des protagonistes, Kormákur nous colle à chaque fois au plus près de leur perception hasardeuse de cet environnement inconnu, un sentiment de proximité immédiat s'établit ainsi avec le spectateur, l'amenant lui aussi à scruter l'écran pour déceler la direction d'où le danger pourrait surgir. Certes, le procédé n'a rien de nouveau mais le cinéaste l'utilise très souvent avec une réelle efficacité, parfois même avec un certain brio (tout ce qui déroule dans/vers la voiture), afin de donner un vrai impact à chaque attaque du fauve devenue synonyme d'un fracas carnassier dans la quiétude de la savane. Dans le sillage des généreux coups de dents et pattes de son félin numérique plutôt convaincant (on a vu bien pire en tout cas), "Beast" a l'idée judicieuse d'intégrer d'autres composantes de cet environnement, parfois installées en amont, pour en tirer un lot de péripéties toujours plus varié et renouveler les degrés de la menace par leur entremêlement. À ce titre, l'affrontement final en mode duel sauvage sera le parfait point d'orgue de ce si bien nommé "Beast", condensant le meilleur de la force primaire et de la ruse qu'a à offrir ce face-à-face entre l'Homme et la Bête concocté par Baltasar Kormákur.
Petit survival idéal pour conclure la saison cinématographique estivale de 2022, "Beast" a le mérite de compenser certaines de ses carences les plus basiques par la bonne tenue de son exécution qui redonne toute sa férocité au roi de la jungle. Et, vu comme le fauve et ses consorts avaient été malmenés dans des oeuvres de troisième zone ces dernières années, "Beast" se place aisément dans le haut du panier des films mettant son museau face à l'Homme.
Un film sympa mais sans plus. Quelques points positifs comme la qualité des plans séquences ou la photographie mais la médiocrité du doublage VF détruit pas mal l'attachement aux personnages. Le manque cruel d'émotion est également un des points noirs du film qui détruit la qualité globale.
Je ne m'attendais pas à grand chose mais « Beast » a réussi à me tenir en haleine et s'avère quand même efficace. L'histoire est simple, on en a déjà vu du même genre, mais la courte durée du film fait que ça ne s'étale pas en longueur. C'est dynamique, avec de beaux paysages et des petits sursauts de temps en temps. Il y a fort heureusement un message véhiculé également contre le braconnage et pour la protection des animaux sauvages. Un bon divertissement mené par Idriss Elba.