Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Classique et parfois attendu dans son déroulé, Beast est un des survivals les plus rigoureux, intenses et griffus vus depuis longtemps. Un régal de tension, qui ne lésine ni sur le spectacle ni sur la mastication de figurants, et mettra en appétit les amateurs du genre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Tourné sur place, dans des paysages magnifiques, avec comme on s’en doute un animal en images de synthèse plus crédible que nature, [...] voilà un film qui tranche plus qu’agréablement sur les redites continuelles à propos des méchants requins [...].
Le Parisien
par La Rédaction
Un mélange plutôt réussi, grâce à un Idris Elba ( « Fast & furious : Hobbs and Shaw », la série « Luther ») particulièrement impliqué, de très beaux paysages sud-africains, ainsi que des effets spéciaux réussis.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Cédric Delelée
Outre sa narration dégraissée au maximum qui enchaîne les morceaux de bravoure et ses lions numériques au réalisme saisissant, la grande force de "Beast" réside dans le talent de Baltasar Kormakur, rompu au thème de l'Homme contre la Nature qu'il avait déjà brillamment exploré dans "Survivre", "Everest" et "À la dérive".
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Enchaînant les séquences déjà vues, manquant de cœur, d’âme et d’identité, Beast demeure un film correctement mis en boîte, mais aussitôt l’a-t-on vu qu’on l’a déjà oublié.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Avec Idriss Elba en père de famille, cette série B guère plus épaisse que son pitch a la politesse d’être efficace.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par O. D.
Le réalisateur islandais d'Everest concocte un « survival » d'une rugissante efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Passé maître dans l’art de filmer la survie en milieu hostile, Baltasar Kormákur (Everest) revisite le mythe du lion mangeur d’hommes dans ce thriller à la tension irrespirable et à la mise en scène sans fioritures.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Un film de survie efficace qui aurait gagné à aller droit au but.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film d’action à l’os, brillamment troussé en moins de 90 minutes par le talentueux Kormakur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Josué Morel
Non dénuée d’efficacité, la mise en scène de Kormákur repose toutefois sur une fausse souplesse de la caméra, qui multiplie les plans-séquences chorégraphiques soumis à une règle rigide : elle reste arrimée à un point nodal [...]. Sous son apparente fluidité, le découpage obéit de la sorte à un système qui finit par entraver le potentiel des apparitions de la principale attraction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Film de monstres créés par effets spéciaux, Beast manque de mordant pour être vraiment griffé : la couche de mélo familial fait écran à l’aventure.
GQ
par Adam Sanchez
Ni les acteurs, pourtant convaincants, ni les effets spéciaux en pagaille (le lion numérique est vraiment réussi) ne parviennent à faire oublier un scénario franchement faiblard, pur prétexte pour faire frissonner les spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Beast manque de mordant pour être vraiment griffé.
Le Monde
par Murielle Joudet
Beast a tous les ingrédients d’un nanar : ce bel esprit de sérieux, cette absence totale d’humour, ses acteurs qui donnent tout, sa croyance aux valeurs du film d’action (virilité, famille, rédemption). Son art est naïf, presque émouvant dans sa manière de réutiliser les vieilles ficelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Malgré une efficacité certaine, ce survival souffre d’une réalisation désincarnée ainsi que de ficelles narratives bien trop visibles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Cheze
Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Dernier né d'une vieille tradition de série B d'animal tueur, Beast a un drôle d’aspect à la fois bâclé et ambitieux : pas cher et ça se voit, totalement formaté par des artifices de manuel de scénario pachydermiques, le film a souvent l’air de vouloir s’expédier pour être oublié.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ecran Large
Classique et parfois attendu dans son déroulé, Beast est un des survivals les plus rigoureux, intenses et griffus vus depuis longtemps. Un régal de tension, qui ne lésine ni sur le spectacle ni sur la mastication de figurants, et mettra en appétit les amateurs du genre.
L'Ecran Fantastique
Tourné sur place, dans des paysages magnifiques, avec comme on s’en doute un animal en images de synthèse plus crédible que nature, [...] voilà un film qui tranche plus qu’agréablement sur les redites continuelles à propos des méchants requins [...].
Le Parisien
Un mélange plutôt réussi, grâce à un Idris Elba ( « Fast & furious : Hobbs and Shaw », la série « Luther ») particulièrement impliqué, de très beaux paysages sud-africains, ainsi que des effets spéciaux réussis.
Mad Movies
Outre sa narration dégraissée au maximum qui enchaîne les morceaux de bravoure et ses lions numériques au réalisme saisissant, la grande force de "Beast" réside dans le talent de Baltasar Kormakur, rompu au thème de l'Homme contre la Nature qu'il avait déjà brillamment exploré dans "Survivre", "Everest" et "À la dérive".
Filmsactu
Enchaînant les séquences déjà vues, manquant de cœur, d’âme et d’identité, Beast demeure un film correctement mis en boîte, mais aussitôt l’a-t-on vu qu’on l’a déjà oublié.
L'Humanité
Avec Idriss Elba en père de famille, cette série B guère plus épaisse que son pitch a la politesse d’être efficace.
Le Figaro
Le réalisateur islandais d'Everest concocte un « survival » d'une rugissante efficacité.
Le Journal du Dimanche
Passé maître dans l’art de filmer la survie en milieu hostile, Baltasar Kormákur (Everest) revisite le mythe du lion mangeur d’hommes dans ce thriller à la tension irrespirable et à la mise en scène sans fioritures.
Ouest France
Un film de survie efficace qui aurait gagné à aller droit au but.
Paris Match
Un film d’action à l’os, brillamment troussé en moins de 90 minutes par le talentueux Kormakur.
Cahiers du Cinéma
Non dénuée d’efficacité, la mise en scène de Kormákur repose toutefois sur une fausse souplesse de la caméra, qui multiplie les plans-séquences chorégraphiques soumis à une règle rigide : elle reste arrimée à un point nodal [...]. Sous son apparente fluidité, le découpage obéit de la sorte à un système qui finit par entraver le potentiel des apparitions de la principale attraction.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Film de monstres créés par effets spéciaux, Beast manque de mordant pour être vraiment griffé : la couche de mélo familial fait écran à l’aventure.
GQ
Ni les acteurs, pourtant convaincants, ni les effets spéciaux en pagaille (le lion numérique est vraiment réussi) ne parviennent à faire oublier un scénario franchement faiblard, pur prétexte pour faire frissonner les spectateurs.
Le Dauphiné Libéré
Beast manque de mordant pour être vraiment griffé.
Le Monde
Beast a tous les ingrédients d’un nanar : ce bel esprit de sérieux, cette absence totale d’humour, ses acteurs qui donnent tout, sa croyance aux valeurs du film d’action (virilité, famille, rédemption). Son art est naïf, presque émouvant dans sa manière de réutiliser les vieilles ficelles.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une efficacité certaine, ce survival souffre d’une réalisation désincarnée ainsi que de ficelles narratives bien trop visibles.
Première
Mais hélas il faut se coltiner le scénario de Ryan Engle (Non- stop), dégoulinant de bons sentiments autour de ces retrouvailles familiales dont on voit toutes les ficelles qui vont conduire à la réconciliation et dénonciateur lourdaud des atrocités commises par les braconniers. Trop de blabla pour ne pas nuire au résultat.
Les Inrockuptibles
Dernier né d'une vieille tradition de série B d'animal tueur, Beast a un drôle d’aspect à la fois bâclé et ambitieux : pas cher et ça se voit, totalement formaté par des artifices de manuel de scénario pachydermiques, le film a souvent l’air de vouloir s’expédier pour être oublié.