Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Quoi de plus émouvant que cette exhumation, cette oraison funèbre en guise de premier long métrage-rituel pour un jeune réalisateur à l’évidence nourri par un imaginaire cinéphile vibrant (le format Scope employé ici comme révérence amoureuse), chérissant le passé pour mieux lui dire au revoir.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Une pépite de cinéma fantastique.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cet œuvre esthétique autour d’une fratrie à la lisière du fantastique est incarnée par deux jeunes comédiens au talent incandescent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Léo Ortuno
Nos Cérémonies ausculte une relation fraternelle magnétique lors d’un été aux allures de conte fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Impressionnant d'audace et de style.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
D'une idée sacrément casse-gueule, Simon Rieth tire un conte estival à peu près aussi solaire que malsain.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Jérémie Oro
Un premier long-métrage admirable, en constante ambiguïté, autant sur la dépendance maladive à l’autre que sur la malédiction des dévoués, ces aveugles qui ne demandent jamais rien en retour.
L'Obs
par X. L.
Dans une ambiance sensuelle et sépulcrale (Eros et Thanatos), Simon Rieth filme des Abel et Caïn sur lesquels plane le trouble d’un désir incestueux inavoué.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O. D.
Le cinéaste nimbe de sensualité son film, mais il y ajoute un halo de mystère et de fantastique. Car au cœur de ce premier long-métrage singulier, prometteur et stylé, qui rappelle parfois le Teddy des frères Boukherma, Simon Rieth a installé un secret en forme de malédiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Son histoire tient sur la performance de ses acteurs, remarquables de justesse, une seule séquence d’effets spéciaux, mais très originale, étant convoquée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Arthur Bouet
Un premier film incandescent, aux accents mythologiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par François Cau
Sur cette corde raide entre naturalisme et pure élégie esthétique, l'élément fantastique apparaît en premier lieu comme un corps étranger, avant que tout ne finisse par converger dans une apothéose sensorielle.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Coup d’essai et coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
Le film convainc par sa belle ambition et sa folle originalité.
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Voilà une expérience sensorielle dont on ressort assez émus, la confirmation d’un auteur à surveiller de près.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 2 semaines
par M.L.
Simon Rieth impose un cinéma fascinant, à la fois moderne et romantique.
Voici
par La Rédaction
Un drame filial nimbé de fantaisie et à la beauté poignante.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame surnaturel qui réside moins dans sa progression narrative que dans son atmosphère captivante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Damien Leblanc
Malgré des dialogues parfois très fades, cette histoire de communion spirituelle entre frères (joués par Raymond et Simon Baur, vrais frangins à la ville) bénéficie de l’éblouissante photographie de Marine Atlan et frappe par sa manière de rapprocher grâce et cruauté et de marier lueur d’espoir et flamme tragique
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Aux bravades musculeuses des adolescents aux silhouettes sportives [...] qui s’asticotent en se donnant du « mon frère », répond l’artillerie lourde de l’iconisation à tout crin, à coups de travellings blindés et de plans-massues saturés de couleurs vives.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Si Nos cérémonies ploie sous l’épaisseur de la tragédie, la complicité des deux frères interprétant les personnages principaux parvient cependant ponctuellement à déjouer une affliction autrement bien monotone.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par M. Jo.
Le premier long-métrage de Simon Rieth, 27 ans, se prend toutefois les pieds dans ses ambitions tous azimuts, une envie de tout faire dans un premier film, à commencer par impressionner (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Louis Guichard
Hélas, une fois ces bonnes idées installées, le résultat lasse par ses répétitions et l’étirement de plusieurs scènes sans relief. Mais on ne peut qu’attendre avec curiosité le prochain film de ce nouveau cinéaste singulier et prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Quoi de plus émouvant que cette exhumation, cette oraison funèbre en guise de premier long métrage-rituel pour un jeune réalisateur à l’évidence nourri par un imaginaire cinéphile vibrant (le format Scope employé ici comme révérence amoureuse), chérissant le passé pour mieux lui dire au revoir.
Ouest France
Une pépite de cinéma fantastique.
20 Minutes
Cet œuvre esthétique autour d’une fratrie à la lisière du fantastique est incarnée par deux jeunes comédiens au talent incandescent.
Bande à part
Nos Cérémonies ausculte une relation fraternelle magnétique lors d’un été aux allures de conte fantastique.
CinemaTeaser
Impressionnant d'audace et de style.
Ecran Large
D'une idée sacrément casse-gueule, Simon Rieth tire un conte estival à peu près aussi solaire que malsain.
L'Ecran Fantastique
Un premier long-métrage admirable, en constante ambiguïté, autant sur la dépendance maladive à l’autre que sur la malédiction des dévoués, ces aveugles qui ne demandent jamais rien en retour.
L'Obs
Dans une ambiance sensuelle et sépulcrale (Eros et Thanatos), Simon Rieth filme des Abel et Caïn sur lesquels plane le trouble d’un désir incestueux inavoué.
Le Figaro
Le cinéaste nimbe de sensualité son film, mais il y ajoute un halo de mystère et de fantastique. Car au cœur de ce premier long-métrage singulier, prometteur et stylé, qui rappelle parfois le Teddy des frères Boukherma, Simon Rieth a installé un secret en forme de malédiction.
Le Parisien
Son histoire tient sur la performance de ses acteurs, remarquables de justesse, une seule séquence d’effets spéciaux, mais très originale, étant convoquée.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film incandescent, aux accents mythologiques.
Mad Movies
Sur cette corde raide entre naturalisme et pure élégie esthétique, l'élément fantastique apparaît en premier lieu comme un corps étranger, avant que tout ne finisse par converger dans une apothéose sensorielle.
Paris Match
Coup d’essai et coup de maître.
Positif
Le film convainc par sa belle ambition et sa folle originalité.
Rolling Stone
Voilà une expérience sensorielle dont on ressort assez émus, la confirmation d’un auteur à surveiller de près.
Télé 2 semaines
Simon Rieth impose un cinéma fascinant, à la fois moderne et romantique.
Voici
Un drame filial nimbé de fantaisie et à la beauté poignante.
Le Journal du Dimanche
Un drame surnaturel qui réside moins dans sa progression narrative que dans son atmosphère captivante.
Première
Malgré des dialogues parfois très fades, cette histoire de communion spirituelle entre frères (joués par Raymond et Simon Baur, vrais frangins à la ville) bénéficie de l’éblouissante photographie de Marine Atlan et frappe par sa manière de rapprocher grâce et cruauté et de marier lueur d’espoir et flamme tragique
Cahiers du Cinéma
Aux bravades musculeuses des adolescents aux silhouettes sportives [...] qui s’asticotent en se donnant du « mon frère », répond l’artillerie lourde de l’iconisation à tout crin, à coups de travellings blindés et de plans-massues saturés de couleurs vives.
Critikat.com
Si Nos cérémonies ploie sous l’épaisseur de la tragédie, la complicité des deux frères interprétant les personnages principaux parvient cependant ponctuellement à déjouer une affliction autrement bien monotone.
Le Monde
Le premier long-métrage de Simon Rieth, 27 ans, se prend toutefois les pieds dans ses ambitions tous azimuts, une envie de tout faire dans un premier film, à commencer par impressionner (...).
Télérama
Hélas, une fois ces bonnes idées installées, le résultat lasse par ses répétitions et l’étirement de plusieurs scènes sans relief. Mais on ne peut qu’attendre avec curiosité le prochain film de ce nouveau cinéaste singulier et prometteur.